LE PARAVENT
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L'Écritoire des Ombres :: CONCOURS DE L'ÉCRITOIRE DES OMBRES :: Archives des concours hors-série :: Hors-série N°2 : Angoisse(s)
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LE PARAVENT
Ce soir-là m’apparut comme décisif. Il était évident que j’allais rencontrer quelqu’un. Tout présageait cet évènement : mon humeur carrément optimiste et mon irrésistible envie de donner à ma vie un tour nouveau.
Sortir en groupe ne favorisait pas mon plan drague. Il fallait que je sois une cible attrape-cœur, un objet de convoitise. Pour cela, en dépit de ma peur irraisonnée des hommes, je m’habillais d’une robe décolletée jusqu’au nombril, plissée dans un savant drapé. Aucun dessous, aucun artifice, un naturel confondant hormis mes faux cils et faux ongles démesurés. Le sourire que j’affichais sans y prendre garde complétait mes atouts séduction.
Je choisis une terrasse chic en vogue. Quelques couples devisaient tranquillement. Peu d’hommes seuls. Certains d’entre eux me dévisageaient avec un air détaché. Je connaissais la chanson. Mais cette fois-ci, je ne me laisserai pas piéger. C’est moi et moi seule qui choisirait ma proie.
Le temps passait lentement. Derrière mes lunettes noires, je m’attardais ici ou là sur une silhouette entrevue ou sur un visage intéressant. J’en étais là de ma contemplation oiseuse, lorsque mon sixième sens m’alerta. L’homme échappé d’un magazine de mode cherchait une place libre. Il n’y avait qu’une chaise vacante. Elle était à ma gauche.
Le garçon prit la commande en renouvelant ma boisson à la demande de mon vis-à-vis. Nous avions l’air de fêter un évènement. Le seau à champagne brillait de tous ses feux. Les coupes tintèrent au moment de porter un toast. La gravure de mode était parfaite. J’avais beau chercher, aucun défaut apparent. Elocution moderne et distinguée, léger accent méditerranéen, teint mat et dents éclatantes de blancheur, regard profond bordé de cils recourbés, cheveux coupés court et barbe naissante complétaient le style faussement négligé de mon invité surprise.
Après quelques échanges polis, j’acceptai d’aller chez lui. Je me plongeai délicieusement dans le jacuzzi tiède et bouillonnant. Quelques brasses dans la piscine éclairée me donnèrent une énergie nouvelle. Derrière le paravent en toile écrue, alors que j’enfilai une tenue pour terminer la soirée, une ombre se profila, me menaçant d’une arme. Je sentis les ondes glacées de l’angoisse me parcourir alors qu’un hurlement de terreur jaillissait de ma gorge. Mon ventre se changea en pierre et mes jambes filaient un mauvais coton. Ma dernière heure était arrivée, sans aucun doute.
Le cœur battant, la terreur nouant ma gorge, je cessai enfin de crier, attendant le coup fatal qui m’ôterait la vie. Redoutant par-dessus tout le silence mortel qui s’était installé, je risquai un œil discret entre les toiles du paravent.
Alors sans me retenir et dans un flux libératoire, J’éclatai de rire à la vue de mon hôte seulement armé d’un sèche-cheveux ébène destiné à sécher la crinière brune dont j’étais si fière.
Les psychopathes parfois sont galants et inoffensifs.
2960 signes
Sortir en groupe ne favorisait pas mon plan drague. Il fallait que je sois une cible attrape-cœur, un objet de convoitise. Pour cela, en dépit de ma peur irraisonnée des hommes, je m’habillais d’une robe décolletée jusqu’au nombril, plissée dans un savant drapé. Aucun dessous, aucun artifice, un naturel confondant hormis mes faux cils et faux ongles démesurés. Le sourire que j’affichais sans y prendre garde complétait mes atouts séduction.
Je choisis une terrasse chic en vogue. Quelques couples devisaient tranquillement. Peu d’hommes seuls. Certains d’entre eux me dévisageaient avec un air détaché. Je connaissais la chanson. Mais cette fois-ci, je ne me laisserai pas piéger. C’est moi et moi seule qui choisirait ma proie.
Le temps passait lentement. Derrière mes lunettes noires, je m’attardais ici ou là sur une silhouette entrevue ou sur un visage intéressant. J’en étais là de ma contemplation oiseuse, lorsque mon sixième sens m’alerta. L’homme échappé d’un magazine de mode cherchait une place libre. Il n’y avait qu’une chaise vacante. Elle était à ma gauche.
