Conte moral
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Re: Conte moral
Lecture d'office altérée par la récurrence d'absence de virgules tout au long du texte. Sinon, sur l'histoire en elle-même, j'ai moyennement accroché. Déjà-lu plus ou moins la même chose ailleurs. Le peuple inconnu qui parle de la Terre et de ses vilains hommes... Et l'environnement sablonneux devient aussi récurrent. Désolé
"Et la souffrance enfanta l'inspiration..."
Re: Conte moral
Pas de mal, c'est un vieux truc à enterrer... dans le sable peut-être ?
Il semble me souvenir que je l'avais écrit parce que j'étais retombée par hasard sur un poème de R Desnos : Une fourmi de 18 mètres avec un chapeau sur la tête...
Il semble me souvenir que je l'avais écrit parce que j'étais retombée par hasard sur un poème de R Desnos : Une fourmi de 18 mètres avec un chapeau sur la tête...
"Ils nous pissent dessus et ils ne nous font même pas croire qu'il pleut." Dr Augustine, Avatar
Perroccina- — — — — E.T à moto — — — — Disciple asimovienne
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Re: Conte moral
Allez hop, on déterre un vieux machin au passage !
Bon, c'est un texte court qui a donc cette facilité/rapidité de lecture pour lui et ne serait-ce la description du fameux objet, j'ai assez bien visualisé le cadre. Pour le fond, rien à noter de spécial, c'est typique de ce qu'on est en droit d'attendre de ce type de récit et pas particulièrement original, mais c'est bien fait et le message "moral" est là.
Ceci dit, il m'a manqué moi aussi un petit truc.
On a l'impression que ce que raconte la mère est en décalage avec l'action présente ou du moins que ces deux aspects du récit ne marchent pas ensemble (c'est pourtant comme ça que le texte début : "maman, regarde ce que j'ai trouvé!", il aurait donc été logique que ces deux éléments marchent de concert). Perso, j'aurais mis quelques descriptions des deux personnages en train de déterrer le machin, pendant que la mère raconte son histoire à l'enfant, ça aurait été un peu plus vivant dans la narration, plus "dynamique" (Pala parlerait sûrement du dosage entre "show" et "tell").
Ceci étant donné, comme je disais plus haut, ça se lit vite et sans problème, pour un texte qui de toute façon n'avait pas spécialement d'ambition. Mais si tu veux y revenir un de ces jours, tu auras au moins quelques pistes sympa d'amélioration.
Au plaisir de te relire, Perro !
Bon, c'est un texte court qui a donc cette facilité/rapidité de lecture pour lui et ne serait-ce la description du fameux objet, j'ai assez bien visualisé le cadre. Pour le fond, rien à noter de spécial, c'est typique de ce qu'on est en droit d'attendre de ce type de récit et pas particulièrement original, mais c'est bien fait et le message "moral" est là.
Ceci dit, il m'a manqué moi aussi un petit truc.
On a l'impression que ce que raconte la mère est en décalage avec l'action présente ou du moins que ces deux aspects du récit ne marchent pas ensemble (c'est pourtant comme ça que le texte début : "maman, regarde ce que j'ai trouvé!", il aurait donc été logique que ces deux éléments marchent de concert). Perso, j'aurais mis quelques descriptions des deux personnages en train de déterrer le machin, pendant que la mère raconte son histoire à l'enfant, ça aurait été un peu plus vivant dans la narration, plus "dynamique" (Pala parlerait sûrement du dosage entre "show" et "tell").
Ceci étant donné, comme je disais plus haut, ça se lit vite et sans problème, pour un texte qui de toute façon n'avait pas spécialement d'ambition. Mais si tu veux y revenir un de ces jours, tu auras au moins quelques pistes sympa d'amélioration.
Au plaisir de te relire, Perro !
"En vivant comme en mourant, nous alimentons le feu."
Clive Barker, Sacrements.
Tak- Mélomane des Ondes Noires
Disciple des Livres de Sang - Messages : 6299
Date d'inscription : 01/12/2012
Age : 41
Localisation : Briançon, Hautes-Alpes
Re: Conte moral
Je suis Tak dans ses explorations des récits d'un autre temps. Va savoir pourquoi j'étais passé à côté jusque-là.
Bref, j'ai bien aimé ce petit conte moral, dont le titre actuel est peut-être un peu trop terre-à-terre mais qui à l'avantage d'annoncer la couleur d'emblée. Certes, l'idée n'est pas nouvelle, mais j'aime ce genre de fable qui va à l'essentiel sans chercher à complexifier inutilement son propos.
Je rejoins Tak sur le décalage entre le récit de la mère et l'action présente ; je n'ai pas forcément fait attention à ce point sur le coup mais maintenant qu'il le dit, le texte gagnerait effectivement à accentuer le lien entre ces 2 éléments.
Enfin, je n'avais pas réussi à visualiser l'objet final, malgré 2 lectures attentives de sa description. Dans mon cas, je pense que ce qui bloque est qu'on parle d'un objet : j'imaginais donc quelque chose de petit. Partant de là, forcément, difficile de tomber juste.
C'est une lecture rapide et plaisante malgré tout en ce qui me concerne, qui trouverait facilement sa place dans un recueil jeunesse ou de fable je trouve.
Bref, j'ai bien aimé ce petit conte moral, dont le titre actuel est peut-être un peu trop terre-à-terre mais qui à l'avantage d'annoncer la couleur d'emblée. Certes, l'idée n'est pas nouvelle, mais j'aime ce genre de fable qui va à l'essentiel sans chercher à complexifier inutilement son propos.
Je rejoins Tak sur le décalage entre le récit de la mère et l'action présente ; je n'ai pas forcément fait attention à ce point sur le coup mais maintenant qu'il le dit, le texte gagnerait effectivement à accentuer le lien entre ces 2 éléments.
Enfin, je n'avais pas réussi à visualiser l'objet final, malgré 2 lectures attentives de sa description. Dans mon cas, je pense que ce qui bloque est qu'on parle d'un objet : j'imaginais donc quelque chose de petit. Partant de là, forcément, difficile de tomber juste.
C'est une lecture rapide et plaisante malgré tout en ce qui me concerne, qui trouverait facilement sa place dans un recueil jeunesse ou de fable je trouve.
20 minutes avant la tombe - Confession d'un mort - Les rêveurs de Somnore - La nuit derrière la porte - La dame aux yeux vides
"Je questionnai l'un de ces hommes, et je lui demandai où ils allaient ainsi. Il me répondit qu'il n'en savait rien, ni lui, ni les autres; mais qu'évidemment ils allaient quelque part, puisqu'ils étaient poussés par un invincible besoin de marcher." Baudelaire, Chacun sa chimère
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