Erreur sur la personne
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FRançoise GRDR
Didier Fédou
Zaroff
Sandra MEtty
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Erreur sur la personne
Comme je l'ai précisé dans ma présentation, c'est dans le romantique que je sévis... mais voila quand même un petit texte que j'ai écris sur le défi d'un ami. Il m'a donné le début (en italique) et je devais imaginer la suite sans parler d'amour - ce qui me concernant reste un exploit !
Voila, ça ne vous en dira pas beaucoup sur moi, mais peut-être juste un petit aperçu.
Erreur sur la personne
Josy était là devant lui. Tout lui remontait d'un seul coup, et comme les geysers d'Islande explosent, elle lui asséna un violent coup de pied dans les tibias.
— Ça y est, t’es sorti du gaz, salopard ? T’aurais peut-être pu l’faire plus tôt, ça m’aurait évité d’avoir à t’porter, tu pèses plus lourd qu’un ch’val mort !
Il voulu porter la main à sa tête, mais s’aperçut qu’il était entravé. Des cordes, probablement, qui lui retenaient les poignets et un regard rapide l’informa que ses chevilles n’étaient pas plus libres. Il tenta de tourner légèrement ses mains pour accorder un peu de mou à ses liens, car le sang déjà n’irriguait plus totalement ses extrémités, et ses doigts s’étaient engourdis.
Il faisait noir dans ce hangar, et rien ne lui indiquait combien de temps il était resté inconscient, mais les bribes de sa mémoire qui l’avaient assaillies dès lors qu’il avait rouvert les yeux se précisaient douloureusement.
La sortie de l’usine, la camionnette, l’odeur de tabac froid, et la violence du choc.
Il voulu faire rouler sa nuque pour chasser la douleur qui lui tenaillait les tempes, mais se ravisa.
Cette femme, cette Josy, s’il devait en croire le monologue qu’elle tenait et qu’il avait surpris au moment de son réveil, ne semblait attendre qu’un geste de sa part pour le frapper encore. Il n’était pas couard, mais entravé et encore à moitié assommé, force lui était d’admettre qu’il ne faisait pas le poids devant elle.
— T’imaginais que j’t’avais oublié ? Tu croyais qu’tu pouvais revenir comme ça au village, faire ton paon comme si de rien n’était !
Elle ponctua sa tirade d’un nouveau coup de botte dans ses jambes déjà meurtries. Un éclair de douleur le transperça, mais il s’efforça de n’en rien laisser voir. Dans les films, ils disent que ça peut attiser la fureur de l’agresseur… à moins que ce ne soit le contraire… il aurait du être plus attentif, remarqua-t-il avant de prendre conscience du ridicule de ses pensées.
Il avait face à lui une furie qui semblait le connaitre, mais dont il n’avait aucun souvenir et qui visiblement nourrissait à son encontre une haine sans borne et une évidente envie de meurtre.
— Bon alors mon Paulo, par quoi tu veux qu’on commence ?
— Paulo ? articula-t-il péniblement en constant qu’il avait probablement la mâchoire cassée, …m’appelle Éric…
Josy rejeta la tête en arrière et rit bruyamment.
— M’en fous du nom que t’as maintenant, tu dois payer !
Elle s’était penchée sur lui et lui soufflait une haleine chargée de whisky bon marché et de cigarette. Un relent de crasse aussi flottait sournoisement. Ses ongles rongés étaient noirs et repoussants.
Sentant son estomac se révulser, Éric tourna légèrement la tête pour tenter d’échapper aux nauséabonds effluves ; mais d’une main pareille à un étau elle lui saisit le menton et ramena son regard voilé de douleur vers le sien.
Cette fois, il n’eut plus de doute, sa mâchoire était cassée !
Dans les prunelles démentes qui le fixaient, il ne pu que constater que toute trace d’humanité avait disparut.
La poigne tremblante de rage de Josy le lâcha enfin, et l’arrière du crane d’Éric vint frapper le béton dur et froid du sol.
