SANS NOM

Voilà, je travaille depuis quelques jours (quand j'en ai le temps) à un texte. Pour l'instant, il n'a pas de nom (encore que 'Sans nom' pourrait constituer un chouette titre!). Comme d'habitude, je ne sais absolument pas où je vais. C'est donc vous l'avez compris un texte inachevé que je vous livre. Pour l'instant la chose est courte. Je ne désespère pas de l'étoffer prochainement. C'est en l'état, du coup vous aurez été prévenus...

Le lien est le suivant

http://pdf.lu/6HIq/

Le mot de passe est SILENCE (le tout avec des majuscules).

Et bien, c'est sympatoche tout ça

Je relevé quelques fautes (même si c'est très bien écrit dans l'ensemble) :

- "Il n’aurait jamais du se trouver là." Juste avant la partie 2, page 4. tu as oublié l'accent circonflexe sur "dû".
- "En dépit de son caractère emporté et de son parcours chaotique Soualem n’en finissait pas de l’impressionner." Page 5. J'aurais bien vu une virgule après chaotique.
- "Joanne Lévêque répondit le divisionnaire." Page 6. Virgule avant "répondit".
- "Au moins avait-il l’assurance que le travail ne
serait pas salopé, pensa-t-elle en ôtant ses gants." Page 6. Bon, là c'est pas vraiment une faute, "avait-il" peut référer à Langeard, mais ça m'a fait bizarre à la lecture, j'aurais plus vu ça au pluriel.
- "je absolument y assister dit-elle tout en quittant la cabine" Page 6. Il manque le verbe après "je" et la virgule avant "dit-elle".

Le tout se lit bien, on est un peu déstabilisé au départ (j'ai cru qu'on suivait la première victime au tout début alors que non, on lit les pensées du tueur, c'est peut-être moi qui suis lente à la détente remarque ), mais ensuite tout est bien clair. De plus, les personnages de Leïla et Langeard semblent prometteurs.

Moi je te dis : Continue !

Merci A'Tuin... Pour ce qui est de continuer oui, bien sûr mais il va falloir que je trouve la suite !

J'en profite aussi pour te remercier A'Tuin. J'ai vu nombre de fautes dans mon texte. Un truc qu'il me faudra revoir dès que j'en aurais le temps...

C'est excellent, Silence. Grosse affection pour l'ouverture. Et la dame Soualem m'envoie déjà du rêve.

Allez, maintenant t'as plus le choix T'as posté le début, donc tu dois te décarcasser pour nous trouver une suite et, encore mieux, une fin!

Ce que Naëlle veut...(À toi de trouver la suite !).
Merci à toi.

C'est excellent. Ces quelques pages encore à travailler, donnent envie de dévorer l'ensemble d'une oeuvre magistrale. Je t'engage à te sortir les tripes (au figuré, hein !) pour étoffer et prolonger ce début très prometteur.
On attend la suite avec une patience... mesurée...
Bon courage à toi

Effectivement, ça promet du lourd. J'ai avalé ces quelques pages sans m'en rendre compte. Sur ce morceau, tu nous offres déjà des personnages construits qu'on a envie de suivre encore, tu mets du mystère et enclenche l'intrigue, on se demande ce qui se cache derrière cet être étrange entrevu dans le prologue et surtout on veut connaître la suite.
Alors Silence, maintenant, tu n'as plus le choix, tu dois continuer.

Merci à vous deux... Je vous posterai la suite dès que j'en aurai une. Merci à vous, vraiment.

Bon, ci-joint la suite de ma nouvelle. Je ne sais toujours pas où je vais.

ÉDIT : Le nouveau lien a été recollé sur la première page de ce sujet. Le mot de passe est inchangé.

Bon sang, mais il faut absolument que je lise ça ! Du Silence qui sort, pire que le dernier Stefen King en librairies

J'essaie de m'y mettre ce week-end, mais je ne jure de rien... Mais un jour ou l'autre, tu auras mon avis (je sais, c'est très très vague comme échéance... Ca te situe quelque part sur la ligne spatio-temporelle de l'éternité , même si j'espère rester dans un espace-temps court lol ! )

Bises
Eimelle

Oh comme tu y vas Eimelle ! Tu me colles l'angoisse. J'essaie d'écrire, un point c'est tout ; ne t'attends donc pas à quelque chose de construit, ni de véritablement relu... Mais je serai de toute façon très content d'avoir ton avis et éventuellement tes idées (excellentes, toujours !) sur ce début d'histoire.
La bise également,
S.