Le garçon prit la commande en renouvelant ma boisson à la demande de mon vis-à-vis. Nous avions l’air de fêter un évènement. Le seau à champagne brillait de tous ses feux. Les coupes tintèrent au moment de porter un toast. La gravure de mode était parfaite. J’avais beau chercher, aucun défaut apparent. Elocution moderne et distinguée, léger accent méditerranéen, teint mat et dents éclatantes de blancheur, regard profond bordé de cils recourbés, cheveux coupés court et barbe naissante complétaient le style faussement négligé de mon invité surprise.
Après quelques échanges polis, j’acceptai d’aller chez lui. Je me plongeai délicieusement dans le jacuzzi tiède et bouillonnant. Quelques brasses dans la piscine éclairée me donnèrent une énergie nouvelle. Derrière le paravent en toile écrue, alors que j’enfilai une tenue pour terminer la soirée, une ombre se profila, me menaçant d’une arme. Je sentis les ondes glacées de l’angoisse me parcourir alors qu’un hurlement de terreur jaillissait de ma gorge. Mon ventre se changea en pierre et mes jambes filaient un mauvais coton. Ma dernière heure était arrivée, sans aucun doute.
Le cœur battant, la terreur nouant ma gorge, je cessai enfin de crier, attendant le coup fatal qui m’ôterait la vie. Redoutant par-dessus tout le silence mortel qui s’était installé, je risquai un œil discret entre les toiles du paravent.
Alors sans me retenir et dans un flux libératoire, J’éclatai de rire à la vue de mon hôte seulement armé d’un sèche-cheveux ébène destiné à sécher la crinière brune dont j’étais si fière.
Les psychopathes parfois sont galants et inoffensifs.
2960 signes
Re: LE PARAVENT
C'est bien écrit, mais je trouve la fin décevante:
- Spoiler:
- une peur non justifiée, on croit être en danger et en fait on ne l'est pas: OK! C'est une bonne chute et en plus elle se démarque de ce qu'on fait les autres.
Mais le coup du sèche-cheveux ne m'a pas convaincu, ou alors il a été mal amené. Il aurait peut-être fallu commencer directement avec l'arrivée chez l'homme (et juste préciser en passant qu'il avait été rencontré dans un bar) et là faire une préparation, une montée de l'inquiétude ( pas facile dans ce format, mais faisable) et terminer sur le sèche-cheveux... Là, il arrive un peu comme, justement, un cheveu sur la soupe et non comme l'aboutissement de l'histoire.
Re: LE PARAVENT
Oui... Mais non ! C'est bien écrit mais c'est plus un gag qu'autre-chose. Bonne narration mais ton histoire ne mène pas à grand-chose et laisse un goût d'inachevé ou d'acte manqué... Désolé
Invité- Invité
Re: LE PARAVENT
Bonjour Anouk,
Je viens de lire ton texte et je ne suis pas certain que l'on soit dans le sujet. Plusieurs raisons à cela. D'une part, si j'avais lu ton texte en dehors d'un concours qui a pour thème l'angoisse je ne me serais pas senti angoissé pour deux sous. Je veux dire par là que le thème du concours peut jouer en ta faveur... mais pas longtemps. Je m'explique : c'est un concours sur l'angoisse, donc on s'attend à être angoissé à la lecture de ton texte. Malheureusement, cette attente est douchée rapidement. À aucun moment tu ne nous plonges dans une situation d'angoisse. C'est bien écrit, certes, mais il n'y a aucun stress à lire l'histoire d'une jeune femme qui s'habille pour sortir et se mettre à la terrasse d'un café. D'autre part, la fin !
Cela a déjà été dit mais la fin n'est tout simplement pas possible. Et au final on se retrouve avec une question : tout ça pour ça ? Je suis vraiment désolé Anouk mais au regard de ta qualité d'écriture tu peux largement faire mieux que cela.
Je viens de lire ton texte et je ne suis pas certain que l'on soit dans le sujet. Plusieurs raisons à cela. D'une part, si j'avais lu ton texte en dehors d'un concours qui a pour thème l'angoisse je ne me serais pas senti angoissé pour deux sous. Je veux dire par là que le thème du concours peut jouer en ta faveur... mais pas longtemps. Je m'explique : c'est un concours sur l'angoisse, donc on s'attend à être angoissé à la lecture de ton texte. Malheureusement, cette attente est douchée rapidement. À aucun moment tu ne nous plonges dans une situation d'angoisse. C'est bien écrit, certes, mais il n'y a aucun stress à lire l'histoire d'une jeune femme qui s'habille pour sortir et se mettre à la terrasse d'un café. D'autre part, la fin !
Cela a déjà été dit mais la fin n'est tout simplement pas possible. Et au final on se retrouve avec une question : tout ça pour ça ? Je suis vraiment désolé Anouk mais au regard de ta qualité d'écriture tu peux largement faire mieux que cela.
