Et si la Mort devenait le personnage central d'un roman Fantasy ?! (texte retiré)
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Et si la Mort devenait le personnage central d'un roman Fantasy ?! (texte retiré)
Bonjour à tous,
Je viens de terminer un récit pour lequel je voulais un personnage fort, connu de tous, et si possible craint ou redouté. Le pitch donnerait quelque chose comme ça :
"Elle est la Mort, aveugle et impartiale, crainte autant par les dieux que par les hommes.
Tous les avis et retours sont les bienvenus
Merci
Je viens de terminer un récit pour lequel je voulais un personnage fort, connu de tous, et si possible craint ou redouté. Le pitch donnerait quelque chose comme ça :
"Elle est la Mort, aveugle et impartiale, crainte autant par les dieux que par les hommes.
Lorsqu’elle accède à la souveraineté du plus grand royaume terrestre, sa mainmise est sans pitié. Les masques tombent et des plans s’échafaudent dans l’ombre. Les tyrans ne seront peut-être pas ceux qu’on croit.
Une grande épopée Fantasy, centrée sur le personnage emblématique de nos cauchemars".
Le texte est disponible là :Tous les avis et retours sont les bienvenus
Merci
Re: Et si la Mort devenait le personnage central d'un roman Fantasy ?! (texte retiré)
Ouh là ! 52 pages... Mais c'est un bon sujet assurément
Je ne crois pas avoir le temps de tout lire ce week-end... Faudra encore patienter surtout que je ne suis pas spécialiste de Fantasy (pour dire vrai : je n'aime pas en lire... à part les classiques comme Tolkien... Je sais, il y a sûrement de très bons auteurs à découvrir comme Didier... toi... Stanis...)
Je ne crois pas avoir le temps de tout lire ce week-end... Faudra encore patienter surtout que je ne suis pas spécialiste de Fantasy (pour dire vrai : je n'aime pas en lire... à part les classiques comme Tolkien... Je sais, il y a sûrement de très bons auteurs à découvrir comme Didier... toi... Stanis...)
Re: Et si la Mort devenait le personnage central d'un roman Fantasy ?! (texte retiré)
Merci Françoise ! C'est le premier jet corrigé d'un petit roman. Je réfléchis à d'autres aventures autour du même thème, et du même personnage.
Je le retravaillerai dans quelques semaines, si une ou deux personnes ont le temps d'y jeter un œil et de pointer du doigt les faiblesses ^_^
Je le retravaillerai dans quelques semaines, si une ou deux personnes ont le temps d'y jeter un œil et de pointer du doigt les faiblesses ^_^
Re: Et si la Mort devenait le personnage central d'un roman Fantasy ?! (texte retiré)
Je vous rajoute un petit texte qui pourrait servir d'ouverture au roman, écrit ce soir :
- Spoiler:
- L’appel des cloches
À travers des contrées décharnées, la troupe composée d’une vingtaine de cavaliers avait trotté depuis maintenant plus d’une semaine, sombrant petit à petit dans une apathie morbide. Sur les routes en terre sèche la poussière stagnait suspendue dans l’air. La voute nuageuse n’évoluait à aucun instant du jour ou de la nuit, demeurant grisâtre et fade. Leur périple leur avait fait longer des forêts squelettiques, passer parmi des champs de rouille, le long de rivières asséchées, de masures abandonnées. On se serait cru en ces temps où la peste fit de grands ravages.
Des corps figés se croisaient parfois, assis à un banc devant une ferme, dans un état lamentable, cadavérique, obligeant à détourner le regard sous la nausée. Parfois, une forme à peine humaine se trainait à plat ventre au bord d’une route ou gisait dans une position impossible, assis contre une barrière, étendu sur un flanc en arrivant à une borne d’indication. Mieux valait encore une fois ne pas les voir, car à chercher un signe de vie, des pupilles pouvaient soudain s’animer et bouger dans les orbites et un échange macabre s’établir, qui aurait tétanisé le cœur le plus endurci.
Les seuls bruits audibles restaient ceux du vent, mugissements longs dans les branches des arbres, aux ailes des moulins qui cliquetaient sans vie. Aucun autre son ne s’entendait plus. Là où des chants de criquets, des sifflements d’oiseaux, des grattements ou de petits bruits de branches et de feuilles égaillent de mille couleurs un paysage habituel, ici plus rien ne vivait. Si l’on croisait un animal, souvent l’apercevait-on comme une statue figée, aussi mort et pouilleux que le reste, les oiseaux cramponnés à une branche sans jamais s’envoler, le ciel vide de toute présence.
Aucun des voyageurs n’avaient plus le cœur depuis longtemps à chanter, fredonner ou discuter. Encore moins à lancer une plaisanterie. Ils touchaient au but de leur quête, et bon nombre aurait été prompt à tourner les sabots pour repartir au plus vite, sans même arriver à destination. Fallait-il qu’ils fassent preuve d’une profonde abnégation pour continuer encore ?!
