ARCHÉTYPALE

Ariba, ariba, ariba ! Olà las sombras del escribanía !

Me voici !
Je vous propose ma petite histoire sur le thème phobie. J'espère qu'elle vous plaira !



https://drive.google.com/file/d/1SnOSA6FVkZ3NSOPLE8sn_2g3OWCHsCrg/view?usp=sharing

4423 SEC

Et bin, on en a au taquet aujourd'hui. Même chose que pour Phantom, ça peut traîner un peu pour les commentaires, beaucoup de membres préférant terminer leur propre texte avant de commencer à lire.

Pas de soucis Catherine, cela attendra. Merci ARF, j'espère ne pas m'être précipité.

Bonjour,
Inscrit hier, voici ma première lecture. Si j'en fais trop ou trop peu, n'hésitez pas à me recadrer.

D'abord, tu tiens là un super thème! L'idée est géniale. Vraiment.

Sur le fond, je me demande si la fin, à partir de "message terminé, etc..." est bien utile. La chute se tient dans le paragraphe précédent, la suite n'apporte pas grand chose au thème et diminue l'intensité de la chute.  

Il y a trois phrases dont je perçois le sens mais qui sonnent un peu "brouillon", qui s'intègrent mal entre elles, et qui mériteraient un développement plus conséquent, car là se trouve l'idée moteur de ce texte: Les phobies sont elles aussi des moteurs de la vie? Peut-on les gommer sans conséquence?...
"Nombre de personnes ont utilisé le boîtier sur eux, mais cela provoqua des dégâts au sein même de leur cerveau. Tous se virent perdre leurs emplois. Les hommes, les femmes et même les enfants ne ressentirent plus rien ; pas d’angoisses, aucunes envies, ni même de passions."

Sur la forme, je me suis senti mal à l'aise avec le nombre de "et", voire de "mais". Tu pourrais en supprimer beaucoup, et scinder les phrases en deux lorsqu'ils servent de liaison. Cela dynamisait le texte.

"...pour cause la pression...": la tournure me gène.

Dans la phrase "Solitude, l'oubli, la ruine...": pourquoi pas d'article à Solitude contrairement aux autres?

"Nombre de personnes ont utilisé le boitier sur eux, ":  (sur elles?)

"je peux savoir ce qu'il en ait.." (est)

Voilà, un très beau sujet, le genre d'idée que je regrette de ne pas avoir eu moi-même :-)

Bonjour Trantor !

Merci, pour tes remarques, mouarf : j'en étais sûr, j'aurais dû attendre avant de me précipiter, malheur à moi encore une fois, hélas !

Cela dit, sans ces (grossières fautes et maladresses, j'aurais pu obtenir un résultat plus qu'éloquent encore) comment ne pas se tirer soi-même une balle dans le pied : j'ai trouvé : "nos stress, no publication à la volé !"

Pour ce qui est de tes remarques, elles ne sont, ni trop ni pas assez, simplement justes ! Et merci à toi, de t'être donnée peine de poursuivre malgré cela.

Spoiler:

En tout cas, cette remarque finale m'a été fort agréable !

L'idée de départ, l'abolition des phobies, ne manque pas d'originalité mais, tout comme mon texte au final (je trouve), s'insère dans une coquille tout aussi classique : l'idée révolutionnaire qui échappe au contrôle de ses créateurs et se termine en extermination... Je pense aux concepteurs d'intelligence artificielle qui prend le dessus ou se rebelle (Tau, West World, I Robot pour ne citer que ceux-là), ou encore les virus qui terminent dans la nature (Resident Evil, le plus connu, un parmi tant d'autres). Et c'est là où je fais la distinction entre classique et originalité, les deux pouvant se combiner à merveille.

Pour le fond, on retrouve ton univers très marqué par la technologie mais tu n'as pas surchargé en détails techniques comme dans le texte de Scribay auquel je fais référence ;p. C'était digeste. J'ai essayé de faire abstraction de mon désamour pour les univers futuristes pour que ça ne pèse pas dans ma balance. En comparaison à d'autres, forcément, ça jouera quand même un peu.

Pour la forme, tu connais mon exigence et ma folie pour la détection des répétitions, des formulations et de la ponctuation. Je pense que tu as conscience d'un certain côté impulsif et instinctif de tes publications (tu le soulignes dans ton commentaire ci-dessus) et du coup, tu reproduis encore des fautes d'écriture (lourdeurs, redondances) que tu aurais pu éviter avec davantage de relectures, à l'image de mots manquants par exemple !!! Et il y a d'autres coquilles encore (trop nombreuses pour un concours même s'il n'y a rien à gagner, c'est le principe) mais le but n'est pas de t'enfoncer. C'est juste que tu te tires une balle dans le pied et que ça te dessert une fois de plus. Tu pourrais franchement proposer des textes moins bruts en PRENANT LE TEMPS. Trop impatient ce Carmin.

Concernant les dialogues - et ce n'est que mon avis, peut-être que d'autres le confirmeront - j'ai senti un manque de naturel dans certaines formulations.

En résumé, j'ai trop buté sur la forme pour apprécier un fond auquel je ne suis déjà pas naturellement sensible. Mais l'idée de l'abolition des phobies était vraiment bonne.

Salut Phanthom !

Ouais XD, après sans vouloir me défendre face à la réalité des choses en somme, les répétitions.
je te déconseilles de lire les plus grands auteurs tels que Barjavel, Brussolo, Werber et j'en passe et des meilleurs : tout cela pour dire que les verbes faibles s'enchainent, les répétitions et autres faiblesses stylistiques !

