THE PRISONER/LE PRISONNIER
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THE PRISONER/LE PRISONNIER
L'univers de cette série culte me semble indispensable sur ce forum. J'ai une envie folle de faire découvrir cette atmosphère surréaliste aux plus jeunes d'entre nous. Si je ne devais retenir qu'une série TV parmi celles que je préfère ("L'homme sans visage", "Les compagnons de Baal", "La poupée sanglante"...), ce serait celle-ci.
Sur ce forum spécial "NUMBER 6", je vais chroniquer les épisodes et vous parler de tout ce qui touche de près ou de loin cette série britannique de 17 épisodes diffusée en 1967.
Be Seeing You.
EDIT: Tous les sujets de ce sous-forum ont été fusionnés pour ne former plus qu'un seul sujet.
Hommage d'Iron Maiden : THE PRISONER (1982)
We want information. Information. Information.
Nous voulons des renseignements. Des renseignements. Des renseignements.
Who are you ? The new number two. Who is number one ?
Qui êtes vous ? Le nouveau numéro deux. Qui est le numéro un ?
You are number six. I'm not a number ! I'm a free man !
Vous êtes le numéro six. Je ne suis pas un numéro ! Je suis un homme libre !
Ahahahaha !
Ahahahaha !
I'm on the run, I kill to eatmation. Who are you ?
Je suis en cavale, je tue pour manger
I'm starving now, feeling dead on my feet
J'ai très faim maintenant, je me sens mort sur mes jambes
Going all the way, I'm natures beast
Allant jusqu'au bout, je suis une bête de la nature
Do what I want and do as I please
Je fais ce que je veux et je fais comme j'en ai envie
[Chorus]
[Refrain]
Run - Fight - To breathe - It's tough
Courir, se battre, respirer, c'est difficile
Now you see me now you don't
Là tu me vois, là tu ne me vois plus
Break the walls I'm coming out
Brise les murs, je m'échappe
Not a prisoner I'm a free man
Je ne suis pas un prisonnier, je suis un homme libre
And my blood is my own now
Et mon sang est à moi desormais
Don't care where the past was
Ca m'est égal où se trouve le passé
I know where I'm going... out !
Je sais où je vais... Dehors !
If you kill me it's self defense
Si tu me tues c'est l'auto-défense
And if I kill ya' then I call it vengeance
Si je te tue alors j'appelle ça de la vengeance
Spit in your eye I will defy
Je te crache au visage, je vais te défier
You'll be afraid when I call out your name
Tu vas avoir peur quand j'appellerai ton nom
[Chorus]
[Refrain]
Run - Fight - To breathe - It's gonna be tough
Courir, se battre, respirer ça va être difficile
Now you see me now you don't
Là tu me vois, là tu ne me vois plus
Break the walls I'm coming out
Brise les murs, je m'échappe
Not a prisoner I'm a free man
Je ne suis pas un prisonnier, je suis un homme libre,
And my blood is my own now
Et mon sang m'appartientest à moi désormais
Don't care where the past was
Ca m'est égal où se trouve le passé,
I know where I'm going
Je sais où je vais !
I'm not a number I'm a free man
Je ne suis pas un prisonnier, je suis un homme libre
Live my life where I want to
Je vais vivre ma vie comme je l'entend
You'd better scratch me from your black book
Tu ferais mieux de me rayer de ton livre noir
Coz' I'll run rings around you
Parce que je vais faire des cercles autour de toi
Not a prisoner I'm a free man
Je ne suis pas un prisonnier, je suis un homme libre
And my blood is my own now
Et mon sang m'appartientest à moi désormais
Don't care where the past was
Ca m'est égal où se trouve le passé
I know where I'm going
Je sais où je vais !
