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La guerre sainte de Maurice J. Danllebecq

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Message par Paracelse Ven 19 Oct 2012 - 20:11

Nouvelle écrite courant 2010, parodiant le romancier Maurice G. Dantec. Si on connait un peu le personnage, on comprend mieux certains points de vue à ne pas mettre forcément au compte de son auteur (je parle de moi).

La guerre sainte de Maurice J. Danllebecq
Maurice J. Danllebecq, un célèbre romancier, descendait d’un pas gaillard l’escalier commun de l’immeuble bourgeois où créchait épisodiquement sa viande nord-américaine de langue française. Arrivé dans le hall alluré, l’increvable concierge, m’dame Josiane Grinchieuse, qui n’était pas une Conchita comme le voudrait le stéréotype, mais qui avait quand même une gueule de Portugaise comme le souhaita le hasard, admonesta Momo comme une vieille poissonnière d’un marché citadin.
— C’était quoi tout ce boucan en plein milieu de la nuit ?! Vos voisins se sont plaints !
Momo, sans lui prêtait la moindre attention, enfourna sa paluche burinée dans son blouson en cuir et dégaina un 357 magnum argenté. Elle qui ne l’aimait déjà pas beaucoup, parce qu’à ses yeux un riche n’a pas à se costumer en faux fauché et zonard fictif en blouson noir, y a des valeurs intangibles chez les concierges de rupins, mais le voilà qui en plus lui cause de sottes frayeurs.
— Voici vos méta-étrennes. OK ! dit-il en pulvérisant l’emmerdeuse sous-payée.
Tous en se dirigeant vers la porte d’entrée, Momo rengaina sa pétoire, baptisée « métacolt », pendant que le sang de Josiane se répandait sur la surface marbrée, ce qui d’ordinaire lui aurait fait gueuler sa race.
Quelques minutes plus tard, le voilà qu’il, à son plus grand désespoir, s’acoquinait l’odieuse promiscuité d’usagers de toutes confessions sur la ligne de métro numéro neuf, Pont de Sèvres-Mairie de Montreuil. Cette bouillabaisse citoyenne insupportait déjà Momo. Et on appelle ça des Français, se disait-il, écoeuré, les tripes en pressurisation et le visage confessant ses rageuses aigreurs. Momo ne portait pas ces contemporains en odeur de sainteté. Ils lui donnaient l’impression d’être des larves, des autocastrés satisfaits, des remugles d’aisselles iraniennes, des chiasses de coyotes pakistanais, un écoulement de pus d’un anus de mollah viandé.
Une racaille typiquement basanée se fraya un passage vers Momo. Ses vilaines frusques, tendance B-Boy, le sapaient d’une apparence grotesque et carnavaleresque. Il avait un regard perçant et détestable qu’on avait envie de crever. Sa démarche stylisée et claudicante, calquée sur certains rappeurs américains, donnait l’impression qu’il avait dix centimètres de jambe gauche en moins. Arrivé à proximité de Momo, il s’y planta comme un melon à la mode de chez nous.
— Hé cousin, t’as une cibiche ? lui demanda le candidat à la karchérisation, sur un ton plus atrabilaire que jovial.
Momo sortit son paquet de tiges et en refila une au fruste cpf (couille chance pour la France), qui la saisit d’une manière rustre, habitué à faire de même avec sa bite.
— Cimer, cousin.
— OK ! T’as besoin de feu ? dit momo.
— Ouais, tiens.
D’un geste fugace, Momo exhiba « métacolt » et le pointa entre les deux sourcils du sauvageon, à l’endroit où les hindous ont une pastille.
— Tu feras un métapoutou de ma part à Mahomet. OK !
La détonation s’amplifia dans le wagon comme sous l’effet d’une chambre d’écho. Du sang impur, qu’aucun sillon n’était là à s’abreuver, gicla dans toutes les directions, sauf vers Momo qui semblait protéger par un anneau de feu de Dieu invisible. Le cadavre s’écroula telle une merde compactée après trois jours de constipations. La panique gagna les usagers comme dans un concours de domino. Des cris, des affolements, des mines pâles et stupéfaites… Momo croyait voir ses lecteurs en train d’appréhender un de ses romans. La plèbe se réfugia à
chaque extrémité du wagon, terrifié, pendant qu’il les dévisageait un par un. Bande de lâches, se disait-il.
Station Miromesnil. De tout le wagon, Maurice J. Danllebecq accosta seul sur le quai. Il emprunta l’escalier de sortie et débarqua au niveau du guichet et des portes automatiques. Excepté la foule du commun des mortels, deux gardiens de la paix et une souillon à la prestance roumaine, victime du régime nazi du gouvernement français, occupaient l’espace. Celle-ci était accroupi, affectant de s’apitoyer sur son sort, un petit bol en osier à ses pieds et un écriteau cartonné, signalant que : ji sui povr, é pa arjen, pa resourse, é 12 enfan è 3 marri a charje, ci vu pli, micieu, dam. Viv là Phranss ? !
Il n’en fallut pas plus pour que « métacolt » délivre son message évangélique. Du sang et ce qui semblait être de la cervelle creuse se projetèrent sur le mur carrelé. Ça fera toujours du boulot en moins pour Éric Besson et des économies pour l’État. Les deux cognes n’en croyaient pas leurs yeux. Ils n’avaient jamais vu de 357 magnum éclater une cervelle d’aussi près. Il trouvait ça trop fort. Cependant, le boulot avant tout. L’un deux dégaina son flingue et le pointa vers Momo.
