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Re: Trottoir
Coucou Mormir !
J'ai lu ta nouvelle, et je t'avoue avoir été désarçonnée. Parce qu'il y a deux genres qui se côtoient et entre lesquels on semble hésiter : le psychologique et le fantastique. Tu sembles finalement trancher pour le fantastique. Soit. Mais dans ce cas, on ne comprends pas très bien la fin : qui sont ces gens dont se débarrassent le maire et ses vampires ? Pourquoi ? Pour prendre le contrôle de la ville dans l'ombre ? Si tu choisis cette solution, je pense qu'il faut donner plus de précision. Tu sembles esquisser également l'idée d'un complot politique : l'insécurité qui monte et le gouvernement qui laisse faire cela. Dans ce cas, on aimerait que tu étales tes cartes, que tu tisses une toile autour du lecteur pour que l'on comprenne quels sont les enjeux de ce qui est en train de se nouer, pourquoi les "vampires" sont apparus, comment, et pourquoi dans cette ville spécialement, ou si cela se passe également à l'échelle du pays, ou du monde, pourquoi pas... Tu n'es pas obligé de divulguer ça tout de suite, et même je pense qu'il est conseillé de laisser ça en suspens pour que ta chute claque. Mais dans ce cas, il faut quand-même je pense distiller des éléments de contextes, des informations bizarres, des interrogations latentes, bref, des indices qui feront sens à la fin.
Après, tu peux aussi miser sur le côté psychologique. Dans ce cas-là, l'apparition des zombies serait un fantasme d'une personne malade psychologiquement. A mon avis, la meilleure façon de traduire cela est d'opter pour une écriture fébrile, une hyper sensibilité à fleur de peau qui se ressente dans le corps et dans l'esprit de ton personnage. Afin de jouer avec la corde sensible du lecteur, il serait bon de donner au personnage du relief, en l'ancrant dans la réalité : les difficultés de son métier, ses relations avec la secrétaire, des amis, etc. Bref, de lui donner de la chair.
Je n'ai pas bien compris si ton histoire raconte en fait celle de vampires qui se débarrassent des dépressifs. Dans ce cas-là, peut-être peux-tu explicitement faire passer le message au lecteur que ton personnage est dépressif, malade psychologiquement, en narrant ses "délires" : sentiment d'être suivi, sentiment de choses étranges qui se passent, impression de complots, etc. Que les autres personnages ne prendront systématiquement pas au sérieux, justement parce qu'ils le connaissent. Du coup, ça expliquerait pourquoi son meurtre passe facilement pour un suicide. Et de ce fait, tu pourrais finir avec une chute laissant entendre que le complot est bien réel, en en montrant l'ampleur et les implications...
Voilà, j'espère que j'ai pu t'être d'une quelconque aide...
Eimelle
J'ai lu ta nouvelle, et je t'avoue avoir été désarçonnée. Parce qu'il y a deux genres qui se côtoient et entre lesquels on semble hésiter : le psychologique et le fantastique. Tu sembles finalement trancher pour le fantastique. Soit. Mais dans ce cas, on ne comprends pas très bien la fin : qui sont ces gens dont se débarrassent le maire et ses vampires ? Pourquoi ? Pour prendre le contrôle de la ville dans l'ombre ? Si tu choisis cette solution, je pense qu'il faut donner plus de précision. Tu sembles esquisser également l'idée d'un complot politique : l'insécurité qui monte et le gouvernement qui laisse faire cela. Dans ce cas, on aimerait que tu étales tes cartes, que tu tisses une toile autour du lecteur pour que l'on comprenne quels sont les enjeux de ce qui est en train de se nouer, pourquoi les "vampires" sont apparus, comment, et pourquoi dans cette ville spécialement, ou si cela se passe également à l'échelle du pays, ou du monde, pourquoi pas... Tu n'es pas obligé de divulguer ça tout de suite, et même je pense qu'il est conseillé de laisser ça en suspens pour que ta chute claque. Mais dans ce cas, il faut quand-même je pense distiller des éléments de contextes, des informations bizarres, des interrogations latentes, bref, des indices qui feront sens à la fin.