I'm not a number I'm a free man
Je ne suis pas un prisonnier, je suis un homme libre
Live my life where I want to
Je vais vivre ma vie comme je l'entend
You'd better scratch me from your black book
Tu ferais mieux de me rayer de ton livre noir
Coz' I'll run rings around you
Parce que je vais faire des cercles autour de toi
Dernière édition par Zaroff le Mer 4 Sep 2013 - 17:04, édité 1 fois
Générique du Prisonnier
Musique composée par RON GRAINIER
Ciel nuageux, bruit de tonnerre, moteur à réaction.
Un homme au sourire énigmatique roule au volant d'une Lotus Seven jaune, immatriculée KAR120C. Il arrive à Londres, passe devant le Parlement et entre dans un parking souterrain. Il prend un ticket à une borne orange, la barrière se lève. Il se gare et pousse une double porte où est indiqué, en grosses lettres, WAY OUT.
D'un air décidé, il progresse dans un long couloir sombre et pénètre dans un bureau. On le voit s'exprimer d'une manière colérique devant un bureaucrate. Il pose une enveloppe sur le bureau, très sèchement. Sur celle-ci est écrit : "Private Personal. By Hand". Est-ce sa démission ?
Il cogne du poing sur la table et repart. Il sort du parking. Aussitôt, il est suivi par un corbillard noir immatriculé TLH858. On aperçoit une machine à écrire qui barre la photographie de l'homme par des X majuscules. Un rail automatisé dépose le dossier dans un casier "RESIGNED" (Démissions).
L'homme s'arrête devant son domicile. Tandis que le corbillard stoppe devant le bâtiment, l'homme attrape une valise et prend un passeport. On le voit prendre une image où apparaissent des palmiers et l'océan. Part-il en vacances ou s'enfuit-il à jamais pour une destination inconnue ?
Durant ce temps, des hommes sortent du corbillard. Ils sont vêtus de costumes sombres et chapeaux haut-de-forme. Ils envoient un gaz soporifique par la serrure de la porte. L'homme s'évanouit.
Il se réveille dans une chambre et découvre la place d'un village côtier par la fenêtre.
S'ensuit un dialogue culte (tandis que l'on voit l'homme courir sur une plage, une étrange sphère remontant à la surface) :
— Où suis-je ?
— Au Village.
— Qu'est-ce que vous voulez ?
— Des renseignements !
— Dans quel camp êtes-vous ?
— Vous le saurez en temps utile. Nous voulons des renseignements... des renseignements... des renseignements.
— Vous n'en aurez pas !
— De gré ou de force, vous parlerez.
— Qui êtes-vous ?
— Je suis le nouveau numéro deux.
— Qui est le numéro un ?
— Vous êtes le numéro six.
— Je ne suis pas un numéro. Je suis un homme libre !
Rire sardonique.
Ciel nuageux, bruit de tonnerre, moteur à réaction.
Un homme au sourire énigmatique roule au volant d'une Lotus Seven jaune, immatriculée KAR120C. Il arrive à Londres, passe devant le Parlement et entre dans un parking souterrain. Il prend un ticket à une borne orange, la barrière se lève. Il se gare et pousse une double porte où est indiqué, en grosses lettres, WAY OUT.
D'un air décidé, il progresse dans un long couloir sombre et pénètre dans un bureau. On le voit s'exprimer d'une manière colérique devant un bureaucrate. Il pose une enveloppe sur le bureau, très sèchement. Sur celle-ci est écrit : "Private Personal. By Hand". Est-ce sa démission ?
Il cogne du poing sur la table et repart. Il sort du parking. Aussitôt, il est suivi par un corbillard noir immatriculé TLH858. On aperçoit une machine à écrire qui barre la photographie de l'homme par des X majuscules. Un rail automatisé dépose le dossier dans un casier "RESIGNED" (Démissions).
L'homme s'arrête devant son domicile. Tandis que le corbillard stoppe devant le bâtiment, l'homme attrape une valise et prend un passeport. On le voit prendre une image où apparaissent des palmiers et l'océan. Part-il en vacances ou s'enfuit-il à jamais pour une destination inconnue ?
