Le mal dans la peau.
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L'Écritoire des Ombres :: CONCOURS DE L'ÉCRITOIRE DES OMBRES :: Archives des concours :: N°7 : Livre maudit
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Re: Le mal dans la peau.
Merci de ta lecture, Cancereugène.
Alors, avant de croiser la nana, JM est dans son rayon avec ses petits camarades. Avant cela, il a très certainement été possédé par un obscur érudit, mais ça, il l'ignore, puisque qu'il n'était pas alors éveillé, et que ce n'est pas écrit sur ses pages.
Le cureton intervient pour récupérer JM parce qu'il a été sorti de sa cave par les flics, et qu'il ne veut pas qu'on le tripatouille.
Mon arrière plan a été limité par mon choix de ne pas avoir un narrateur omniscient, mais rattaché au livre maudit, du coup, ça fait ptet un manque, j'avoue.
Sinon, l'humour, le gore et la légèreté, ça me fait drôlement plaisir !
Alors, avant de croiser la nana, JM est dans son rayon avec ses petits camarades. Avant cela, il a très certainement été possédé par un obscur érudit, mais ça, il l'ignore, puisque qu'il n'était pas alors éveillé, et que ce n'est pas écrit sur ses pages.
Le cureton intervient pour récupérer JM parce qu'il a été sorti de sa cave par les flics, et qu'il ne veut pas qu'on le tripatouille.
Mon arrière plan a été limité par mon choix de ne pas avoir un narrateur omniscient, mais rattaché au livre maudit, du coup, ça fait ptet un manque, j'avoue.
Sinon, l'humour, le gore et la légèreté, ça me fait drôlement plaisir !
K²- — Kmarade Carré — Rassembleur de points perdus
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Re: Le mal dans la peau.
D'accord, mais comment le cureton peut-être savoir que JM est devenu "vivant" ? Et s'il connaît la nature de cette entité, pourquoi se fait-il avoir si facilement ?
Note bien que ces ombres dans le BG ne m'ont pas empêché d'apprécier le récit. Au moins, ça reste simple et sans fioritures.
Note bien que ces ombres dans le BG ne m'ont pas empêché d'apprécier le récit. Au moins, ça reste simple et sans fioritures.
Re: Le mal dans la peau.
Et bien, c'est très simple, le cureton vient seulement récupérer un bouquin mis à l'index pour ce qu'il renferme (raison pour laquelle il se soucie de savoir si on l'a ouvert). Il ignore complètement la nature exceptionnelle de JM et se fait donc tout naturellement avoir.
C'était mon but, rester simple et sans fioriture.
C'était mon but, rester simple et sans fioriture.
K²- — Kmarade Carré — Rassembleur de points perdus
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Re: Le mal dans la peau.
Personnellement, vu la difficulté du défi que tu t'es lancé, je trouve que tu t'en sors plutôt bien. Des grimoires agressifs au point de devoir être enchaînés, j'en ai déjà vu à Poudlard, mais ce qui n'est qu'un gag chez Potter, tu as su le développer, lui donner une consistance dramatique indéniable. On voit ton livre s'extraire de son oubli, acquérir des sens, de la réactivité. Un livre vampire, pris au piège de sa nature monstrueuse (il ne demande qu'à être lu) jusqu'à l'issue fatale. Bref, le récit d'une trajectoire singulière, à la progression réfléchie et à la cohérence plus qu'acceptable (pour un projet aussi casse-gueule).
Alors, oui, stylistiquement, il reste des points à travailler (dialogues, précision, tournures), mais d'un point de vue scénaristique (conception, élaboration...), "le mal dans la peau" reste un numéro assez bluffant d'équilibriste.
("Jean-Michel" ? une méprise naïve qui illustre l'innocence du livre qui s'éveille à la vie. J'aime bien.)
Alors, oui, stylistiquement, il reste des points à travailler (dialogues, précision, tournures), mais d'un point de vue scénaristique (conception, élaboration...), "le mal dans la peau" reste un numéro assez bluffant d'équilibriste.
