L'ANGOISSE
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L'ANGOISSE
L'ANGOISSE VIENT DE PARAITRE !
Un merveilleux concentré de bile figée, de rage froide, de sales tronches, d'humeurs maussades, d'anxiété sans raison valable.
Une joyeuse ration de crasse, de sueur séchée, de sécrétions périmées, d'aigreur, d'amertume, de muscles flasques, d'insomnies inutiles.
Un petit tour du côté de la face cachée de nos tronches, un peu de tourisme dans le négatif du monde.
Au menu :
Les enluminutes psychiatriquement incorrectes de Gaspard Pitiot, la mélancolie hargneuse de Pascal Batard, la déprime trop douce pour être honnête de Marlène Tissot, la litanie agoraphobe de Laura Vazquez, l'érotisme congelé d'Ectoplasm, un peu de pédagogie maniaco-dépressive avec Nicolas Albert G., de l'autofiction cauchemarrante avec Boris (ex Boris Crack), avec Laura Vazquez, encore, des photos et des dessins qui traitent le monde comme un otage à qui on enfile une cagoule sur la tête, de la SF masochiste contre son gré avec Soomiz, des visages et des âmes découpés comme du jambon avec Jean-Marc Renault, le concassage obsessionnel d'un futur qui a déjà eu lieu avec Mathias Richard, les cauchemars de Laure Chiaradia en gros plans charbonneux aussi faciles à oublier qu'une photo volée de scène de crime, Yannick Torlini qui solliloque en court-circuit et plante des clous dans nos neurones, Marc-Brunier Mestas qui baise avec la mort et en tire des gravures pour faire dormir les enfants des serial-killers, Christophe Siébert qui découvre tout ce qu'on peut faire avec un rasoir et Anne Van der Linden qui recrache la bible et le moyen-âge comme un malade mental vomit son haldol.
visuel et bon de commande ici :
http://revueangoisse.blogspot.fr/
Un merveilleux concentré de bile figée, de rage froide, de sales tronches, d'humeurs maussades, d'anxiété sans raison valable.
Une joyeuse ration de crasse, de sueur séchée, de sécrétions périmées, d'aigreur, d'amertume, de muscles flasques, d'insomnies inutiles.
Un petit tour du côté de la face cachée de nos tronches, un peu de tourisme dans le négatif du monde.
Au menu :
Les enluminutes psychiatriquement incorrectes de Gaspard Pitiot, la mélancolie hargneuse de Pascal Batard, la déprime trop douce pour être honnête de Marlène Tissot, la litanie agoraphobe de Laura Vazquez, l'érotisme congelé d'Ectoplasm, un peu de pédagogie maniaco-dépressive avec Nicolas Albert G., de l'autofiction cauchemarrante avec Boris (ex Boris Crack), avec Laura Vazquez, encore, des photos et des dessins qui traitent le monde comme un otage à qui on enfile une cagoule sur la tête, de la SF masochiste contre son gré avec Soomiz, des visages et des âmes découpés comme du jambon avec Jean-Marc Renault, le concassage obsessionnel d'un futur qui a déjà eu lieu avec Mathias Richard, les cauchemars de Laure Chiaradia en gros plans charbonneux aussi faciles à oublier qu'une photo volée de scène de crime, Yannick Torlini qui solliloque en court-circuit et plante des clous dans nos neurones, Marc-Brunier Mestas qui baise avec la mort et en tire des gravures pour faire dormir les enfants des serial-killers, Christophe Siébert qui découvre tout ce qu'on peut faire avec un rasoir et Anne Van der Linden qui recrache la bible et le moyen-âge comme un malade mental vomit son haldol.
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konsstrukt- Écritoirien émérite stagiaire
- Messages : 514
Date d'inscription : 02/11/2011
Age : 50
Re: L'ANGOISSE
L'Haldol est beaucoup moins utilisé maintenant en psychiatrie, depuis la nouvelle génération d'antipsychotiques comme le Risperdal!
Re: L'ANGOISSE
oui, mais vander, c'est la vieille école
konsstrukt- Écritoirien émérite stagiaire
- Messages : 514
Date d'inscription : 02/11/2011
Age : 50
l'angoisse numéro deux vient de paraître
L'ANGOISSE NUMERO DEUX VIENT DE PARAITRE
Bon, réfléchissez cinq minutes à la raison pour laquelle ce torchon s'appelle l'Angoisse et pas, je sais pas moi, la Tribune libre des joyeux lurons ?
Réfléchissez cinq minutes. Regardez la gueule des étudiants. Regardez la gueule de leurs parents, regardez la gueule des jeunes adultes, la gueule des vieux, la gueule des très vieux, regardez quelle gueule... tire le monde et réfléchissez cinq minutes.