La douleur n’était-elle pas la preuve qu’il vivait encore ? se rassura-t-il alors qu’un voile noir envahissait son champ de vision.
— Ça y est, te r’v’las dans le coltard ! grogna-t-elle.
Éric accueillit cette erreur de constat avec bonheur. Si en ne bougeant pas il arrivait à lui faire croire qu’il s’était évanoui, il pouvait peut-être espérer bénéficier d’un peu de temps pour reprendre ses esprits et pourquoi pas, ses forces.
De rage, elle balança un coup de rangers dans un vieux baril à essence qui trainait là. Le baril vola contre le mur du hangar, avec une violence telle que la douleur de ses tibias se rappela à lui.
Elle poussa un cri de rage et se rua sur une porte qui s’ouvrit en craquant.
Il faisait encore jour.
À moins que ce ne fut un autre jour…
Dans un grincement sinistre, le battant se referma comme il put, mais la lumière qu’il laissait passer à présent, permit à Éric de distinguer les formes des objets qui l’entouraient.
Un tracteur, une herse, une remorque, du foin – mais ça il l’avait senti, et avait d’ailleurs prié pour ne pas éternuer, par égard pour ses côtes – le renseignèrent sur le lieu. Elle l’avait enfermé dans un hangar de ferme.
Et dire que son oncle lui avait affirmé que ce poste de représentant en produits agricoles était un petit boulot tranquille… S’il se sortait de là, il ne ferait plus jamais de petits boulots d’été. Pour payer ses études, il ferait un crédit ! Fauché et en vie lui sembla d’un coup une position bien plus enviable.
Il n’entendait plus de bruit. Il fit jouer les muscles de son cou et constata que bien que douloureuse, sa tête pouvait bouger.
Puis tout s’accéléra. Les bruits de pas, un crissement métallique dont il ne chercha même pas à connaitre l’origine, la porte qui vola en éclat contre le mur et ce monstre déchainé qui se ruait sur lui.
Éric rassembla ses genoux sur sa poitrine, et reçu le poids de son assaillante sur ses semelles. Il poussa de toutes ses forces et la masse écrasante s’envola, et s’empala sur la herse.
Il fixa son regard démoniaque, vit passer l’étonnement, la colère, la douleur, puis le vide.
A son tour, il ferma les yeux. Il était attaché dans cet entrepôt perdu au milieu de nulle part, son pauvre corps souffrait très certainement de plusieurs fractures, et bientôt l’odeur du sang attirerai les animaux sauvages…
Sur ce bilan décourageant, il se mit à prier.
Voila, ça ne vous en dira pas beaucoup sur moi, mais peut-être juste un petit aperçu.
Erreur sur la personne
Josy était là devant lui. Tout lui remontait d'un seul coup, et comme les geysers d'Islande explosent, elle lui asséna un violent coup de pied dans les tibias.
— Ça y est, t’es sorti du gaz, salopard ? T’aurais peut-être pu l’faire plus tôt, ça m’aurait évité d’avoir à t’porter, tu pèses plus lourd qu’un ch’val mort !
Il voulu porter la main à sa tête, mais s’aperçut qu’il était entravé. Des cordes, probablement, qui lui retenaient les poignets et un regard rapide l’informa que ses chevilles n’étaient pas plus libres. Il tenta de tourner légèrement ses mains pour accorder un peu de mou à ses liens, car le sang déjà n’irriguait plus totalement ses extrémités, et ses doigts s’étaient engourdis.
Il faisait noir dans ce hangar, et rien ne lui indiquait combien de temps il était resté inconscient, mais les bribes de sa mémoire qui l’avaient assaillies dès lors qu’il avait rouvert les yeux se précisaient douloureusement.
La sortie de l’usine, la camionnette, l’odeur de tabac froid, et la violence du choc.
Il voulu faire rouler sa nuque pour chasser la douleur qui lui tenaillait les tempes, mais se ravisa.
