EUGÈNE (texte retiré)

Je viens tout juste de supprimer ma nouvelle 'Eugène'.
Je pense en effet retravailler dessus et l'envoyer, le cas échéant, à un AT.

Un excellent texte cher Silence   
Il y a juste la première phrase (Il ouvre la porte du Pick-up puis : il la dépose... : je n'ai pas bien compris de quoi il s'agit ???)
Bravo pour ton retour en forme !!!

Très sympa. Au début, on ne voit ni l'angoisse, ni fantastique. Mais ça nous saute à la figure à la fin. Un bon texte à mes yeux, même si je ne sais pas si cela peut complètement être qualifié "d'angoisse".

Merci à vous pour vos retour.
Pour la typo Gernier, je ne sais s'il y a un problème ou pas chez les autres. Du coup je ne me prononcerai pas sur ce point.
Sur la forme, j'ai tenté un truc. Je ne suis pas un habitué de ce genre de narration. Par conséquent je prends vos observations sur le sens de mes phrases pour ce qu'elles sont : une incitation à améliorer mon 'style' (un bien grand mot !). Pour répondre à ta question Gernier : j'ai essayé une fin (qui après relecture du texte tombe un peu à plat, c'est vrai) ouverte : est-ce ce que tu dis ou le personnage est-il totalement cinglé ?

Vraie question Mormir !

Idem pour « Il ouvre la porte du Pick-up puis : il la dépose ».

Par contre bravo pour l'aspect glauque du texte. De l'Angoisse ? Non.

Points « - »
* Par moment c'est quand même un peu confus.
* L'introspection du personnage : pareil, un peu confusant : il a peur de devenir un zombie aussi ? D'en être un ?

Point « + »
* Si je ne suis pas planté sur la compréhension du texte, on est bien sur une histoire de zombie, non ?    
Si c'est bien le cas : super & grand bravo.
* J'ai vraiment beaucoup aimé la qualité descriptive du passage « il pense à la sueur... de
son dos ». wahou.

Ptt mon #2 sur le podium (s'il s'agit bien d'une histoire de zombie).
TwwT

Merci TwwT pour ta lecture et ton commentaire. Manifestement cette première phrase vous a posé problème à tous. C'est bien de me le dire. Un point cependant pour dire que ce n'est pas "il ouvre la porte du pick-up puis il la dépose"... Mais de fait vous avez raison, il peut y avoir un problème de sens pas évident.
Sur l'aspect confusant, comme tu dis, des pensées du personnage. Le type a surtout l'impression de devenir dingue à devoir jour après jour, nuit après nuit, recommencer les mêmes gestes horribles. Peut-être d'ailleurs est-il complètement cinglé. Marrant ! Je ne pensais pas que ce texte poserait de tels problèmes d'interprétation. Où l'on voit que les commentaires servent forcément à quelque chose et l'intérêt de poster.
Encore merci TwwT !

J'ai aimé le ton qui me rappelle "Foudre noire" de John Saul. Belle participation. Ça va être dur de voter.

Merci Zaroff ! Encore un livre que je n'ai pas lu !

Un texte vraiment sympa. J'y ai vu une sorte de Psychose version réduite, avec Eugène en remplaçant de Norman. Bien que quelques détails m'aient échappé, c'est globalement bien fait. Les descriptions sont superbes, surtout le passage du miroir où il se reconnait pas que j'ai adoré.

Pas de problème sur la police d'écriture, de mon côté. Elle est spéciale mais lisible pour moi.

Merci Murphy, ton commentaire me fait très plaisir. J'en ai un peu bavé avec le passage du miroir !

Disons que la police se prêterait plus à un texte léger que d'angoisse ; mais c'est un détail secondaire.

J'ai du relire le texte deux fois pour comprendre, mais lorsqu'on comprend c'est un délice, particulièrement ce passage que je trouve très émouvant :
" Sur la route, il commence à chanter pour se donner du courage, puis glisse un regard vers elle. Elle s’est mise à pleurer. De grosses larmes coulent en silence sur son visage, suivent l’arête de son nez, creusent de profonds sillons parmi la crasse et le sang séché. Et c’est moi qui suis sale ? Et c’est moi qui suis sale ? Et c’est moi qui suis sale ? "


Un récit parmi les meilleurs  

Waow ! Merci de ton commentaire Doumé, je suis très touché.

Premier texte que je lis de toi Silence , bon feeling avec ton écriture.
Un savoureux conte macabre, il laisse aussi libre cours à l'imaginaire du lecteur , la fin reste ouverte.
Le rapport ave le thème n'est peut-être pas aussi étroit que dans d'autres textes mais pas inexistant non plus.

j'ai lu les commentaires , je ne vois pas où est le problème dans la première phrase, j'ai tout de suite compris qu'on parlait d'une personne (éventuellement morte) . J'en déduis donc que j'ai lu trop de romans ( ou vu trop de séries) américain(e)s avec des serial-killer qui conduisent des pick-up et trimballent des cadavres (dans le coffre ou ailleurs)