Le puits et le petit chemin

Je ne sais pas trop. La malédiction des lieux est là, mais bon, ce n'est pas pour ça que les gens n'ont que ça en tête. Donc, Marie-Jeanne n'y pense même pas. Pour le mari, il y va piano-piano, justement parce qu'il craint l'endroit et puis aussi parce que ça le barbe.

Mais j'avoue que je n'ai plus trop le récit en tête. De toute façon, pour être acceptable, il faudrait que je le retravaille en profondeur et je ne suis pas sûre du tout qu'il en vaille la peine.

Je comprends qu'il y aille à-reculons mais cela ne donne pas l'impression que c'est la peur qui le retient. Ajoute sa femme qui voit un type affolé mais ne se rend compte que bien après coup qu'il y a un problème. Sachant qu'il y a un gros risque à quelques pas du village, elle aurait dû percuter plus vite et alerter d'autres personnes tout de suite.
Les gens supposent que les autres ont fait leur boulot et ont prévenu les jeunes. Ce n'est pas normal comme si la malédiction empêchait les gens de trop parler et d'agir.

En fait, je crois que je vois ça (la malédiction) comme un truc là depuis toujours auquel on est donc en quelque sorte habitué et qui en même temps fait chier. Et puis, ce n'est pas comme s'il y avait des morts souvent, ce n'est que de loin en loin, un touriste inconnu qui disparaît. Il y a peut-être une forme de fatalisme.
De plus, ça ne doit pas être la première fois qu'ils préviennent des touristes du danger, la logique c'est qu'on leur rie au nez, c'est donc pas le plus amusant à faire, donc un peu de lâcheté et on imagine vite que le premier habitant croisé aura fait le boulot.
Je m'explique très mal

Mais je me rends bien compte que ce texte pêche à de trop nombreux niveaux.

Je comprends mieux comment tu le vois, du coup je crois qu'il faut que tu parviennes à l'exprimer dans le texte. En revanche ne me demandes pas comment, lâchement je te répondrai "tu te démerdes"

S'il n'y avait que ça que je doive peaufiner.