Enfin, on distingua par-delà les arbres dépouillés au loin les toits de la cité à atteindre. Un cri fit presser le pas et on partit au galop. Les bêtes s’ébrouèrent, évacuant elles-aussi la morosité qu’elles sentaient de leurs cavaliers et des lieux traversés. Les portes n’étaient point fermées. La cavalcade se répercuta plus fort sur les pavés lorsqu’ils s’engouffrèrent entre les maisons basses ; et ils gagnèrent la place centrale, une grande esplanade désolée, vide de tout ce qui fait habituellement le cœur vibrant d’une ville. Un lieu mort comme partout ailleurs.
- Faites donner des cloches ! Lança le commandant de la troupe, un homme de haute noblesse, et en cela bien peu enchanté de la mission qui lui avait été confiée.
Certaines maisons étaient rehaussées d’un petit campanile. Chaque cloche avait pour office de ponctuer les grands moments de la journée et de la vie de la cité. Une corde pendait à l’aplomb de chaque élévation, souvent une par bâtisse. Six courageux s’étaient dévoués, descendant de monture et allant prendre place en des endroits différents. D’un geste de leur seigneur, ils tirèrent les cordes et après quelques mouvements d’efforts, l’amplitude fut suffisante pour que les battants cognent et que résonnent les cloches. L’air et la langueur des lieux furent comme secoués, et ébranlés par les tintements assourdissants et presque inopportuns sur l’instant.
Les spectateurs dans la troupe furent heureux quand l’ordre fut donné de cesser. On sortit les épées, la pression se raffermit sur les hampes des lances.
- Là, cria quelqu’un.
Débouchant d’une porte, un enfant en haillon claudiqua lentement, fort lentement même, et s’arrêta sans paraître capable d’aller plus loin. Un enfant, de par sa taille, son corps fluet, rien pourtant ne semblait vivant en lui : une peau parcheminée, sombre, une maigreur au-delà de toute description. Mort, comme tout le reste alentours. Une femme apparut derrière le gamin, se trainant avec autant de peine et de difficulté, le visage penché en avant comme si la nuque n’avait pu le soutenir. Elle s’avança d’avantage, s’approchant d’eux. Le commandant donna des étriers et vint jusqu’à elle.
Peut-être une ou deux silhouettes avaient également fait leur apparition. Elles restèrent bloquées où elles avaient surgi. L’une d’elles, encadrée par une fenêtre, fit courir un frisson dans bien des échines, comme s’il y avait eu là un spectre. Et peu s’en fallait en effet.
Après quelques palabres, la troupe repartit au galop à travers la cité, en sortit et gagna le domaine seigneuriale sur une butte en hauteur. Les cloches avaient dû s’entendre là-bas aussi, car les morts furent rapidement bien plus nombreux, plusieurs dizaines de dizaines, comme si tous ensemble ils conservaient un lien ou avaient formé encore une société. Au cours de leur voyage, certains avaient attaqué les cavaliers. Ces derniers restèrent donc en formation compacte, armes au clair, prêts à tout. Parmi la foule inhumaine, un « porte-parole » s’avança, qui discuta à voix lente et basse avec leur commandant.
- Ils acceptent notre offre, lança finalement ce dernier. Nous trouverons le chevalier à la cité-cimetière.
Encore une fois, ils tournèrent bride et gagnèrent l’endroit indiqué.
La dernière maison du seigneur des lieux semblait un temple de taille réduite, trônant au cœur d’une petite cité, consacrée aux seuls disparus. Les lourdes portes n’étaient pas ouvertes, on écarta les deux battants, descendit quelques marches et s’avança vers les tombes. L’essentiel de la décoration se composait de statues de divinités à qui on consacrait les âmes des défunts, pour qu’elles soient accueillies dans l’au-delà.
Sans beaucoup de considération, impatient de parvenir au terme de leur quête, on glissa des tiges épaisses en chêne sous l’achoppement principal de la tombe, fit levier, glissa des cales en-dessous. Rapidement le couvercle en pierre fut déplacé, renversé sur le côté, soutenu par d’autres leviers placés en opposition. L’effort était considérable… mais l’exercice bienvenu pour oublier pendant quelques instants le contexte dans lequel ils se trouvaient. Enfin on découvrit l’intérieur de la tombe du chevalier.
Restait une dernière inquiétude : avait-il survécu à la mort ?
Re: Et si la Mort devenait le personnage central d'un roman Fantasy ?! (texte retiré)
Cette ouverture me paraît bien meilleure. Le dialogue entre les "âmes" était à mon goût trop fantaisiste.