Je pense que cette quête ultime que tu as entrepris d'éradiquer la moindre répétitions et/ou de la phrases la plus juste comprenant un mot complexe n'est pas la meilleurs, si ce n'est pour rendre ton texte plus difficile à suivre comme l'est l'ouvrage "TROIS ESSAIS SUR L’ÉMERGENCE" du philosophe Jaegwon Kim qui est surtout un livre qui s’étudie et non qui se lit par loisir.

Perso, je ne suis plus dans cette optique concernant mes créations. Pourtant, j'avais la même vocation que toi il y a quelque temps. Cependant, à ce jour, j'ai bien compris que la lecture est un loisir et que tout le monde n'a pas un dico sous la main. La lecture est faite pour s'évader simplement pour ne plus être dans cette réalité qui fait mal. Mais ce n'est que mon point de vue, mais je crois peut se comprendre.

Le succès d'un livre, je crois encore, se mesure à l'énergie qu'on lui investit, mais aussi à la simplicité qu'il apporte au lecture, "sans pour autant ne faire que répéter et ou employer les verbes faibles. Nuance. Je n'ai pas dit cela, que ce soit clair"

En tout, cas merci pour ton retour

J'ai eu l'impression de lire un plan détaillé. C'est dommage car tes textes sont meilleurs quand tu prends le temps.

Bonjour Petit Carmin,
Le début est accrocheur, mais ne permet pas de se situer : c'est sur Terre ou dans une colonie lointaine ? Je n'ai pas tout compris en fait.
J'ai eu l'impression de lire des paragraphes sans trop de liens entre eux.

Spoiler:

Texte très touffu (au moins 4 personnages ou intervenants et situations différentes) pour trop peu de signes. Dommage.
Idée intéressante ^^

Merci, Françoise ! ^^'

Une excellente idée qui pâtit du format court imposé. En effet, certains aspects de l'histoire auraient gagné à être développés : les effets néfastes de l'expérimentation sont présentés un peu trop rapidement à mon goût.
La fin nous entraîne dans les contrées du conte philosophique et j'aurais apprécié que cela soit approfondi. Par exemple, en quoi les phobies seraient-elles aussi importantes pour l'humain que les passions ?
En revanche, les huit dernières lignes ne m'ont pas paru indispensables, notamment la dernière phrase.
Tout cela ne m'empêche pas d'avoir passé un bon moment.

Salut Hellaz, Blahom !

Hellaz dit : a écrit: J'ai eu l'impression de lire un plan détaillé. C'est dommage car tes textes sont meilleurs quand tu prends le temps.

Et je te répondrais cela : L'effet plan, c'est plutôt un effet rapport d'activité voir journal de bord du docteur. Par conséquent, cela peut procurer une différence entre les structures plus littéraires, classiques.

Je suis d'accord avec toi Blahom sur le contre coup du nombre de sec limité qui fait faiblir le fond de l'histoire et aussi du fait du manque de développement de l'idée amorcée.

En somme, c'est un peu dommage parce que j'aurai pu gagner d'autant plus de points positifs ! A propos des dernières lignes, elle aurait pu justement servir à développer tout cela, arf ! Mais ça m'inspire pour le reprendre ultérieurement !

Merci pour vos retours

L'idée est intéressante, mais je crois que tu ne fais pas de différence entre "peur" et "phobie". Éliminer la peur, fille de l'expérience, revient à inciter les gens à prendre des risques insensés. Si je n'entre pas dans la cage d'un lion, c'est parce que je sais, par l'expérience partagée, que je risque de me faire croquer : la peur me protège. En revanche, si l'évocation même d'un fauve, ou une image, me plongent dans la terreur, alors là, je souffre d'une phobie, qui est une peur irrationnelle et nuisible à ma survie dans certains cas. Pour que le côté "philosophique" de ton histoire fonctionne, il aurait fallu expliquer cette nuance. Enfin, je crois.
Pour la forme : pourquoi s'encombrer d'une quincaillerie SF alors que ton histoire aurait pu avoir lieu dans un labo contemporain ? Par exemple, la mention des "droïdes de combat" n'apporte rien au sujet.
Enfin, il reste beaucoup de fautes et coquilles que mes prédécesseurs ont soulignées, et des phrases qui mériteraient d'être reformulées :"il s'est suicidé en se jetant sur un agent de sécurité"... Il était pointu, l'agent ? Ce genre de phrase, limite drôle, me fait sortir d'un récit qui comporte de bonnes idées, et qui mériterait d'être retravaillé, à mon humble avis.

Salut Lester !

En effet, c'est vrai, tu soulignes-là des points essentiels à la compréhension de l'histoire !

En fait, la dernière phrase aurait pu être mieux située dans l'espace et le temps, car, en réalité, le sergent Price se trouve dans un vaisseau spatial, mais comme je n'ai pas fait mention le lecteur ne la pas ressenti, encore dommage pour ce manque de précisions.

En tout cas, j'en prends note de tes remarques mais aussi des autres pour la suite, merci beaucoup !

Voila, Lester a dit ce que j'avais principalement à dire: il faut bien différencier "peur" et "phobie". La peur a une fonction de sauvegarde et de protection, même si elle peur être excessive, la phobie est purement pathologique.

La SF a déjà traité de la disparition de la peur, et de ce qu'elle peut entraîner comme déshumanisation, en abolissant les affects et les passions. Guérir des phobies est autre chose.

L'idée est bonne, mais traite plus de la peur que de la phobie.