SILENCE- — — — Moine copiste — — — Disciple des Lois du Silence
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Date d'inscription : 02/01/2012
Age : 50
Re: LE PARAVENT
Pas convaincu du tout. Le thème "angoisse" semble être ajouté à l'arrache sur le final mais ça ne colle pas avec le ton du récit.
Re: LE PARAVENT
Tout comme Paladin. Pas très convaincu malgré le bon style et l'idée vraiment sympa et originale. Je pense que l'histoire aurait gagnée à n'expliquer "que" la fin, en s'attardant plus longtemps sur le malentendu, les ressentis du perso, etc. Mais l'idée est bonne en tout cas.
Re: LE PARAVENT
réponse à tous : la peur et l'angoisse font partie du récit. Un peu sous-jacents mais ces ressentis sont bien là depuis le début.
Exemple : l'héroïne se lance bien qu'elle ait peur des hommes, elle le dit au début du texte. Ensuite plane l'inquiétude par rapport à la soirée avec un inconnu et la méga angoisse viscérale qui fait du ventre une pierre et des jambes en filoche cottonneuse est bien présente lorsqu'une ombre munie d'une arme surgit devant le paravent. Inutile de préciser que mon héroïne voit sa fin arriver et qu'elle hurle de terreur.
Dans les nouvelles on demande une chute inattendue... L'hôte est un dragueur mais pas un psychopathe.
Exemple : l'héroïne se lance bien qu'elle ait peur des hommes, elle le dit au début du texte. Ensuite plane l'inquiétude par rapport à la soirée avec un inconnu et la méga angoisse viscérale qui fait du ventre une pierre et des jambes en filoche cottonneuse est bien présente lorsqu'une ombre munie d'une arme surgit devant le paravent. Inutile de préciser que mon héroïne voit sa fin arriver et qu'elle hurle de terreur.
Dans les nouvelles on demande une chute inattendue... L'hôte est un dragueur mais pas un psychopathe.
Re: LE PARAVENT
Je regrette, je trouve que les actes du personnage ne sont pas vraiment cohérents. C'est surtout cela qui me gêne.
Si elle est si flippée que ça pourquoi se mettre en danger de multiples façons ? Signaux sexuels, aller chez lui..je ne comprends pas.
Pour moi ça pourrait fonctionner si un peu éméchée , elle suivait un homme rencontré dans une soirée, là tu pourrais jouer avec notre angoisse ( malheureuse , méfie toi !) et puis nous retourner comme une crêpe à la fin.
Si elle est si flippée que ça pourquoi se mettre en danger de multiples façons ? Signaux sexuels, aller chez lui..je ne comprends pas.
Pour moi ça pourrait fonctionner si un peu éméchée , elle suivait un homme rencontré dans une soirée, là tu pourrais jouer avec notre angoisse ( malheureuse , méfie toi !) et puis nous retourner comme une crêpe à la fin.
Ulysse- Écritoirien émérite
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Localisation : Berlin
Re: LE PARAVENT
Sympa, mais effectivement pas assez angoissant selon moi.
L'histoire est résolument moderne et me fait penser à un "truc" que j'ai commis l'an dernier. Ca me plaît bien, notamment avec ces angoisses de jeune femme qui veut séduire. Mais dans le cadre de ce concours, il me semble manquer quelque chose.
Petit détail, vers le début : "m'habillais" à remplacer par "m'habillai"
L'histoire est résolument moderne et me fait penser à un "truc" que j'ai commis l'an dernier. Ca me plaît bien, notamment avec ces angoisses de jeune femme qui veut séduire. Mais dans le cadre de ce concours, il me semble manquer quelque chose.
Petit détail, vers le début : "m'habillais" à remplacer par "m'habillai"
mormir- — Arpenteur des mondes — Disciple de l'arbre noir
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Localisation : Près de Chartres
Re: LE PARAVENT
Un texte soigné et bien écrit que j'ai lu avec plaisir. Mais l'angoisse n'est pas suffisamment présente. Certes, on relève au début une allusion à la "peur irraisonnée des hommes" qu'éprouve la narratrice. Il n'empêche que les deux premiers tiers du récit ont un côté "mondain" assez peu générateur d'inquiétude. Tu parais même consciente de cela lorsque tu ajoutes "Je sentis les ondes glacées de l’angoisse me parcourir", la présence du mot "angoisse" semblant destinée à montrer que l'on est bien dans les limites du sujet. Cela peut aussi donner l'impression au lecteur qu'on lui force un peu la main.
Quant à la peur fugace éprouvée par la jeune femme, elle est trop éphémère, justement, pour être assimilée à la véritable angoisse, sournoise et insinuante, qui amène les gens à se ronger durablement les sangs.
En fait, cette nouvelle aurait mieux collé au thème de la peur.
