Les Deux Georges (Sacripan)

Je suis d'accord Paladin sur la fin de ton commentaire..ils sont dans mon top 1 et 2 ^^

Salut !
Un très bon texte, léger et qui se lit très facilement. Même si la fin est simple, le récit nous plonge dans un univers façon 4ème dimension que j'apprécie beaucoup. La chute est dans la logique de l'histoire, puisqu'elle ouvre une boucle temporelle que l'on devine sans fin.
Du très bon travail !

Encore un très bel essai, dois-je dire !
C'est marrant comme cette image du double en a frappé plusieurs dans ce concours (moi y compris) alors que la fameuse 1e phrase ne s'y porte pas forcément. Mais comme mes camarades, je souligne avant tout le style limpide est d'une redoutable efficacité, qui déroule un récit bien amené et cohérent. Etonnamment bien structuré, même, pour un 3 pages écrit en moins d'une journée.

Bref, du très bon boulot, encore une fois !

Oui, c’est marrant, même si je n’ai pas participé, c’est aussi la première idée qui m’a sauté à l’esprit à la lecture de l’incipit : le sosie.

Peut-être que c'était dans la tête de Paladin quand il a composé l'incipit?

Transmission de pensée... tout ça... ça se tient!

Très bonne intrigue et vraiment très mauvaise soirée, pour le plus grand plaisir du lecteur. Le texte est très bien écrit , les personnages sont très convaincants et le déroulement a un bon rythme, bien captivant. Bref une réussite

Raven a écrit:Oui, c’est marrant, même si je n’ai pas participé, c’est aussi la première idée qui m’a sauté à l’esprit à la lecture de l’incipit : le sosie.

Idem, c'est l'une des seules idées que j'ai eues sur le coup, mais vu que c'est un thème récurent dans mes écrits, ça n'a rien de surprenant dans mon cas.

Merci pour vos retours !

Alors, juste pour la petite explication : les doubles fusionnent un peu comme une particule et son antiparticule pourraient s’annihiler (c’était l’idée en tout cas – sans doute pas très carrée au niveau scientifique). Quand une paire disparaît, une autre émerge. Et on peut supposer que c’est sans fin, avec une succession de scission/fusion de Georges à l’infini.