("Jean-Michel" ? une méprise naïve qui illustre l'innocence du livre qui s'éveille à la vie. J'aime bien.)
Jack-the-rimeur- — — Zonard crépusculaire — — Disciple d'Ambrose Bierce
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Re: Le mal dans la peau.
Merci, Jack !
K²- — Kmarade Carré — Rassembleur de points perdus
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Re: Le mal dans la peau.
J'ai adoré le début. Je n'avais pas tout de suite saisi qu'il s'agissait d'un livre, et donc j'avais commencé à élaboré une vision futuriste où les gens étaient stockés les uns après les autres… puis, quand j'ai compris de quoi il s'agissait - quand même rapidement, je te rassure - j'ai été bluffée. Je trouve l'idée excellente et la personnification est très bien faite. Tout le début où on voit Jean-Michel revenir à la vie est excellente.
Pour le prénom, ça ne m'a pas gênée. Pour moi, il s'agissait d'une méprise rigolote, où le livre se sentait concerné alors que la personne appelait en réalité l'homme qui le touchait à ce moment-là. Mais c'est vrai que ça donne un côté humoristique qui pourrait orienter vers un autre style. Néanmoins, pour ma part, ça ne m'a pas perturbée.
Pour la suite, j'ai apprécié le récit, même si c'est vrai qu'il y a beaucoup d'éléments qui ne sont pas expliqués. Sur un format nouvelle, ça ne me dérange pas vraiment, surtout qu'on est du point de vue du livre qui lui-même ne comprend pas vraiment ce qui se passe.
Pour le style, je l'ai trouvé vraiment agréable à lire, même s'il y a effectivement quelques fautes et maladresses (ne te flagelle pas trop, ça arrive à tout le monde d'en laisser échapper). Géraldine en a relevé la plupart. Je te donne juste quelques pistes de ce qui m'a interpellée, si jamais tu veux reprendre le texte plus tard (enfin, tu n'es pas obligé de prendre en compte mes remarques, bien sûr. C'est au cas où). D'ailleurs, je ne suis pas sûre pour tout, alors faut pas hésiter à vérifier et me reprendre si je dis des bêtises.
Bon, déjà, le "poussiéra", j'ai bien aimé. C'est original. Mais le "palpe" m'a un peu perturbée (j'ai stoppé ma lecture pour "googler" le terme, afin de voir s'il existait).
p.1 : "La situation s’était poursuivit jusqu’au jour où un homme était entré dans la cave"
-> La situation s'était poursuivie
p.2 "Celle-ci baignait le livre de flammes sensuelles qui le galvanisaient."
-> J'ai eu du mal à faire le lien entre flammes sensuelles et terreur, à me représenter la signification exacte de le phrase.
p.3 "Son désir d’être lu avait été trop fort. Il l’avait poussé à agir sans réfléchir, lui qui avait plutôt coutume du contraire. La prochaine fois, il lui faudrait être plus prudent."
-> Il l’avait poussé à agir sans réfléchir, lui qui avait plutôt coutume du contraire.
J'ai eu du mal à comprendre : c'est le livre qui a poussé la fille à agir ? De quelle façon, en fuyant ? Et la formulation "avait coutume du contraire" ne m'a pas parue très naturelle.
p. 4 "Il me prend que j’ai senti ce bouquin bouger, putain ! » glapit l’homme, loin de se rassurer."
-> J'aurais plutôt dit "loin d'être rassuré" puisque ce 'est pas lui qui tente de se rassurer lui-même mais ce qui dit la femme qui est censé le rassurer.
p.6 " Sa détresse tourna la tête du livre, assailli de torrents d’énergie, l’attention du malheureux policier se concentrant toujours plus sur lui.
Il ne vit pas venir le coup de couteau qui le transperça."