— Lâche-moi ta seringue, blouson noir, et plaque-toi au sol, les pognes derrière la cafetière, gueula-t-il.
Momo, au lieu d’obéir comme un vulgaire citoyen, arbora une carte plastifiée à l’attention de la flicaille. Ce dernier se rapprocha un peu, plissa les yeux pour faciliter la lecture, puis rengaina son pistolet qui faisait pâle figure face à « métacolt ».
— Incroyable, je n’en avais jamais vu jusqu’à présent. C’est une vraie carte ?
— Ouais, OK !
— Je pensais que c’était une légende urbaine. Quoi qu’il en soit, vous pouvez circuler, monsieur… monsieur ?
— Danllebecq. Maurice J. Danllebecq. OK !
— L’écrivain ?
— Ouais, OK !
— Je comprends mieux maintenant. Je vous souhaite une bonne journée, monsieur Danllebecq.
— Merci. OK !
Momo remonta à la surface à l’angle de l’Avenue Percier et de la rue La Boétie. Il longea celle-ci jusqu’à l’intersection de l’Avenue Miromesnil qu’il emprunta en direction du sud. Arrivé au croisement de la Rue du Faubourg Saint-Honoré, il bifurqua vers l’Est sur cinquante mètres environ, avant de s’arrêter devant l’imposante et majestueuse entrée du Palais de l’Élysée.
Les trois sentinelles en faction, rompues à détecter les gueules proprement louches, restaient bloquées sur l’étrange dégaine de Momo. Ils en voyaient souvent de l’atypique, mais celui-ci semblait tout droit sorti d’un film d’horreur expressionniste des années trente. L’un d’eux s’avança d’une trempe autoritaire, pour marquer le plus vite possible une emprise psychologique. C’était mal connaître Momo qui ne se laissait jamais impressionner par quiconque, même par un boxeur de la gauche du travail marxiste et de la droite des valeurs islamiques.
— Bonjour monsieur. Beau temps, n’est-ce pas ? Puis-je quelque chose pour vous ? Un renseignement peut-être ? dit le garde républicain.
— Je passe voir Nicolas Sarkozy. OK !
— Pardon ?
— Je viens voir le métaprésident de la République Nicolas Sarkozy. OK !
— Mais bien sûr ! Avant, vous prendriez bien un apéro dans le salon Pompadour ?! Allez, on arrête de faire le zozo et… attendez… votre visage me dit quelque chose ?
— Danllebecq. Maurice J. Danllebecq. OK !
— L’écrivain ?
— Ouais, OK !
— Alors là, euh… enchanté. J’ai lu plusieurs de vos livres, monsieur Danllebecq, et j’ai adoré.
— J’m’en métatape. Je suis pressé là. OK !
— Vous avez rendez-vous ?
— Non, OK !
— Écoutez, monsieur Danllebecq. Vous avez beau être un grand écrivain, on ne rencontre pas le président de la République sur simple caprice sans l’avoir sollicité au préalable.
Momo exhiba sa carte mystérieuse. Le roussin pâlit en une fraction de seconde. Il demeurait pantois et un tantinet tantouze.
— Ooohhh merde ! Vous lui voulez quoi au président ?
— Affaire métaconfidentielle. OK !
— Oh là là, je la sens mal cette histoire. Bon ben, de toute façon, je ne peux pas faire autrement. Par contre, je vais devoir prévenir le chef de sécurité de l’Élysée.
— Faites, faites… néanmoins, ça ne changera métarien. OK !
Le garde salement embêté invita le métaquébécois à le suivre jusqu’au vestibule gréé pour les visiteurs. L’alarme se déclencha au passage du portique de sécurité. Momo repoussa le pan gauche de son blouson pour faire montre de « métacolt ». Les autres flics dans la salle, toujours sur le qui-vive, dégainèrent leurs flingues.
— Oh, oh, on se calme, dit le garde républicain qui accompagnait Momo. Monsieur Danllebecq, il serait plus judicieux de nous confier votre imposant joujou.
— Non, je le garde. Il va servir sous peu. OK !
— Ooohhh putain ! Vous autres, je vous aie dit de baisser vos calibres, dit-il aux restes des fonctionnaires. Vous êtes certains de savoir ce que vous faites, monsieur Danllebecq ?
— Mettez-vous en doute la saine raison de son commanditaire ? Faudrait pas devenir métacasse-couilles ! OK !
— Euh… non ! dit le garde apeuré. J’appelle de suite le chef de sécurité.
— Faites. En attendant, je me dirige vers le bureau du métaprésident. OK !
— Euh… oui. Laissez-le passer vous autres, dit-il aux sbires qui pigeaient qu'dalle comme devant un film de David Lynch.
Momo, serein et esquissant un sourire narquois, marcha en direction de la légendaire cour de l’Élysée, tandis que tremblant, le garde décrocha le téléphone.
— George de Beulioubouch, chef de la sécurité du Palais de l’Élysée, j’écoute !
— Monsieur ! c’est la sécurité de l’entrée du palais. On a un énorme problème !
— comment ça ?
— Le célèbre écrivain Maurice J. Danllebecq se rend en ce moment même vers le bureau du président de la République. Il est armé d’un 357 magnum !
— Bon écoutez, petit rigolo, je n’ai pas que ça à foutre. Vous croyez qu’on peut jouer comme ça avec le chef de la sécurité de l’Élysée. Vous avez perdu la raison ou quoi ?