Cette femme, cette Josy, s’il devait en croire le monologue qu’elle tenait et qu’il avait surpris au moment de son réveil, ne semblait attendre qu’un geste de sa part pour le frapper encore. Il n’était pas couard, mais entravé et encore à moitié assommé, force lui était d’admettre qu’il ne faisait pas le poids devant elle.
— T’imaginais que j’t’avais oublié ? Tu croyais qu’tu pouvais revenir comme ça au village, faire ton paon comme si de rien n’était !
Elle ponctua sa tirade d’un nouveau coup de botte dans ses jambes déjà meurtries. Un éclair de douleur le transperça, mais il s’efforça de n’en rien laisser voir. Dans les films, ils disent que ça peut attiser la fureur de l’agresseur… à moins que ce ne soit le contraire… il aurait du être plus attentif, remarqua-t-il avant de prendre conscience du ridicule de ses pensées.
Il avait face à lui une furie qui semblait le connaitre, mais dont il n’avait aucun souvenir et qui visiblement nourrissait à son encontre une haine sans borne et une évidente envie de meurtre.
— Bon alors mon Paulo, par quoi tu veux qu’on commence ?
— Paulo ? articula-t-il péniblement en constant qu’il avait probablement la mâchoire cassée, …m’appelle Éric…
Josy rejeta la tête en arrière et rit bruyamment.
— M’en fous du nom que t’as maintenant, tu dois payer !
Elle s’était penchée sur lui et lui soufflait une haleine chargée de whisky bon marché et de cigarette. Un relent de crasse aussi flottait sournoisement. Ses ongles rongés étaient noirs et repoussants.
Sentant son estomac se révulser, Éric tourna légèrement la tête pour tenter d’échapper aux nauséabonds effluves ; mais d’une main pareille à un étau elle lui saisit le menton et ramena son regard voilé de douleur vers le sien.
Cette fois, il n’eut plus de doute, sa mâchoire était cassée !
Dans les prunelles démentes qui le fixaient, il ne pu que constater que toute trace d’humanité avait disparut.
La poigne tremblante de rage de Josy le lâcha enfin, et l’arrière du crane d’Éric vint frapper le béton dur et froid du sol.
La douleur n’était-elle pas la preuve qu’il vivait encore ? se rassura-t-il alors qu’un voile noir envahissait son champ de vision.
— Ça y est, te r’v’las dans le coltard ! grogna-t-elle.
Éric accueillit cette erreur de constat avec bonheur. Si en ne bougeant pas il arrivait à lui faire croire qu’il s’était évanoui, il pouvait peut-être espérer bénéficier d’un peu de temps pour reprendre ses esprits et pourquoi pas, ses forces.
De rage, elle balança un coup de rangers dans un vieux baril à essence qui trainait là. Le baril vola contre le mur du hangar, avec une violence telle que la douleur de ses tibias se rappela à lui.
Elle poussa un cri de rage et se rua sur une porte qui s’ouvrit en craquant.
Il faisait encore jour.
À moins que ce ne fut un autre jour…
Dans un grincement sinistre, le battant se referma comme il put, mais la lumière qu’il laissait passer à présent, permit à Éric de distinguer les formes des objets qui l’entouraient.
Un tracteur, une herse, une remorque, du foin – mais ça il l’avait senti, et avait d’ailleurs prié pour ne pas éternuer, par égard pour ses côtes – le renseignèrent sur le lieu. Elle l’avait enfermé dans un hangar de ferme.
Et dire que son oncle lui avait affirmé que ce poste de représentant en produits agricoles était un petit boulot tranquille… S’il se sortait de là, il ne ferait plus jamais de petits boulots d’été. Pour payer ses études, il ferait un crédit ! Fauché et en vie lui sembla d’un coup une position bien plus enviable.
Il n’entendait plus de bruit. Il fit jouer les muscles de son cou et constata que bien que douloureuse, sa tête pouvait bouger.
Puis tout s’accéléra. Les bruits de pas, un crissement métallique dont il ne chercha même pas à connaitre l’origine, la porte qui vola en éclat contre le mur et ce monstre déchainé qui se ruait sur lui.