-> J'ai du relire plusieurs fois pour bien saisir ce qui se passait. J'ai eu un peu de mal à distinguer ce qui relevait du livre par rapport à l'homme, dans l'action.
Voilà, ce sont des détails, évidemment. Reste que j'ai beaucoup apprécié ton récit, pour son originalité surtout.
Pour le prénom, ça ne m'a pas gênée. Pour moi, il s'agissait d'une méprise rigolote, où le livre se sentait concerné alors que la personne appelait en réalité l'homme qui le touchait à ce moment-là. Mais c'est vrai que ça donne un côté humoristique qui pourrait orienter vers un autre style. Néanmoins, pour ma part, ça ne m'a pas perturbée.
Pour la suite, j'ai apprécié le récit, même si c'est vrai qu'il y a beaucoup d'éléments qui ne sont pas expliqués. Sur un format nouvelle, ça ne me dérange pas vraiment, surtout qu'on est du point de vue du livre qui lui-même ne comprend pas vraiment ce qui se passe.
- Spoiler:
- Je n'avais toutefois pas saisi que l'homme en soutane n'avait pas conscience de sa nature. Je pensais que c'est pour ça qu'il le considérait comme "dangereux" et non pas pour son contenu.
Pour le style, je l'ai trouvé vraiment agréable à lire, même s'il y a effectivement quelques fautes et maladresses (ne te flagelle pas trop, ça arrive à tout le monde d'en laisser échapper). Géraldine en a relevé la plupart. Je te donne juste quelques pistes de ce qui m'a interpellée, si jamais tu veux reprendre le texte plus tard (enfin, tu n'es pas obligé de prendre en compte mes remarques, bien sûr. C'est au cas où). D'ailleurs, je ne suis pas sûre pour tout, alors faut pas hésiter à vérifier et me reprendre si je dis des bêtises.
Bon, déjà, le "poussiéra", j'ai bien aimé. C'est original. Mais le "palpe" m'a un peu perturbée (j'ai stoppé ma lecture pour "googler" le terme, afin de voir s'il existait).
p.1 : "La situation s’était poursuivit jusqu’au jour où un homme était entré dans la cave"
-> La situation s'était poursuivie
p.2 "Celle-ci baignait le livre de flammes sensuelles qui le galvanisaient."
-> J'ai eu du mal à faire le lien entre flammes sensuelles et terreur, à me représenter la signification exacte de le phrase.
p.3 "Son désir d’être lu avait été trop fort. Il l’avait poussé à agir sans réfléchir, lui qui avait plutôt coutume du contraire. La prochaine fois, il lui faudrait être plus prudent."
-> Il l’avait poussé à agir sans réfléchir, lui qui avait plutôt coutume du contraire.
J'ai eu du mal à comprendre : c'est le livre qui a poussé la fille à agir ? De quelle façon, en fuyant ? Et la formulation "avait coutume du contraire" ne m'a pas parue très naturelle.
p. 4 "Il me prend que j’ai senti ce bouquin bouger, putain ! » glapit l’homme, loin de se rassurer."
-> J'aurais plutôt dit "loin d'être rassuré" puisque ce 'est pas lui qui tente de se rassurer lui-même mais ce qui dit la femme qui est censé le rassurer.
p.6 " Sa détresse tourna la tête du livre, assailli de torrents d’énergie, l’attention du malheureux policier se concentrant toujours plus sur lui.
Il ne vit pas venir le coup de couteau qui le transperça."
-> J'ai du relire plusieurs fois pour bien saisir ce qui se passait. J'ai eu un peu de mal à distinguer ce qui relevait du livre par rapport à l'homme, dans l'action.
Voilà, ce sont des détails, évidemment. Reste que j'ai beaucoup apprécié ton récit, pour son originalité surtout.
Amaranth- Book'trotteuse de l'extrême — Reflet dans un œil gore —
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Age : 32
Re: Le mal dans la peau.
Merci beaucoup, Amaranth !
Je suis vraiment ravi que ça t'ai plu.