— Non, monsieur. Je suis très sérieux. Monsieur Danllebecq se dirige vers le président avec un 357 magnum ! Regardez vos moniteurs, monsieur.
George de Beulioubouch vit un énergumène marcher d’un pas résolu dans la cour de la bâtisse, sapé d’un blouson noir et le canon de son flingue en direction du sol.
— Mais qu’est-ce que c’est que ce bordel ! Pourquoi l’avez-vous laissé passer ? Déclenchez l’alarme, bon sang !
— On ne peut pas, monsieur. Il avait la carte.
— La carte ? Qu’est-ce que vous me chantez là, abruti ? Une carte d’invitation à flinguer le président tant que vous y êtes !
— En quelque sorte, monsieur. Il a la carte de DIEU ! Le fameux « permis de tuer les métacasse-couilles » tamponné par DIEU lui-même ! On n’a pas le droit de l’arrêter, monsieur, ce serait contrevenir à la volonté divine !
— Ooohhh merde ! Prenez le plus d’hommes possible et rejoignez-moi dans le hall du Palais.
— Oui, monsieur.
Momo, déterminé comme un Schwarzenegger cybernétique, arriva dans le hall d’entrée du Palais. Il tomba nez à nez avec un huissier.
— OK ! Où se situe le bureau du métaprésident ?
— Plait-il ? À qui ai-je l’honneur, monsieur ? dit l’huissier, en se demandant par quelle aberration un loulou en blouson noir, armé d’un flingue gros comme un mollet de Roselyne Bachelot, vagabondait en toute aisance dans un des lieux les plus sécurisés du pays.
— Laissez, huissier, je m’en occupe, interpella George de Beulioubouch, qui venait de se taper le sprint de sa vie, tandis qu’un escadron de garde républicain les rejoignait.
Momo se retourna vers la voix.
— OK ! Qui êtes-vous ?
— George de Beulioubouch, chef de la sécurité du Palais. J’ai appris que… vous désiriez vous entretenir avec le président, étant muni d’une carte un peu spéciale. N’est-ce pas ?
— Ouais. OK !
— Puis-je la voir, monsieur Danllebecq ? Juste par mesure de sûreté.
— OK !
Momo fouina dans son blouson, puis tendit l’objet sain au responsable.
— Tenez. OK !
George de Beulioubouch saisit la carte et la scruta scrupuleusement jusqu’à en déglutir de frousse. Aucun doute ne subsistait. Le démiurge, peut-être un peu murgé ce jour-là, en sa sainte personne, avait délivré ce passe-droit d’une extrême rareté. Il était accordé uniquement à de vénérables élus dont l’allégeance fut récompensée pour avoir fait preuve d’une grande bravoure et d’un héroïsme nickel-chrome envers DIEU (dans le cas de Momo... une épreuve insoutenable ! Une prière intensive d’une heure en faisant abstraction d’un imam qui lisait le Coran en audiobook. L’horreur ! Cinq jours de coma suite à ce cauchemar !).
Dépité, le chef de la sécurité lui rétrocéda son précieux bristol et le convia à le suivre jusqu’au premier étage. Arrivé devant la porte du salon doré, bureau de tous les présidents sauf Giscard qui préféra le salon de la Reine, George de Beulioubouch fit signe à l’huissier d’ouvrir la porte. Momo l’arrêta à temps et s’en occupa lui-même. Sans être annoncé, il s’engouffra seul dans le Saint des Saints de la République et laissa tout ce beau monde à leurs légitimes angoisses.
— Le sort en est jeté, dit abruptement George de Beulioubouch.
Bang, bang et métabang. OK ! Ce fut le bruit, feutré par la double porte du salon doré, par lequel s’exprima « métacolt ». Dans le couloir, une glaciation sanguine se déchiffrait sur tous les visages. Un silence lugubre devint le maitre des consciences. Ils se sentaient tous complices involontaires, impuissants comme des Omar Raddad en essayant de se remémorer l’orthographe d’un mot. Toutefois, si DIEU avait jugé sain de révolvériser Nicolas Sarkozy qu’il considérait de son bon droit comme un métacasse-couilles, au nom de quoi et surtout de qui, devait-on émettre le moindre doute sur la viabilité de sa sentence ?
Momo réapparut la mine jouasse devant une clique de trognes déconfites. Comme après chaque mission, il alluma un métabédo de skunk comme un rituel post-coït.
— Vous pouvez annoncer la métanouvelle aux médias, OK !
Il s’en fut… vers de nouvelles aventures, peuplées de créatures inférieures à occire.
Personne ne trouvait le courage d’aller constater le carnage. Sur l’insistance de ces hommes, George de Beulioubouch n’eut d’autre choix que de prendre ses responsabilités. Il pénétra seul dans le salon doré.
À peine quelques secondes plus tard, il réapparut l’air soulagé, ravivant ainsi quelques bribes d’espoirs chez les gardes républicains.
— Alors, monsieur ? demanda l’un d’eux.
— Le président est sain et sauf !
— Mais alors, pourquoi a-t-il tiré plusieurs coups de feu, monsieur ? dit un autre.
— J’ai l’immense regret de vous annoncer la perte incommensurable d’une de nos plus grandes chanteuses françaises !
OOOUUUFFF, dirent en choeur les gardes républicains.
FIN… OK !
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Message par Strahd Von Zarovitch Ven 19 Oct 2012 - 20:18