Après, tu peux aussi miser sur le côté psychologique. Dans ce cas-là, l'apparition des zombies serait un fantasme d'une personne malade psychologiquement. A mon avis, la meilleure façon de traduire cela est d'opter pour une écriture fébrile, une hyper sensibilité à fleur de peau qui se ressente dans le corps et dans l'esprit de ton personnage. Afin de jouer avec la corde sensible du lecteur, il serait bon de donner au personnage du relief, en l'ancrant dans la réalité : les difficultés de son métier, ses relations avec la secrétaire, des amis, etc. Bref, de lui donner de la chair.
Je n'ai pas bien compris si ton histoire raconte en fait celle de vampires qui se débarrassent des dépressifs. Dans ce cas-là, peut-être peux-tu explicitement faire passer le message au lecteur que ton personnage est dépressif, malade psychologiquement, en narrant ses "délires" : sentiment d'être suivi, sentiment de choses étranges qui se passent, impression de complots, etc. Que les autres personnages ne prendront systématiquement pas au sérieux, justement parce qu'ils le connaissent. Du coup, ça expliquerait pourquoi son meurtre passe facilement pour un suicide. Et de ce fait, tu pourrais finir avec une chute laissant entendre que le complot est bien réel, en en montrant l'ampleur et les implications...
Voilà, j'espère que j'ai pu t'être d'une quelconque aide...
Eimelle
Eimelle- — — — Jungle girl — — — Bazooka fou dans l'intimité
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Date d'inscription : 17/10/2013
Age : 38
Re: Trottoir
Excuse-moi, en fait, je repensais à ta nouvelle après une petite douche...Et je me disais, ce qui pourrait être sympa, c'est que ton personnage apparaisse comme à bout de nerf, à moitié fou, parce qu'il a relevé plein de petits détails qui clochent en rapport avec lui-même, ou avec la ville/ le pays/ le monde en général. Seulement, ce qui serait drôle, ce serait de le discréditer suffisamment de par sa paranoïa auprès des autres personnages pour qu'ils ne tiennent pas compte de son avis, mais aussi auprès du lecteur lui-même qui se dirait, dans le meilleur des cas, que le personnage est pris dans un délire psychotique, ou, dans le pire, qu'il doit y avoir en effet quelque chose qui cloche mais qu'il n'arrive pas à percevoir (car tu auras pris soin de faire relever à ton personnage des détails qui, pris séparément, ne permettent aux lecteurs de reconstituer le puzzle dans son ensemble). Ensuite, comme tu as fait, on apprend "son suicide" dans les journaux. Et enfin, tu livres en chute la véritable histoire du complot, à grande échelle ou pas, et tu reprends tous les détails qui ne faisaient pas sens jusque-là pour leur donner leur véritable signification.
Par contre, à ce jeu-là, il faudra aussi expliquer pourquoi les vampires ne s'en prennent pas directement aux personnes, mais jouent sur leur psychologie (nécessité de discrétion pour ne pas éveiller l'opinion publique avant d'être majoritaire par exemple?...)
Voilà, j'espère que je ne fais pas ma chieuse, mais quand je lis, il m'arrive toujours 30 idées à la seconde, alors, je préfère vous les livrer en pagaille...
Bises
Eimelle
Par contre, à ce jeu-là, il faudra aussi expliquer pourquoi les vampires ne s'en prennent pas directement aux personnes, mais jouent sur leur psychologie (nécessité de discrétion pour ne pas éveiller l'opinion publique avant d'être majoritaire par exemple?...)
Voilà, j'espère que je ne fais pas ma chieuse, mais quand je lis, il m'arrive toujours 30 idées à la seconde, alors, je préfère vous les livrer en pagaille...
Bises
Eimelle
Eimelle- — — — Jungle girl — — — Bazooka fou dans l'intimité
- Messages : 1537
Date d'inscription : 17/10/2013
Age : 38
Re: Trottoir
Hello Eimelle,
Quelle énergie dans tes commentaires !!! J'adore !!!