Pour les remarques :
- Palpe, c'est un organe sensoriel à mi chemin entre la pièce buccale et les pattes d'un arthropode. Je conçois que ça ait pu surprendre, mais pour moi, c'est vraiment le terme qui définissait ce que je voulais exprimer. (Et qui fait partie de mon vocabulaire depuis si longtemps que je ne le trouve pas exotique)
p.2 : "Celle-ci baignait le livre de flammes sensuelles qui le galvanisaient."
-> Le livre se sent plus fort sous l'action de ses flammes, il est exalté par cette sensation enivrante. Il n'est pas question de terreur.
p.3 : "Son désir d’être lu avait été trop fort. Il l’avait poussé à agir sans réfléchir, lui qui avait plutôt coutume du contraire. La prochaine fois, il lui faudrait être plus prudent."
-> "Il" remplace le sujet de la phrase précédente. C'est donc le désir qui à poussé Jean-Michel à agir (puis que "lui" remplace Jean-Michel dans ce passage).
p.6 : " Sa détresse tourna la tête du livre, assailli de torrents d’énergie, l’attention du malheureux policier se concentrant toujours plus sur lui.
Il ne vit pas venir le coup de couteau qui le transperça."
-> Le problème m'a déjà été signalé. Seulement, pour moi, "Il" reprend le dernier sujet évoqué, dans ce cas "lui", qui remplaçait déjà "le livre". ça me paraissait clair. ça ne l'est visiblement pas. Il va sans doute falloir que je me méfie et emploie une syntaxe plus simple.
p.5 : qu'est-il arrivé au p.5 ???
Je suis vraiment ravi que ça t'ai plu.
Pour les remarques :
- Palpe, c'est un organe sensoriel à mi chemin entre la pièce buccale et les pattes d'un arthropode. Je conçois que ça ait pu surprendre, mais pour moi, c'est vraiment le terme qui définissait ce que je voulais exprimer. (Et qui fait partie de mon vocabulaire depuis si longtemps que je ne le trouve pas exotique)
p.2 : "Celle-ci baignait le livre de flammes sensuelles qui le galvanisaient."
-> Le livre se sent plus fort sous l'action de ses flammes, il est exalté par cette sensation enivrante. Il n'est pas question de terreur.
p.3 : "Son désir d’être lu avait été trop fort. Il l’avait poussé à agir sans réfléchir, lui qui avait plutôt coutume du contraire. La prochaine fois, il lui faudrait être plus prudent."
-> "Il" remplace le sujet de la phrase précédente. C'est donc le désir qui à poussé Jean-Michel à agir (puis que "lui" remplace Jean-Michel dans ce passage).
p.6 : " Sa détresse tourna la tête du livre, assailli de torrents d’énergie, l’attention du malheureux policier se concentrant toujours plus sur lui.
Il ne vit pas venir le coup de couteau qui le transperça."
-> Le problème m'a déjà été signalé. Seulement, pour moi, "Il" reprend le dernier sujet évoqué, dans ce cas "lui", qui remplaçait déjà "le livre". ça me paraissait clair. ça ne l'est visiblement pas. Il va sans doute falloir que je me méfie et emploie une syntaxe plus simple.
p.5 : qu'est-il arrivé au p.5 ???
K²- — Kmarade Carré — Rassembleur de points perdus
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Age : 41
Localisation : Montarroi
Re: Le mal dans la peau.
Un beau morceau de bravoure, et mention spéciale au verbe poussiérer. j'ai parfaitement imaginé le bouquin soupirer en lâchant un nuage de poussière.
Malheureusement, j'ai décroché au bout d'un moment. D'abord parce que l'action m'a paru confuse, ce qui doit aussi être en parti un défaut d'inattention de ma part, ensuite parce que j'ai moins aimé l'idée des palpes, c'est... trop facile ! Un livre maudit paraît maudit par l'influence qu'il exerce, et ce sont les gens autour qui font le mal. Lui donner des palpes, tentacules, pattes, digitations, membres, et autres organes préhensiles, c'est en faire une créature bibliomorphe (ouch !) et plus un livre.