Éric rassembla ses genoux sur sa poitrine, et reçu le poids de son assaillante sur ses semelles. Il poussa de toutes ses forces et la masse écrasante s’envola, et s’empala sur la herse.
Il fixa son regard démoniaque, vit passer l’étonnement, la colère, la douleur, puis le vide.
A son tour, il ferma les yeux. Il était attaché dans cet entrepôt perdu au milieu de nulle part, son pauvre corps souffrait très certainement de plusieurs fractures, et bientôt l’odeur du sang attirerai les animaux sauvages…
Sur ce bilan décourageant, il se mit à prier.
Re: Erreur sur la personne
Pour une intrusion dans le fantastique, c'est pas mal. Tu utilises certains clichés (noms anglosaxons, développement trop rapide...) mais les effets sont bien rendus. La fin manque un peu de sel mais pour une première fois tu t'en sors bien. Tente un atelier chez nous, je suis sûr que tu réussiras un truc original. Pourquoi pas notre concours qui se termine le 15 novembre ?
Forum créé le 21 octobre 2011 par Zaroff et Paladin
Notre groupe Facebook
"Toute variété riemannienne peut être plongée de manière isométrique dans un espace euclidien."
Ou pas.
Re: Erreur sur la personne
Je vais y penser, promis, mais là je suis sur l'écriture de mon bouquin, alors peu de temps, sans compter que théoriquement j'ai un travail à faire avec un directeur d'ouvrage courant septembre ou octobre et que je ne sais pas à quel rythme, il va m'accaparer.
"Josy" m'était imposé par le défi, donc je n'y ai pas touché.
Merci pour ta lecture
"Josy" m'était imposé par le défi, donc je n'y ai pas touché.
Merci pour ta lecture
Re: Erreur sur la personne
Tu devrais tenter un atelier de trois ou quatre pages pour voir. Pour notre concours, cela suffit. T'inspirer de nos images et voir ce que tu peux en tirer. C'est toujours sympa d'écrire dans un nouveau domaine avec un oeil neuf.
Forum créé le 21 octobre 2011 par Zaroff et Paladin
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"Toute variété riemannienne peut être plongée de manière isométrique dans un espace euclidien."
Ou pas.
Re: Erreur sur la personne
J'ai pas mal tourné sur le site, et sans exagérer, je ne sais pas où vous puisez tout ça. Très sincèrement, même mes cauchemars pour certains s'apparentent plus à un épisode de la petite maison dans la prairie... J'essayerai, c'est promis... j'essayerai...
Re: Erreur sur la personne
Troisième texte que je lis de toi. Toujours aussi propre, un peu court. Je voudrais bien voir ce dont tu es capable dans une histoire plus longue, parce que ça promets.
Messieurs-dames, une auteure à suivre.
Messieurs-dames, une auteure à suivre.
Re: Erreur sur la personne
Je me soumettrai à l'exercice, c'est promis dès que j'en aurai le temps. Là c'est très franchement la course !
Re: Erreur sur la personne
Tu as tout ton temps. On ne force personne ici. On est juste là pour se faire plaisir.
Forum créé le 21 octobre 2011 par Zaroff et Paladin
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"Toute variété riemannienne peut être plongée de manière isométrique dans un espace euclidien."
Ou pas.
Re: Erreur sur la personne
C'est aussi comme ça que je conçois l'écriture ! De toute façon quand je me force, rien ne sort...
Re: Erreur sur la personne
Tu as bien raison.
Forum créé le 21 octobre 2011 par Zaroff et Paladin
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"Toute variété riemannienne peut être plongée de manière isométrique dans un espace euclidien."
Ou pas.
Re: Erreur sur la personne
Sandra MEtty a écrit:J'ai pas mal tourné sur le site, et sans exagérer, je ne sais pas où vous puisez tout ça. Très sincèrement, même mes cauchemars pour certains s'apparentent plus à un épisode de la petite maison dans la prairie... J'essayerai, c'est promis... j'essayerai...