Durant ce temps, des hommes sortent du corbillard. Ils sont vêtus de costumes sombres et chapeaux haut-de-forme. Ils envoient un gaz soporifique par la serrure de la porte. L'homme s'évanouit.
Il se réveille dans une chambre et découvre la place d'un village côtier par la fenêtre.
S'ensuit un dialogue culte (tandis que l'on voit l'homme courir sur une plage, une étrange sphère remontant à la surface) :
— Où suis-je ?
— Au Village.
— Qu'est-ce que vous voulez ?
— Des renseignements !
— Dans quel camp êtes-vous ?
— Vous le saurez en temps utile. Nous voulons des renseignements... des renseignements... des renseignements.
— Vous n'en aurez pas !
— De gré ou de force, vous parlerez.
— Qui êtes-vous ?
— Je suis le nouveau numéro deux.
— Qui est le numéro un ?
— Vous êtes le numéro six.
— Je ne suis pas un numéro. Je suis un homme libre !
Rire sardonique.
Re: THE PRISONER/LE PRISONNIER
En voilà une idée qu'elle est bonne !
Au temps de l'ORTF à chaîne unique en N&B, tout ce qui était d'inspiration vaguement SF ou fantastique se faisait quasi-systématiquement éreinter par les ligues de salubrité mentales. Parmi les séries retirées à la sauvette de la programmation, on peut citer "La Quatrième Dimension" et "Commando Spatial", la coproduction kitsch franco-allemande cassée en Europe mais dont le concept de base repiqué par Roddenberry est devenu "Star Trek" en Amérique.
Pour passer à travers les griffes de la censure bien-pensante, il fallait soit du très soft ("Peter Brady, l'homme invisible"), soit de l'inclassable pur comme "Le Prisonnier". Je crois sincèrement que la programmation de cette série est née d'un malentendu et doit beaucoup au nom de son acteur vedette : Patrick McGoohan. Celui-ci avait été le héros d'une autre série britannique d'espionnage, "Opération Danger", qui avait bien marché et l'idée que "le Prisonnier" en soit une espèce de suite a dû faire le reste. Le temps que les grands manitous qui présidaient aux destinées de l'audio-visuel réalisent leur erreur, c'était trop tard car, contrairement à ce qui s'était passé auparavant, cette série a très tôt accroché une frange notable et enthousiaste d'intellos, un impact qu'on peut rapprocher (et pour des raisons assez similaires, d'ailleurs) de celui que connurent "les Shadoks" quelques temps plus tard... et n° 6 entra dans la légende.
Mais je rends l'antenne à l'honorable Zaroff. C'était Léonce Ytrône, à vous Cognac-J'ai !
P-S : Hé, quelqu'un se souvient des "Agents Très Spéciaux" ?
Au temps de l'ORTF à chaîne unique en N&B, tout ce qui était d'inspiration vaguement SF ou fantastique se faisait quasi-systématiquement éreinter par les ligues de salubrité mentales. Parmi les séries retirées à la sauvette de la programmation, on peut citer "La Quatrième Dimension" et "Commando Spatial", la coproduction kitsch franco-allemande cassée en Europe mais dont le concept de base repiqué par Roddenberry est devenu "Star Trek" en Amérique.
Pour passer à travers les griffes de la censure bien-pensante, il fallait soit du très soft ("Peter Brady, l'homme invisible"), soit de l'inclassable pur comme "Le Prisonnier". Je crois sincèrement que la programmation de cette série est née d'un malentendu et doit beaucoup au nom de son acteur vedette : Patrick McGoohan. Celui-ci avait été le héros d'une autre série britannique d'espionnage, "Opération Danger", qui avait bien marché et l'idée que "le Prisonnier" en soit une espèce de suite a dû faire le reste. Le temps que les grands manitous qui présidaient aux destinées de l'audio-visuel réalisent leur erreur, c'était trop tard car, contrairement à ce qui s'était passé auparavant, cette série a très tôt accroché une frange notable et enthousiaste d'intellos, un impact qu'on peut rapprocher (et pour des raisons assez similaires, d'ailleurs) de celui que connurent "les Shadoks" quelques temps plus tard... et n° 6 entra dans la légende.