Quant à la peur fugace éprouvée par la jeune femme, elle est trop éphémère, justement, pour être assimilée à la véritable angoisse, sournoise et insinuante, qui amène les gens à se ronger durablement les sangs.
En fait, cette nouvelle aurait mieux collé au thème de la peur.
Blahom- —Adorateur du (mauvais) genre— Chuchoteur dans les ténèbres
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Date d'inscription : 02/10/2013
Age : 57
Localisation : Sud-Est
Re: LE PARAVENT
La peur des hommes est une affirmation de ton héroïne mais que le comportement de celle-ci ne confirme guère.
Peu importe, l'historiette est sympa. Il y a un petit quelque chose du "Soupçons" d'Hitchcock et la méprise finale est de la même veine que l'inévitable matou des films d'épouvante, mais si l'ensemble est léger, il reste agréable à lire.
(Attention avec les expressions usuelles : "avoir les jambes en coton" et "filer un mauvais coton" n'ont pas du tout la même signification et ne peuvent donc pas être mélangées.)
Peu importe, l'historiette est sympa. Il y a un petit quelque chose du "Soupçons" d'Hitchcock et la méprise finale est de la même veine que l'inévitable matou des films d'épouvante, mais si l'ensemble est léger, il reste agréable à lire.
(Attention avec les expressions usuelles : "avoir les jambes en coton" et "filer un mauvais coton" n'ont pas du tout la même signification et ne peuvent donc pas être mélangées.)
Jack-the-rimeur- — — Zonard crépusculaire — — Disciple d'Ambrose Bierce
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Date d'inscription : 23/01/2013
Age : 72
Localisation : Narbonne
Re: LE PARAVENT
Merci Jack. Oui le coton aq plein de sens différent. Dans le texte c'est voulu, comme si les jambes de l'héroïne voulaient se dissocier de son corps et prendre la poudre d'escampette ou carrément se dérober et faire choir le sujet.
sinon j'ai conscience que l'angoisse profonde, celle de la vie , la peur de l'inconnu, la méfiance instinctive envers l'autre, les images choc des films du maître de l'angoisse distillée à petites doses, Hitchcock, sont inscrites en filigrane pour un ressenti final en apothéose mais avec une pirouette acrobatique, le séchoir remplaçant une arme imaginaire.
Je conçois que le lecteur ne ressente pas la peur. Pourtant cette dernière est présente en sourdine. Cependant si cette peur est souterraine, la légèreté de l'héroÎne masque l'inquiétude et la détermination dont elle fait abstraction quant au danger de rencontres. Elle se noie dans la description de ses vêtements avec un soupçon d'érotisme. Derrière cet aspect superficiel, on peut capter la fausse frivolité du propos;
Mais là encore il faut lire entre les lignes.
sinon j'ai conscience que l'angoisse profonde, celle de la vie , la peur de l'inconnu, la méfiance instinctive envers l'autre, les images choc des films du maître de l'angoisse distillée à petites doses, Hitchcock, sont inscrites en filigrane pour un ressenti final en apothéose mais avec une pirouette acrobatique, le séchoir remplaçant une arme imaginaire.
Je conçois que le lecteur ne ressente pas la peur. Pourtant cette dernière est présente en sourdine. Cependant si cette peur est souterraine, la légèreté de l'héroÎne masque l'inquiétude et la détermination dont elle fait abstraction quant au danger de rencontres. Elle se noie dans la description de ses vêtements avec un soupçon d'érotisme. Derrière cet aspect superficiel, on peut capter la fausse frivolité du propos;
Mais là encore il faut lire entre les lignes.
Re: LE PARAVENT
Bonjour Anouk,
Oui, ton récit se lit agréablement avec une nuance de légèreté au détriment de l'angoisse. En fait, on ressent l'amertume plus ou moins consciente de l'héroïne, mais l'éclat de rire (même s'il est de soulagement) semble décalé...
Oui, ton récit se lit agréablement avec une nuance de légèreté au détriment de l'angoisse. En fait, on ressent l'amertume plus ou moins consciente de l'héroïne, mais l'éclat de rire (même s'il est de soulagement) semble décalé...
Doumé- — Mystagogue des Ombres — Disciple du Très Haut
- Messages : 1867
Date d'inscription : 28/01/2013
Age : 64
Localisation : Fréjus
Re: LE PARAVENT
Sympa est le premier mot qui me vient à l'esprit. Après, ton texte me semble mal équilibré. L'angoisse devrait être beaucoup plus présente et pressante dans la deuxième partie, or, elle est très courte, et l'histoire de l'arme tombe un peu à l'eau (ou au jacuzzi, ah, ah, ah !). Elle aurait du potentiel a être retravaillée. (Même si je n'aime pas la dernière phrase).
davidoff- Plumitif éviscéré
- Messages : 218
Date d'inscription : 18/09/2013
Age : 50
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