ALEXANDRIE

Bonjour, je voulais vous présentez un conte que j'ai écrit, sous une forme de poésie et plus encore sous la forme d'une prière.
Et écrire une prière est très difficile, c'est le plus dur dans la littérature car il faut l'écrire qu'avec son cœur et n'être qu'à l'écoute de son cœur en faisant abstraction de tout le reste pour que son message résonne le plus juste et le plus pur qui soit mais long sera la chemin car imparfait, il reste.

Une histoire qui résonne, qui vibre dans mes cellules, qui s’échappe comme un verset dont le sens est un message pour mon amour à mon cœur et mon cœur à mon âme et ces notes en sont témoins. Témoins d’un amour, infini, celui qui jamais ne pourra trouver le repos ou la paix, celui qui jamais ne pourra se dire ou se taire. Mais quoi de plus beau que de briller pour la Femme que l'on aime. Quitte à remonter le temps pour revenir mille fois plus brillant que cette merveille du passé : le Phare d’Alexandrie.

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Autrefois, tu brillais tellement,

Autrefois, j'étais à ses pieds.

Autrefois, près du grand Phare.

Je récitais ces notes déroulées

Pour que tu les entendes,

Pour que le vent les porte à ton âme,

Pour que jamais tu n’en perdes le chant,

Celui de l’amour pour ton âme,

Je les récitais comme une prière,

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Tous les matins alors que le soleil se levait

J’en récitais ces notes.

Dont l'ordre est précieux,

Pour que jamais tu n’oublies.

Dont le sens est précieux

Pour que jamais tu ne sois triste.

Dont le message est précieux,

Pour que jamais tu ne pleures.

Plus de mille ans pratiquer,

Et dans cette vie, je te trouve,

Pour te souhaiter de toujours croire.

Plus de mille vies à prier,

Et dans cette vie, je te trouve,

Pour te souhaiter de toujours aimer.

Plus de mille ans à espérer,

Et dans cette vie, je te trouve,

Pour te souhaiter de toujours vivre.

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Tous les jours alors que le soleil brillait

J'en récitais ces notes.

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Tous les soirs alors que le soleil se couchait

J’en récitais ces notes,

Plus de mille ans ont passé,

Plus de mille de vies à prier,

Plus de mille ans à chercher.

Et dans celle-ci, je te trouve,

Et dans celle-ci, tu me trouves,

Et dans celle-ci, on se trouve.

Et Je te souhaite comme toujours une belle vie,

Et je te souhaite comme toujours de sourire,

Et je te souhaite comme toujours de vivre.

Mais dans celle-ci on s’est trouvé,

Mais je ne sais comment te le dire,

Mais je trouverai un moyen,

Je trouverai un moyen,

Le moyen pour te dire

À quel point je suis tien.

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Je vous conseille de lire cette note avec cette musique en tête :



Je l'aime à me passionner pour elle mais sans hypocrisie, je l'aime à me rendre fou mais sans hystérie, je l'aime si fort que j'aimerai parler à la Mort mais sans l'insulter. Simplement pour lui dire à quel point je l'aime, simplement pour lui dire à quel point je ne pourrai vivre sans elle, mais aussi pour lui dire de ne jamais l’emporter.

Je l’aime à un point que j'aimerai parler à l'Amour pour lui dire que je la veux, pour lui dire que je la désire, pour lui dire que je l'aimerai plus que n'importe qui mais aussi pour lui dire de lui envoyer un homme qui l'aime.

Je l’aime à tel point que j’aimerai parler à la Vie pour lui dire que la sienne est belle, pour lui dire que la sienne est merveille, pour lui dire que la sienne me fait briller comme une étoile mais aussi pour lui dire de toujours la protéger.