Bon, je fais mon emmerdeur, c'est vrai.
Malheureusement, j'ai décroché au bout d'un moment. D'abord parce que l'action m'a paru confuse, ce qui doit aussi être en parti un défaut d'inattention de ma part, ensuite parce que j'ai moins aimé l'idée des palpes, c'est... trop facile ! Un livre maudit paraît maudit par l'influence qu'il exerce, et ce sont les gens autour qui font le mal. Lui donner des palpes, tentacules, pattes, digitations, membres, et autres organes préhensiles, c'est en faire une créature bibliomorphe (ouch !) et plus un livre.
Bon, je fais mon emmerdeur, c'est vrai.
Re: Le mal dans la peau.
Merci de ta lecture, Didier.
Mon livre est vivant, c'est donc en effet une créature bibliomorphe. Tout dépend de la définition du livre qu'on a. Il semblerait que pour certains, un livre, c'est un fichier informatique, un document Word, ou même une application informatique.
Pour les palpes, ils sont immatériels, invisibles, ils ne sont qu'une illustration de son pouvoir. Mon livre a toujours l'aspect d'un livre.
Désolé que tu aies décroché.
Mon livre est vivant, c'est donc en effet une créature bibliomorphe. Tout dépend de la définition du livre qu'on a. Il semblerait que pour certains, un livre, c'est un fichier informatique, un document Word, ou même une application informatique.
Pour les palpes, ils sont immatériels, invisibles, ils ne sont qu'une illustration de son pouvoir. Mon livre a toujours l'aspect d'un livre.
Désolé que tu aies décroché.
K²- — Kmarade Carré — Rassembleur de points perdus
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Date d'inscription : 27/03/2014
Age : 41
Localisation : Montarroi
Re: Le mal dans la peau.
Une lecture plaisante, mais, comme d'autres avant moi, certaines maladresses. Jean-Michel, j'ai pas réussi à m'y faire pour un livre. Si le prénom avait été mieux expliqué (je n'ai pas compris ce que tu expliques à ce propos, mais qu'une personne était arrivée et avait parlé au livre en l'appelant ainsi), peut-être que ça serait passé mieux. Ensuite, les trous explicatifs. Le curé (désolée mais le terme soutane renvoie automatiquement à un religieux) n'est pas assez présenté. Encore une fois, on ne comprend pas ton intention et pour le lecteur, ce personnage en sait beaucoup sur le livre, mais sans que nous on comprenne. Du coup, il y a aussi incompréhension sur le manque de sécurité autour de l'ouvrage. (comme on comprend l'histoire sans les éléments non intégrés).
La fin est à retravailler, elle n'est pas très claire et j'ai eu l'impression qu'elle clôturait mal l'histoire dans le sens où il manquait un bout à cette dite-histoire.
Pour le thème, il est respecté, pas de problème.
Et puis, quelques coquilles, mais rien de très grave.
Maintenant, l'idée est très originale et donc, on a plaisir à lire. J'ai bien aimé ce livre qui s'éveille à la vie sans qu'on sache pourquoi (et là le blanc ne m'a pas gêné) et qui désire juste être lu, mais qui fait peur et horrifie, et finit par tuer presque à son corps défendant. C'est joliment trouvé.
La fin est à retravailler, elle n'est pas très claire et j'ai eu l'impression qu'elle clôturait mal l'histoire dans le sens où il manquait un bout à cette dite-histoire.
Pour le thème, il est respecté, pas de problème.
Et puis, quelques coquilles, mais rien de très grave.
Maintenant, l'idée est très originale et donc, on a plaisir à lire. J'ai bien aimé ce livre qui s'éveille à la vie sans qu'on sache pourquoi (et là le blanc ne m'a pas gêné) et qui désire juste être lu, mais qui fait peur et horrifie, et finit par tuer presque à son corps défendant. C'est joliment trouvé.