Mais je rends l'antenne à l'honorable Zaroff. C'était Léonce Ytrône, à vous Cognac-J'ai !
P-S : Hé, quelqu'un se souvient des "Agents Très Spéciaux" ?
Jack-the-rimeur- — — Zonard crépusculaire — — Disciple d'Ambrose Bierce
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Date d'inscription : 23/01/2013
Age : 72
Localisation : Narbonne
Re: THE PRISONER/LE PRISONNIER
J'ai pris une réelle claque dans la poire en découvrant cette série. Elle correspondait exactement à ce que je recherchais intimement. Tout me parle dans cette série. Certes, le sourire goguenard répétitif de McGoohan peut irriter, mais quelle magie dans le décor et le scénario !
Police "Village" pour écrire comme dans la série !
Pour les utilisateurs de Windows, copier le fichier téléchargé dans c:\windows\fonts.
Lien :
http://www.dafont.com/prisoner.font
JE SUIS LE NUMBER 6 !
Je suis le numéro six !
Lien :
http://www.dafont.com/prisoner.font
JE SUIS LE NUMBER 6 !
Je suis le numéro six !
Re: THE PRISONER/LE PRISONNIER
J'adoooore !!!! (la série, le Prisonnier, of course)
J'adooore (je ne sais pas comment faire pour utiliser cette police ???) que tu donnes en lien ???
Le générique: Tout à fait une ambiance de dingue comme j'aime (j'ai toute la série en DVD )
J'approuve à 100%!!!
J'adooore (je ne sais pas comment faire pour utiliser cette police ???) que tu donnes en lien ???
Le générique: Tout à fait une ambiance de dingue comme j'aime (j'ai toute la série en DVD )
J'approuve à 100%!!!
Re: THE PRISONER/LE PRISONNIER
Sans doute une des séries les plus originales, sinon LA plus originale des années 60, voire même de l'histoire des séries anglo-saxonnes...Et je pense que LOST lui doit en partie son inspiration: l'île dont on ne peut s'échapper et où l'on ignore qui tire les ficelles
Bon, la fin de la série (Les deux derniers épisodes) est tout aussi embrouillée que la dernière saison de LOST...Sauf que LOST, si la l'explication finale est bâclée et tirée par les cheveux, on comprend un peu ce que ça veut dire, par contre ...Si quelqu'un à compris la signification des deux épisodes de conclusion du Prisonnier, j'aimerais qu'il m'explique!
Bon, la fin de la série (Les deux derniers épisodes) est tout aussi embrouillée que la dernière saison de LOST...Sauf que LOST, si la l'explication finale est bâclée et tirée par les cheveux, on comprend un peu ce que ça veut dire, par contre ...Si quelqu'un à compris la signification des deux épisodes de conclusion du Prisonnier, j'aimerais qu'il m'explique!
Dernière édition par Paladin le Mer 4 Sep 2013 - 22:53, édité 2 fois
Re: THE PRISONER/LE PRISONNIER
Je vais chroniquer tous les épisodes avec un oeil neuf. Je tenterai une explication.Paladin a écrit:Si quelqu'un à compris la signification des deux épisodes de conclusion du Prisonnier, j'aimerais qu'il m'explique!
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Re: THE PRISONER/LE PRISONNIER
Pas d'accord avec Paladin : Le concept global de LOST est clairement dérivé de "L'Ile Mystérieuse" de Jules Vernes et n'a guère à voir avec "Le Prisonnier". Celui-ci est une histoire d'intox, de manipulation, un jeu de miroirs truqués où toute frontière entre le réel et l'illusion se dérobe sans arrêt, où l'on ne sait jamais qui sont les captifs ou les geôliers.
Si j'avais une référence à proposer, ce serait Kafka : "Vous n'avez passé que quelques jours au Village et déjà vous pensez tout connaître mieux que les gens qui y ont passé leur vie entière..."