Je vais tenter de lire ça aussi, le début m'avait beaucoup plu, j'ai envie de connaître la suite. Mais quand ? ça c'est une autre histoire. J'ai trop peu de temps pour le moment entre les diverses corvées qui émaillent mes journées et le récit sur lequel je suis. Et je n'ai même pas avancé sur le roman de Didier.
Je le redis, je veux des journées de 48h !!!!!

Franchement Catherine, ne t'inquiète pas... D'autant que je me suis promis de lire également ton nouveau texte ainsi que le roman de Didier... Alors pas de souci, tu sais !

Je ne m'inquiète pas, je sais que je le lirai, me faudra juste un peu de temps. Quand je suis en phase d'écriture, je peine à décrocher, mais me connaissant, je décrocherai à un moment et pourrai me mettre à la lecture.

Je viens de lire et j'attends la suite ! C'est très bien écrit. Et j'admire ta maîtrise de l'univers policier contemporain !

Quelques coquilles tout de même (c'est rare qu'aucune n'échappe à la traque et je suis un peu maniaque). Je te donne la liste de celles que j'ai repérées en fin de post. J'aurais aussi mis beaucoup plus de virgules...

Et je ne peux pas m'empêcher de te faire quelques commentaires sur le récit (on ne se refait pas et j'en attends tout autant sur mes textes, quand j'en montrerai). J'espère ne pas spoiler...

J'ai lu la version de six pages (que j'avais téléchargée ce matin, avant de découvrir les dix pages supplémentaires ce soir) et j'ai l'impression que la première version, sans le chapitre sur Cathy, était plus incisive. Mais le fait de lire une seconde fois émousse peut-être un peu la réception.
Je suppose que tu comptes exploiter les allusions que Cathy fait ? Si tu estimes mon ressenti justifié, une possibilité serait d'inverser les chapitres 1 et 2 en manière de flashback (le premier chapitre 2, au fait, car je viens juste de remarquer que deux chapitres ont reçu ce numéro), ou de carrément placer le chapitre 1 plus tard.

Il me semble qu'il y a un tout petit problème de temporalité au début du chapitre 3 - une question de rédaction et non de narration. Les événements de la veille et de la nuit se télescopent et j'ai eu un peu de mal à les remettre en ordre dans mon esprit.
Mon impression est peut-être due au fait que je suis fatiguée (moi aussi) et tu jugeras peut-être que je pinaille, ou me répondras que l'effet est volontaire. Sinon, j'ai quelques idées plus précises sur ce point (après avoir relu plusieurs fois le paragraphe) et je peux les développer (si tu le juges utile).

Une critique que l'on me fait souvent - cela me fait donc plaisir de la renvoyer à quelqu'un : tu as beaucoup de personnages. J'en compte quatorze - douze si on suppose que le tueur et la victime font partie des noms mentionnés (pas dit mais pas exclu). Moi, cela ne me gêne pas, je suis une inconditionnelle de Robert Jordan (mais j'ai fait un fichier tableur pour lister ses personnages et me souvenir de qui est qui, car ça devenait vraiment trop compliqué - j'ai arrêté au volume 7, au 1150e nom).

Mais cela ne retire rien à la qualité de ce début. Plein d'éléments semés... J'attends de voir comment tu les développeras...

Les coquilles :
P. 4
- chez-eux [tiret]
- Il portait coûteux un costume de tweed [inversion]
- trainait [accent]
- valises à roulette
P. 5
- mais ---pris--- néanmoins
- allumer le baladeur MP3 la poche de son jean  [mot manquant]
- une des parties ---déserte---
- Et elle ---su---
P. 7
- messes- basses  [je pense tiret en trop]
- «  Détends-toi »  [guillemet ouvrant en fin de la ligne précédente]
P. 8
- Vous savez où ---son--- ses fringues ?
- ---vue--- la quantité de sang
- 36 ---quais--- des Orfèvres
- ce qui ne l’avait pas ---empêché---
P. 11
- vous même [tiret]
-  jeta à Simon, un regard venimeux  [virgule en trop]
- « souffle » répété à quelques lignes d'intervalle de part et d'autre du « 3 » du hapitre.
P. 13
- dites moi tout [tiret manquant]
P. 14
- on s’est bien ---marrés--- [ce sont bien deux femmes? + « sérieux » en fin de phrase ?]
- rien qui ne permette [je supprimerais le « ne »]
- macchabé
- vous faire dresser des histoires  [j'aime bien cette coquille, devenons tous des dresseurs d'histoires !;-)]
- Leïla se ---tu---
P. 15
- Un cal épais s’était déposé  [plutôt « formé » ? ou « s'observait » pour éviter la répétition quelques lignes en dessous ?]
- entrainés  [accent]
- Je suis ---prévenu---