Re: Le mal dans la peau.
Merci de ta lecture, Catherine.
J'aurais en effet pu clarifier tous ces aspects, mais j'aurais dû pour cela adopter une narration omnisciente, et non celle plus resserrée autour du livre dont j'avais envie. C'était peut-être une erreur, ou simplement une affaire de goût. Je garde néanmoins les remarques dans un coin de ma tête au cas où (pour retravailler ce texte, ou pour les prochains).
S'il y a eu du plaisir, c'est le principal ! Et ça me plaît !
J'aurais en effet pu clarifier tous ces aspects, mais j'aurais dû pour cela adopter une narration omnisciente, et non celle plus resserrée autour du livre dont j'avais envie. C'était peut-être une erreur, ou simplement une affaire de goût. Je garde néanmoins les remarques dans un coin de ma tête au cas où (pour retravailler ce texte, ou pour les prochains).
S'il y a eu du plaisir, c'est le principal ! Et ça me plaît !
K²- — Kmarade Carré — Rassembleur de points perdus
- Messages : 1307
Date d'inscription : 27/03/2014
Age : 41
Localisation : Montarroi
Re: Le mal dans la peau.
Je pense que tu aurais pu clarifier ces aspects sans passer par une narration omnisciente. En les amenant autrement, en en modifiant certains ou même en en supprimant.
Plus facile à dire qu'à faire, mais si tout était facile, tout le monde écrirait des chefs-d'oeuvre.
Par contre, c'est un travail auquel tu devrais t'atteler sur ce texte parce qu'il a une bonne base.
Plus facile à dire qu'à faire, mais si tout était facile, tout le monde écrirait des chefs-d'oeuvre.
Par contre, c'est un travail auquel tu devrais t'atteler sur ce texte parce qu'il a une bonne base.
Re: Le mal dans la peau.
J'y réfléchis pas mal depuis les premières critiques qui m'ont été faites. Mais je n'ai pas encore trouvé le moyen de réaliser cette clarification sans perdre le point de vue initial.
K²- — Kmarade Carré — Rassembleur de points perdus
- Messages : 1307
Date d'inscription : 27/03/2014
Age : 41
Localisation : Montarroi
Re: Le mal dans la peau.
J'avais été un peu désarçonné par le point de vue utilisé mais c'était le but recherché . Alors, bravo!
Au final, un bon moment. Quand au prénom du livre, pourquoi pas? Je trouve qu'il ajoute au coté inquiétant de l'histoire...
Pas la peine d'en rajouter effet Grand Guignol
Au final, un bon moment. Quand au prénom du livre, pourquoi pas? Je trouve qu'il ajoute au coté inquiétant de l'histoire...
Pas la peine d'en rajouter effet Grand Guignol
ranulf- Apprenti égorgeur
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Date d'inscription : 06/10/2015
Age : 68
Re: Le mal dans la peau.
Merci, Ranulf.
Vaste débat que ce prénom ! Je crois qu'il y a un truc qui n'est pas passé dans mon écriture, c'est le fait que je me suis vraiment marré en rédigeant ce texte.
Pour moi, c'est avant tout l'histoire d'un livre maudit parce qu'il n'arrive pas à être lu, malgré tous ses efforts. Et je trouvais ça vachement rigolo comme idée.
Vaste débat que ce prénom ! Je crois qu'il y a un truc qui n'est pas passé dans mon écriture, c'est le fait que je me suis vraiment marré en rédigeant ce texte.
Pour moi, c'est avant tout l'histoire d'un livre maudit parce qu'il n'arrive pas à être lu, malgré tous ses efforts. Et je trouvais ça vachement rigolo comme idée.
K²- — Kmarade Carré — Rassembleur de points perdus
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Date d'inscription : 27/03/2014
Age : 41
Localisation : Montarroi
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