Malgré le "silence radio" que tu as pu constater depuis le 28/02, sache que j'ai lu ton récit. De façon très hachée, et souvent avec un œil trop analytique pour me plonger totalement dans le récit. Je ne me suis pas posé calmement pour le lire - désolé, en général je fais ça le soir après le boulot, ou le matin avant le boulot, alors dix pages ça va, cinquante, ça va moins !
Je peux quand même te livrer quelques impressions.
Certains passages m'ont paru trop lyriques, mais je pense que c'est volontaire alors...
Tu as su inclure pas mal de personnages secondaires truculents. On navigue souvent entre la fantasy, le conte et la fable. Cet univers me semble être le point fort du récit.
A la fin, tu fais une sorte d'exposé sur le "carpe diem", sans doute très sincère, mais très consensuel, qui dans le contexte, m'a paru un peu naïf.
En tout cas, je t'encourage à poursuivre tes corrections.
Malgré le "silence radio" que tu as pu constater depuis le 28/02, sache que j'ai lu ton récit. De façon très hachée, et souvent avec un œil trop analytique pour me plonger totalement dans le récit. Je ne me suis pas posé calmement pour le lire - désolé, en général je fais ça le soir après le boulot, ou le matin avant le boulot, alors dix pages ça va, cinquante, ça va moins !
Je peux quand même te livrer quelques impressions.
Certains passages m'ont paru trop lyriques, mais je pense que c'est volontaire alors...
Tu as su inclure pas mal de personnages secondaires truculents. On navigue souvent entre la fantasy, le conte et la fable. Cet univers me semble être le point fort du récit.
A la fin, tu fais une sorte d'exposé sur le "carpe diem", sans doute très sincère, mais très consensuel, qui dans le contexte, m'a paru un peu naïf.
En tout cas, je t'encourage à poursuivre tes corrections.
Re: Et si la Mort devenait le personnage central d'un roman Fantasy ?! (texte retiré)
Je viens de tomber sur ta rubrique Paulux... Mais je crois que Pratchett avait fait de la mort un personnage de ses romans de fantasy, non ?
SILENCE- — — — Moine copiste — — — Disciple des Lois du Silence
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Re: Et si la Mort devenait le personnage central d'un roman Fantasy ?! (texte retiré)
C'est Mortimer, l'un des premiers de ses "Annales du Disque-Monde" - et un très bon bouquin, d'ailleurs.
Mais le texte de Paulux est radicalement différent.
Mais le texte de Paulux est radicalement différent.
Re: Et si la Mort devenait le personnage central d'un roman Fantasy ?! (texte retiré)
Merci pour ces commentaires ! Ça reste un premier jet, donc je note les points à améliorer ^_^
Re: Et si la Mort devenait le personnage central d'un roman Fantasy ?! (texte retiré)
Désolée mais je n'ai pas encore lu
Peut-être bientôt *oups*
Peut-être bientôt *oups*
Re: Et si la Mort devenait le personnage central d'un roman Fantasy ?! (texte retiré)
Y a pas de soucis, Françoise... comme tu vois, je continue à réfléchir à cette histoire ! Rien ne presse ^_^
Re: Et si la Mort devenait le personnage central d'un roman Fantasy ?! (texte retiré)
J'ai commencé, j'en suis à la page 18. En fait c'est une police d'au moins 14 ! Donc ça peut se lire vite, sauf que je suis déjà larguée : je ne comprends pas les personnages, ce qu'ils sont les uns par rapport aux autres. Enfin, c'est compliqué entre eux : le chevalier obéit trop vite à mon goût... "sa femme" alias Mortis ??? Pourquoi doit elle être "lavée" par le sang de son fils et son époux ??? Le tyran qui la convoite et lui fait subir tous ces supplices, qui est-il vraiment ? Solaris ou L'empereur Salair... Bref, j'aurai aimé aussi une explication sur le pourquoi de toutes ces résurrections et métamorphoses (donner la clef de ce "royaume" : ce qui est possible ou pas car tout semble possible et ça me perturbe...). Je dois être hermétique à la Fantasy...
Re: Et si la Mort devenait le personnage central d'un roman Fantasy ?! (texte retiré)
Ouh là ! Ca part mal ^_^ Mais si tu n'es pas arrivée encore à la scène dans le jardin, tu n'as pas encore toutes les clés :
N'est-ce pas une bonne chose si tu te poses des questions et que tu as envie d'en savoir plus ??
- Spoiler:
- + Le chevalier constate en se "réveillant" que tout va mal, voire pire. Il comprend qu'il est le seul à pouvoir approcher son épouse. Et empêcher peut-être d'autres drames.