Cette citation, extraite du "Château" de Franz Kafka, figure en exergue de la seconde partie du "Prisonnier", le bouquin écrit pas Thomas Disch en 1969 à partir de la série télé (Presses de la Renaissance, 1977, rééd. chez Press Pocket). Et, oui, je l'ai lu...
Les autres références qui me viennent sont cinématographiques et postérieures. Le premier est "Dark City", où des E-T reconstituent autour des humains qu'ils ont enlevés un cadre truqué similaire à leur quotidien. L'autre - ne riez pas ! - est un JCVD. Je crois que c'est "Double Team" réalisé pas Tsui Hark. On y trouve une île où les agents secrets vieillissants ou qui veulent raccrocher, mais qui savent trop de choses pour que leur agence les laisse batifoler dans la nature, sont relégués contre leur gré. Bien soignés quoique officiellement décédés, on leur fait passer le temps en leur donnant à analyser des images satellites ou des simulations géopolitiques. Le seul lien concret entre l'île et le monde extérieur est le ravitaillement aérien périodique sans atterrissage durant lequel chaque prisonnier est confiné dans sa chambre sous haute surveillance. Aucune évasion possible. Sauf que... bien sûr, impossible n'est aware !
Mais il est tard et je m'égare. Je vous laisse trouver les concordances.
Au plume, les vieux os ! Bonsoir.
Si j'avais une référence à proposer, ce serait Kafka : "Vous n'avez passé que quelques jours au Village et déjà vous pensez tout connaître mieux que les gens qui y ont passé leur vie entière..."
Cette citation, extraite du "Château" de Franz Kafka, figure en exergue de la seconde partie du "Prisonnier", le bouquin écrit pas Thomas Disch en 1969 à partir de la série télé (Presses de la Renaissance, 1977, rééd. chez Press Pocket). Et, oui, je l'ai lu...
Les autres références qui me viennent sont cinématographiques et postérieures. Le premier est "Dark City", où des E-T reconstituent autour des humains qu'ils ont enlevés un cadre truqué similaire à leur quotidien. L'autre - ne riez pas ! - est un JCVD. Je crois que c'est "Double Team" réalisé pas Tsui Hark. On y trouve une île où les agents secrets vieillissants ou qui veulent raccrocher, mais qui savent trop de choses pour que leur agence les laisse batifoler dans la nature, sont relégués contre leur gré. Bien soignés quoique officiellement décédés, on leur fait passer le temps en leur donnant à analyser des images satellites ou des simulations géopolitiques. Le seul lien concret entre l'île et le monde extérieur est le ravitaillement aérien périodique sans atterrissage durant lequel chaque prisonnier est confiné dans sa chambre sous haute surveillance. Aucune évasion possible. Sauf que... bien sûr, impossible n'est aware !
Mais il est tard et je m'égare. Je vous laisse trouver les concordances.
Au plume, les vieux os ! Bonsoir.
Jack-the-rimeur- — — Zonard crépusculaire — — Disciple d'Ambrose Bierce
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Re: THE PRISONER/LE PRISONNIER
Ah je suis bien d'accord avec toi pour Kafka. "Le prisonnier" est surtout une maturation schizophrénique, de la manipulation mentale, de la trahison et de la fausse amitié. C'est de l'humanité close pervertie. C'est vrai aussi que le merveilleux DARK CITY parvient à instaurer une atmosphère étouffante similaire.
Re: THE PRISONER/LE PRISONNIER
Kafka, oui, of course
C'est aussi une fable philosophique qui montre (dans le dernier épisode) que l'homme est prisonnier de lui-même. Il doit se battre contre sa nature à se créer des chaînes pour gagner vraiment sa liberté.
C'est aussi une fable philosophique qui montre (dans le dernier épisode) que l'homme est prisonnier de lui-même. Il doit se battre contre sa nature à se créer des chaînes pour gagner vraiment sa liberté.
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