Mon texte dans l'Atelier 6 n'est pas si cauchemardesque que ça ! C'est gentillet, classique : tu peux le lire sans problème !
https://ecritoiredesombres.forumgratuit.org/t485-delire-sur-le-petit-chaperon-rouge-alice
Françoise Grenier Droesch
Skype Woman...
Re: Erreur sur la personne
Les miens sont noirs et sans espoirs (j'avais reçu ce commentaire-là une fois sur l'un de mes textes).J'ai pas mal tourné sur le site, et sans exagérer, je ne sais pas où vous puisez tout ça. Très sincèrement, même mes cauchemars pour certains s'apparentent plus à un épisode de la petite maison dans la prairie...
Re: Erreur sur la personne
J'aime à toujours laisser une petite porte ouverte sur les rêves et l'espoir, et quitte à écrire de "l'imaginaire" je pense que je sévirai plus facilement dans un monde d'elfes et de fées que de vampire ou d'horreur.
J'ai parcouru les posts concernant le concours de novembre, et il n'est pas dit que je ne me risquerai pas à l'exercice...
J'ai peut-être même une petite idée...
J'ai parcouru les posts concernant le concours de novembre, et il n'est pas dit que je ne me risquerai pas à l'exercice...
J'ai peut-être même une petite idée...
Re: Erreur sur la personne
C'est le premier texte que je lis de toi ^_-
J'ai mis un peu de temps à me mettre dedans, disons que le fait de ne pas visualiser les lieux tout de suite ne m'a pas aidé, c'est dommage, même si c'est ton récit qui veut ça. Par contre après ça va mieux, et j'ai pu me croire un instant dans le passage d'un des films de cinglés qu'on voit à la pelle ces dernières années. Moi j'aime bien, puis la fin reste ouverte (même si on imagine bien ce qui va finir par arriver, lol), j'aime ce genre de fin justement. Bizarrement ça me rappelle sous certains aspect : Misery (pour la folle) et Jessie (pour le côté prisonnier). Ce qui est marrant c'est qu'on ne sait même pas pourquoi elle en a après lui, mdr (bon apparemment elle s'est trompée de personne ha ha ha).
J'ai noté quand même deux trucs. D'ordinaire je ne fais pas trop attention, mais vu que je m'en rappelle je les note :
J'ai pas aimé par exemple : aux nauséabonds effluves. Pour moi aux effluves nauséabonds sonnait mieux, non ?
Une petite répétition gênante : il ne pu que constater que toute trace
Voilà Sandra, à bientôt ^_-
J'ai mis un peu de temps à me mettre dedans, disons que le fait de ne pas visualiser les lieux tout de suite ne m'a pas aidé, c'est dommage, même si c'est ton récit qui veut ça. Par contre après ça va mieux, et j'ai pu me croire un instant dans le passage d'un des films de cinglés qu'on voit à la pelle ces dernières années. Moi j'aime bien, puis la fin reste ouverte (même si on imagine bien ce qui va finir par arriver, lol), j'aime ce genre de fin justement. Bizarrement ça me rappelle sous certains aspect : Misery (pour la folle) et Jessie (pour le côté prisonnier). Ce qui est marrant c'est qu'on ne sait même pas pourquoi elle en a après lui, mdr (bon apparemment elle s'est trompée de personne ha ha ha).
J'ai noté quand même deux trucs. D'ordinaire je ne fais pas trop attention, mais vu que je m'en rappelle je les note :
J'ai pas aimé par exemple : aux nauséabonds effluves. Pour moi aux effluves nauséabonds sonnait mieux, non ?
Une petite répétition gênante : il ne pu que constater que toute trace
Voilà Sandra, à bientôt ^_-
Re: Erreur sur la personne
Merci Lestat, King est en effet une de mes (seules) références en matière de SF.
Pour tes remarques, j'en prends note !
Pour tes remarques, j'en prends note !
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