Juste un bonjour

Merci pour ta lecture, et pour ce commentaire, tant mieux si tu penses que c'est réussi, et re-tant mieux si ça t'a distrait !

Je comprends cet éternel débat sur le mademoiselle. C'est un choix personnel, même à 97 ans j'aimerais bien qu'on m'appelle mademoiselle. Rien d'idéologique, de sémantique, de rebelle, juste que j'aime bien.
Etant dans le commerce, mais pareil quand j'étais dans l'enseignement, j'appelle facilement les gens madame ou monsieur par respect, je constate aussi que les personnes d'un certain âge le font systématiquement, donc j'adopte le même comportement face à elles. Je disais mademoiselle/monsieur à mes élèves pour introduire une distance, tout comme je les vouvoyais tous. Et aujourd'hui, si une cliente vient avec sa fille, je l'appelle aussi mademoiselle si elle me semble jeune.

Et j'ai quand même grossi le trait pour mon papy, ça m'empêche pas de dormir, loin s'en faut !

Citoyen Raven.

Je fais un copier-coller de mes notes dans l'ordre de lecture :
- 3ème paragraphe :  "Rien que de très normal" =>Lourdeur

Voulu ou pas, le fait d'avoir désamorcer l'idée qu'il puisse être muet ou sourd est bien vu. Je me posais justement déjà la question.

L'anaphore de (vieux) con passe crème. Elle est bien dosée.

Paragraphe "dix ans après" : "qui sont des vieux cons" => lourdeur

La phrase : "Du matin au soir, il est là, lançant son silence assourdissant à ma figure." Pour ma part, j'aurais stoppé la répétition de "il est là" à la fin du paragraphe précédent, la séparation des deux faisant office de rupture de la figure de style. Et je l'aurais formulé comme suit "me lançant son silence assourdissant à la figure". (un peu trop de "s" ? pour qui sont ces serpents qui sifflent sur vos têtes ^^)

Un peu frustré de ne pas connaître la cause du déclic chez cet homme mais la chute compense. Pas sûr d'avoir bien compris pourquoi "tu" (ou le personnage) t'offusquais à la fin. Ça fait vieux ? (Je n'ai pas encore lu les autres commentaires)

J'ai vraiment vu dans ce texte un duel, limite un "combat à mort'. Le côté "personne ne céde" m'a emmené jusqu'au bout !