+ Mortis est "lavée" pour retrouver sa virginité et sa jeunesse, et pouvoir être mariée à l'empereur,
+ Le tyran (au final je vais conserver que le nom: Solair) sera dévoilé un peu plus tard, on en apprend plus au cours du récit dans le jardin,
N'est-ce pas une bonne chose si tu te poses des questions et que tu as envie d'en savoir plus ??
Re: Et si la Mort devenait le personnage central d'un roman Fantasy ?! (texte retiré)
Bon, je t'avoue que ça ne m'a pas emballée plus que ça. En partie à cause d'un langage très soutenu (petite remarque : la plupart du temps tu utilises du subjonctif présent, sauf à quelques reprises où tu mets du subjonctif imparfait, page 18 "trouvassent" et page 24 "passassent" par exemple, ça fait bizarre) et en partie à cause de l'histoire que je trouve un peu poussive au départ, ensuite il se passe pas mal de choses que j'ai eu du mal à visualiser (par exemple la montée vers le monde des dieux, et puis j'ai rien compris de la bagarre avec l'Homme-Taureau, cette histoire de pirouette télépathique avec le Pégase m'a paru bizarre). Concernant l'appellation "vivant-mort", je trouve ça moche. Bien sûr, on comprend tout de suite ce que tu veux dire (ce qui ne serait pas forcément le cas avec un mot "inventé" de ta part) et l'utilisation de "mort-vivant" renverraient au mot zombie, ce qui ne te plaisait pas je suppose.
Comme Cancereugène, je préfère l'ouverture que tu as ajouté que ton début avec les âmes, on n'y comprend rien et ça donne pas plus que ça envie de continuer. Alors que pour l'ouverture (à retravailler niveau forme, exemple : répétition de "parfois" dans le deuxième paragraphe ; "Des corps figés se croisaient parfois, assis à un banc" je crois que tu veux dire que c'est les voyageurs qui croisaient des corps figés ou alors que les corps figés sont l'un sur l'autre ? c'est pas clair ; je ne comprends pas "Les spectateurs dans la troupe" ; le passage avec une ou deux silhouettes me chiffonne un peu), on arrive mieux à situer le genre d'histoire que tu nous proposes.
Comme Cancereugène, je préfère l'ouverture que tu as ajouté que ton début avec les âmes, on n'y comprend rien et ça donne pas plus que ça envie de continuer. Alors que pour l'ouverture (à retravailler niveau forme, exemple : répétition de "parfois" dans le deuxième paragraphe ; "Des corps figés se croisaient parfois, assis à un banc" je crois que tu veux dire que c'est les voyageurs qui croisaient des corps figés ou alors que les corps figés sont l'un sur l'autre ? c'est pas clair ; je ne comprends pas "Les spectateurs dans la troupe" ; le passage avec une ou deux silhouettes me chiffonne un peu), on arrive mieux à situer le genre d'histoire que tu nous proposes.
A'Tuin- Écritoirien émérite stagiaire
- Messages : 508
Date d'inscription : 18/09/2013
Age : 36
Re: Et si la Mort devenait le personnage central d'un roman Fantasy ?! (texte retiré)
Bonsoir A'Tuin, merci pour ta lecture et tes retours. J'ai attaqué aujourd'hui le travail de relecture, donc je vais tenir compte de tes avis et commentaires pour voir les points à améliorer.
J'étais assez content d'avoir abordé certains sujets d'une façon "inhabituelle", mais il faut pour que cela fonctionne que le lecteur comprenne parfaitement de quoi je parle.
Bref... au boulot ! Y a du taf, là ^_^
J'étais assez content d'avoir abordé certains sujets d'une façon "inhabituelle", mais il faut pour que cela fonctionne que le lecteur comprenne parfaitement de quoi je parle.
Bref... au boulot ! Y a du taf, là ^_^
Re: Et si la Mort devenait le personnage central d'un roman Fantasy ?! (texte retiré)
Bonsoir à tous !
J'ai repris le boulot, je bosse comme caissier dans un centre E.Leclerc, ce qui fait que le temps disponible se retreint de manière drastique !
Actuellement, je finis la correction de la dernière mouture du roman. Un éditeur québécois "serait intéressé" après avoir lu le 1er jet. Je croise donc les doigts.
Merci à ceux qui ont lu ce texte. J'ai "normalement" inclus et tenu compte de tous vos avis ! On verra bien ce que ça donne
Bien à vous tous, écritoriens !
J'ai repris le boulot, je bosse comme caissier dans un centre E.Leclerc, ce qui fait que le temps disponible se retreint de manière drastique !
Actuellement, je finis la correction de la dernière mouture du roman. Un éditeur québécois "serait intéressé" après avoir lu le 1er jet. Je croise donc les doigts.
Merci à ceux qui ont lu ce texte. J'ai "normalement" inclus et tenu compte de tous vos avis ! On verra bien ce que ça donne
Bien à vous tous, écritoriens !
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