Pagan va être fan de l'écriture...
J'aime bien la chute.
Mais j'ai du mal avec l'argotique pour le narrateur.
Cependant, tu maîtrises la langue française, c'est évident.
Mais je n'ai pas été emporté par le ton.
J'ai apprécié ton écriture ; moins l'écrit présenté Smile.

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Message par Paladin Ven 19 Oct 2012 - 23:28

C'est léger et bien raconté...Politiquement un peu dépassé, quoi que...Tu pourrais la réécrire juste en changeant les noms! (Et "journaliste" au lieu de "chanteuse" à la fin)
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Message par Pagan Pandemia Sam 20 Oct 2012 - 11:50

Bon texte !
C'est écrit, travaillé et ciselé au scalpel d’ébéniste québécois !

Le parti pris de la narration argotique est assumé mais très casse-gueule ! Le juste milieu est assez compliqué à définir mais le jus m'est familier donc je sirote tranquillement même si parfois l’âpreté des mots choisis est irritante pour la gorge !

Y a un côté machine de guerre dans le déroulement, un engin à la progression inexorable qu'on ne pourrait stopper qu'à coup de C4 dans les chenilles !

La fin est réjouissante et tacle le lecteur à hauteur des ligaments croisés des genoux.

Bref, bien aimé dans l'ensemble, comme un alcool frelaté : la première gorgée est rugueuse, amère et brûlante, les suivantes sont beaucoup plus douces...
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Message par m.roch Mar 30 Oct 2012 - 12:49

Ouais, c'est bien.
J'ai aimé, mais je n'ai pas ri. J'aurais aimé rire avec ce texte, ça m'aurait rappelé le genre de San Antonio, qui me faisait rire et bander. Peut-être que la dose d'humour n'est pas assez dilué : pas assez de comique de situation, peut-être. Puis les noms des personnages sont ridicules, pas drôles.
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