Songe des matines

SONGE DES MATINES

Je ne sais pas si vous appréciez les doux moments matinaux.
Tout a commencé après une nuit à rêve de Lune
Mais aussi d’une mélodie rêvée.
Le simple fait de rêver d’elles me pousse à aller de l’avant
D’aller m’envoler, de planer comme plane un condor sur les Andes !
Hop, j’enfile mon pantalon, mon t-shirt, mes baskets, me recoiffe devant le miroir de la vérité.
Enfin prêt et avec deux, trois sous en poche, je pars, je marche.
Et me perds dans l’immensité d’une baie angélique,
Enfin arrivé à destination, plus de soucis.
Plus rien, maintenant, ne m’empêche d’apprécier le songe fait cette nuit chaude et étoilée.
Voici comme je perçois le bonheur, un doux rêve et me voilà enchanté.
Belle journée à vous,

Bel Astre aux multiples anneaux
Nous t’invoquons dit joug de Saturne
Que tu sois mauvais ou bon
Pour le meilleur ou le pire,
Nous sommes ouverts et t’observons d’ici bas
Avec la lumière de nos âmes dites terrestres,
Pour regarder ta magie, ta connaissance, ton influence
Et nous t’implorons de nous donner force et courage,
Comme celle qui impose le respect,
Celui qui fait de toi une géante dans les cieux.
Toi bel astre annonciateur d’un vent du nord,
Te souhaitons nous autres écrivains la vie éternelle,
Et t’offrons une perle de nacre en guise d’amitié
Symbole à l’effigie emblématique de ta Lune
Celle qui porte le nom d’une création fort arrogante.
Ainsi nous autres te souhaitons encore de prospérer,
Et ce à travers le temps et l’espace,
Pour nous véhiculer ta plus belle influence,
Pour comme, toi, briller dans les noirceurs céans.
Enfin et nous autres allons de ce pas nous incliner
Face à ta noblesse, ton charisme, ton chant.
À toi Ô Grande aux Multiples Anneaux.

Vous vous demandez si ivre je suis ?

Eh bien, je vous répondrai que : oui. Oui. Je suis, bel et bien, ivre !

Ivre d’Amour, d’Espoir, ivre d’Elle(s), de Lune, ivre du Vide, du Chaos, ivre du Rien, de Création ou fou de l’Une d’entre elles. Alors, oui ! Je suis ivre et je tangue comme si j’avais bu de l’Eau de Vie  et je finis par mordre la Vie à pleines dents, comme lorsque j’avais mordu mon camarde lors de mes cinq ans.

À cela, vous vous demanderez, si fou je suis ?

Je répondrais simplement qu’il faut aimer la vie et le reste me tourne la tête. Je finirais donc avec ces mots :

Sans modération, il faut aimer vivre !

***

Ce texte est fait parce que j'aime l'impossible comme jamais au moins avec lui je sais à quoi m'attendre ! Bon dimanche à vous tous !