Tout ce que tu dis est très intéressant et plein d'idées si cette histoire devait être prolongée. Je pense effectivement que j'ai avec ce sujet, matière à réaliser une novella voire un roman.
Mais j'ai choisi en l'occurrence de laisser ce texte très court et empli de questions et d'incertitudes. L'objectif pour moi n'était pas de raconter une histoire en détails, mais de mettre le lecteur un peu mal à l'aise par manque de précisions et par une atmosphère lourde. Chacun peut mettre ce qu'il veut derrière ce texte et les développements que tu proposes sont de bonnes options. D'autres aussi !
Merci en tous cas de ta lecture et de tes remarques judicieuses !!!
Quelle énergie dans tes commentaires !!! J'adore !!!
Tout ce que tu dis est très intéressant et plein d'idées si cette histoire devait être prolongée. Je pense effectivement que j'ai avec ce sujet, matière à réaliser une novella voire un roman.
Mais j'ai choisi en l'occurrence de laisser ce texte très court et empli de questions et d'incertitudes. L'objectif pour moi n'était pas de raconter une histoire en détails, mais de mettre le lecteur un peu mal à l'aise par manque de précisions et par une atmosphère lourde. Chacun peut mettre ce qu'il veut derrière ce texte et les développements que tu proposes sont de bonnes options. D'autres aussi !
Merci en tous cas de ta lecture et de tes remarques judicieuses !!!
mormir- — Arpenteur des mondes — Disciple de l'arbre noir
- Messages : 2638
Date d'inscription : 11/05/2013
Age : 59
Localisation : Près de Chartres
Re: Trottoir
J’aime beaucoup ton intrigue. Ton idée des incertitudes est excellente, mais le problème est que ta fin (le maire et ses adjoints), en voulant installer des incertitudes, a au contraire tendance à en retirer, tout en concluant trop vaguement l’intrigue… Pour l’incertitude, je pense qu’il aurait fallu t’arrêter à l’article. Ou alors, finir non pas avec une scène, mais une ou deux phrases qui instaurent du doute sur la crise de folie de Michel.
Prenons deux exemples : La Vénus d’Ille (Prosper Mérimée) et Celui qui garde le Ver (Stephen King).
Dans La Vénus d’Ille, même lorsque le narrateur termine son récit, on ne sait pas si la statue s’est ou non animée pour tuer Alphonse : seule la mariée l’a vue, et elle peut très bien avoir perdu la raison ; et d’autre part, la blessure fatale à Alphonse a très bien pu être infligée par l’aragonais (ou un complice) au moyen d’un long sac de sable… MAIS… le narrateur nous apprend que, depuis que la statue fondue en cloche sonne à Ille, il y a eu deux gelées des vignes ! La statue ne peut-elle donc pas être réellement maléfique ?
Dans Celui qui garde le Ver, William Boone raconte dans des lettres les horreurs qu’il a vécues dans une maison héritée de sa famille. Horreurs qui commencent par des bruits qu’il croit d’abord provoqués par de gros rats. Son descendant, qui a rassemblé les lettres, démontre que cet homme était atteint de folie, explique deux inexactitudes majeures dans les faits (non-surnaturels) relatés… MAIS… il termine son explication en mentionnant la présence de rats, qu’il estime énormes en raison de leurs bruits !
Ces deux nouvelles, très différentes, ont en commun une chute véritablement ambigüe… et très brève. Ta chute pêche avant tout par sa longueur et son excessive précision.
Sur le plan du style, la narration installe une mécanique des sujets : Michel/Il. Cette mécanique instaure une certaine monotonie. Quelques pensées de Michel au style indirect libre peuvent casser cette mécanique et redonner du rythme.
Prenons deux exemples : La Vénus d’Ille (Prosper Mérimée) et Celui qui garde le Ver (Stephen King).
Dans La Vénus d’Ille, même lorsque le narrateur termine son récit, on ne sait pas si la statue s’est ou non animée pour tuer Alphonse : seule la mariée l’a vue, et elle peut très bien avoir perdu la raison ; et d’autre part, la blessure fatale à Alphonse a très bien pu être infligée par l’aragonais (ou un complice) au moyen d’un long sac de sable… MAIS… le narrateur nous apprend que, depuis que la statue fondue en cloche sonne à Ille, il y a eu deux gelées des vignes ! La statue ne peut-elle donc pas être réellement maléfique ?
Dans Celui qui garde le Ver, William Boone raconte dans des lettres les horreurs qu’il a vécues dans une maison héritée de sa famille. Horreurs qui commencent par des bruits qu’il croit d’abord provoqués par de gros rats. Son descendant, qui a rassemblé les lettres, démontre que cet homme était atteint de folie, explique deux inexactitudes majeures dans les faits (non-surnaturels) relatés… MAIS… il termine son explication en mentionnant la présence de rats, qu’il estime énormes en raison de leurs bruits !
Ces deux nouvelles, très différentes, ont en commun une chute véritablement ambigüe… et très brève. Ta chute pêche avant tout par sa longueur et son excessive précision.
Sur le plan du style, la narration installe une mécanique des sujets : Michel/Il. Cette mécanique instaure une certaine monotonie. Quelques pensées de Michel au style indirect libre peuvent casser cette mécanique et redonner du rythme.
Ne sois pas pudique avec de telles scènes si tu les veux fortes. Cette scène était probablement bien gore et bien sadique dans ta tête, mais là, elle paraît presque douce : Michel ne ressent-il pas quelques douleurs ? N’a-t-il pas peur ?En l’espace de quelques secondes, Michel fut frappé, mordu, lacéré.
Dernière édition par RaphaëlLIII le Sam 19 Oct 2013 - 23:00, édité 3 fois
RaphaëlLIII- Apprenti égorgeur
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Date d'inscription : 25/09/2013
Age : 47
Re: Trottoir
Merci RaphaëlLIII pour ces excellentes remarques. Il faudra sûrement que je retravaille ce texte dans ce sens.
Il faut savoir qu'il a été écrit en 2 heures, dans un train, après que l'idée m'en soit venue sur le chemin de la gare, en croisant un type au regard désagréable...
Il faut savoir qu'il a été écrit en 2 heures, dans un train, après que l'idée m'en soit venue sur le chemin de la gare, en croisant un type au regard désagréable...
mormir- — Arpenteur des mondes — Disciple de l'arbre noir
- Messages : 2638
Date d'inscription : 11/05/2013
Age : 59
Localisation : Près de Chartres
Re: Trottoir
Je suis ravi de t’avoir été utile.
Ferais-tu partie de ces auteurs que peu suffit à inspirer ?
Ferais-tu partie de ces auteurs que peu suffit à inspirer ?
RaphaëlLIII- Apprenti égorgeur
- Messages : 88
Date d'inscription : 25/09/2013
Age : 47
Re: Trottoir
Beaucoup de zones d'ombre mais un récit bien sympathique. Pour un texte de deux pages, c'est bien structuré et on éprouve un plaisir rapide à cette lecture.
Re: Trottoir
Merci Zaroff, pour cet avis très encourageant.
Je crois que oui : j'ai plein d'idées chaque jour. Et comme chacun de nous, trop peu de temps pour les exploiter ! Et toi ?RaphaëlLIII a écrit:Ferais-tu partie de ces auteurs que peu suffit à inspirer ?
mormir- — Arpenteur des mondes — Disciple de l'arbre noir
- Messages : 2638
Date d'inscription : 11/05/2013
Age : 59
Localisation : Près de Chartres
Re: Trottoir
Je ne vois rien d'autre à ajouter, les autres ont mis le doigt sur les points faibles.
Hormis cela, j'ai bien aimé, je lui ai trouvé un petit côté Lovecraftien pas désagréable...
A+
Hormis cela, j'ai bien aimé, je lui ai trouvé un petit côté Lovecraftien pas désagréable...
A+
Invité- Invité
Re: Trottoir
Eimelle puis Raphaël ont très bien expliqué mon ressenti. Chouette nouvelle, bien racontée et tout, mais trop de questions laissées en suspens. J'ajouterais que l'article de journal, c'est un peu vu, revu et re-revu, mais bon, soit.
Naëlle- — — Madone des Ombres — — Disciple de la Discipline
- Messages : 3668
Date d'inscription : 29/11/2012
Age : 32
Localisation : Sur la Lune
Re: Trottoir
J'ai bien aimé. Le texte est court mais parvient quand même à créer sa petite atmosphère.
Suggestion très personnelle, et j'espère pertinente, la phrase sur le gouvernement qui ne fait rien me paraît déplacée dans le contexte. En tout cas, personnellement, j'y ai vu un début de critique sociale alors que le récit n'est pas tourné dans cette démarche. C'est gênant à la lecture. Je le précise encore, c'est très personnel.
Pour le reste, je l'ai dit, le texte est très court mais parvient à faire son effet. Je pense qu'il pourrait être développé. Il le mérite. En tout cas, bravo à l'auteur, c'est bien écrit et bien fait.
Suggestion très personnelle, et j'espère pertinente, la phrase sur le gouvernement qui ne fait rien me paraît déplacée dans le contexte. En tout cas, personnellement, j'y ai vu un début de critique sociale alors que le récit n'est pas tourné dans cette démarche. C'est gênant à la lecture. Je le précise encore, c'est très personnel.
Pour le reste, je l'ai dit, le texte est très court mais parvient à faire son effet. Je pense qu'il pourrait être développé. Il le mérite. En tout cas, bravo à l'auteur, c'est bien écrit et bien fait.
Re: Trottoir
Merci à tou(te)s pour ces avis et suggestions !
mormir- — Arpenteur des mondes — Disciple de l'arbre noir
- Messages : 2638
Date d'inscription : 11/05/2013
Age : 59
Localisation : Près de Chartres
Re: Trottoir
Je vient de lire ta nouvelle et je me suis surpris a rentrer très rapidement dans l'histoire. C'est vrai que tout les points "négatif" ont déjà étaient soulevé dans les poste précédant donc je me garderais de te les répéter.
Ce que j'ai aimé, c'est que j'ai vu un coté un peu sociologique" de cette histoire. Surtout la partie ou il voit les gens qu'ils croisent le regarder de plus en plus le regard haineusement (Ça se dit pas mais j'ai rien trouvé d'autre a cette heure). C'est une espèce de critique de la société dans laquelle tout le monde se méfie de l'autre et préfère agresser avant de l’être soi-même.
Je vais lire d'autre histoire pour me faire une idée plus précise de ton univers.
Ce que j'ai aimé, c'est que j'ai vu un coté un peu sociologique" de cette histoire. Surtout la partie ou il voit les gens qu'ils croisent le regarder de plus en plus le regard haineusement (Ça se dit pas mais j'ai rien trouvé d'autre a cette heure). C'est une espèce de critique de la société dans laquelle tout le monde se méfie de l'autre et préfère agresser avant de l’être soi-même.
Je vais lire d'autre histoire pour me faire une idée plus précise de ton univers.
kalcidian- —Couteau Suisse des arts — Disciple des mystères mystérieux
- Messages : 1310
Date d'inscription : 20/10/2013
Age : 45
Localisation : Toulouse
Re: Trottoir
Salut
Novice, mon avis n'est celui que d'une simple lectrice. J'ai beaucoup aimé ta nouvelle, car j'ai eu l'impression de vraiment vivre les évènements (c'est ce que je n'arrive pas à faire passer dans mes nouvelles pour l'instant). J'ai juste pas très bien compris la fin.
Au plaisir de te relire.
Novice, mon avis n'est celui que d'une simple lectrice. J'ai beaucoup aimé ta nouvelle, car j'ai eu l'impression de vraiment vivre les évènements (c'est ce que je n'arrive pas à faire passer dans mes nouvelles pour l'instant). J'ai juste pas très bien compris la fin.
Au plaisir de te relire.
Shatsé- Bourreau intérimaire
- Messages : 105
Date d'inscription : 28/10/2013
Age : 61
Localisation : Soleil des tropiques
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