On est cerné. On est cerné par le travail, l'hygiène, la sécurité, la santé et toutes ces saloperies. On est écrasé d'un côté par ce que les crétins appellent la culture et de l'autre par ce que les salauds appellent le divertissement. On est cerné par la passivité, par l'indifférence générale et par l'indignation, l'indignation ridicule, qui se présente comme un antidote à tout ça. Les cons d'un côtés, les cons de l'autre, et au milieu : une poignée de cons qui se prennent à la fois pour les derniers romantiques, les derniers des mohicans et les derniers cow-boy. Autant dire que dans cette nuit épaisse et médiocre qui nous entoure, la cohérence nous éclaire comme un phare qui aurait oublié de payer EDF.
Bande-Annonce et bon de commande ici :
http://www.revueangoisse.blogspot.fr/
Bon, réfléchissez cinq minutes à la raison pour laquelle ce torchon s'appelle l'Angoisse et pas, je sais pas moi, la Tribune libre des joyeux lurons ?
Réfléchissez cinq minutes. Regardez la gueule des étudiants. Regardez la gueule de leurs parents, regardez la gueule des jeunes adultes, la gueule des vieux, la gueule des très vieux, regardez quelle gueule... tire le monde et réfléchissez cinq minutes.
On est cerné. On est cerné par le travail, l'hygiène, la sécurité, la santé et toutes ces saloperies. On est écrasé d'un côté par ce que les crétins appellent la culture et de l'autre par ce que les salauds appellent le divertissement. On est cerné par la passivité, par l'indifférence générale et par l'indignation, l'indignation ridicule, qui se présente comme un antidote à tout ça. Les cons d'un côtés, les cons de l'autre, et au milieu : une poignée de cons qui se prennent à la fois pour les derniers romantiques, les derniers des mohicans et les derniers cow-boy. Autant dire que dans cette nuit épaisse et médiocre qui nous entoure, la cohérence nous éclaire comme un phare qui aurait oublié de payer EDF.
Bande-Annonce et bon de commande ici :
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konsstrukt- Écritoirien émérite stagiaire
- Messages : 514
Date d'inscription : 02/11/2011
Age : 50
l'angoisse numéro deux vient de paraître
TIRAGE DU NUMERO DEUX DE L'ANGOISSE TERMINE
les abonnés et ceux qui l'ont déjà commandé vont le recevoir dans les jours qui viennent.
pour les autres :
http://www.revueangoisse.blogspot.com
format A5, 76 pages
18 auteurs
5 euros
toute cette histoire est limitée à cent exemplaires, alors le mieux c'est quand même de pas attendre cent sept ans
les abonnés et ceux qui l'ont déjà commandé vont le recevoir dans les jours qui viennent.
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konsstrukt- Écritoirien émérite stagiaire
- Messages : 514
Date d'inscription : 02/11/2011
Age : 50
l'angoisse numéro deux vient de paraître
bon, j'espère que tout le monde a fini par recevoir sa dose d'angoisse.
merci aux auteurs, aux abonnés, aux acheteurs, pour leur patience, leur
talent et leur soutien, dans l'ordre qu'il leur plaira.
et (pute, pute), j'en ai encore une dizaine sur les bras, alors à vos bons de commande.
pour ceux qui hésitent encore, bande-annonce ici : http://www.revueangoisse.blogspot.com/
l'angoisse numéro 2, c'est 18 auteurs, 76 pages, 5 euros, des heures de plaisir malade.
merci aux auteurs, aux abonnés, aux acheteurs, pour leur patience, leur
talent et leur soutien, dans l'ordre qu'il leur plaira.
et (pute, pute), j'en ai encore une dizaine sur les bras, alors à vos bons de commande.
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l'angoisse numéro 2, c'est 18 auteurs, 76 pages, 5 euros, des heures de plaisir malade.
konsstrukt- Écritoirien émérite stagiaire
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Date d'inscription : 02/11/2011
Age : 50
l'angoisse numéro 3
L'ANGOISSE NUMERO 3 PARAITRA LE 20 OCTOBRE
BON DE COMMANDE ICI :
http://www.revueangoisse.blogspot.com
BON DE COMMANDE ICI :
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konsstrukt- Écritoirien émérite stagiaire
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Date d'inscription : 02/11/2011
Age : 50
l'angoisse numéro 3
« L'Ordre du Droit n'est pas bon, il est transitoire et en contradiction avec lui-même. Autrement dit le Mal domine historiquement. La domination du Mal est sociale et politique. Le pouvoir social et politique est exercé par des salauds. Plus précisément, des capitalistes sans scrupules, alliés ou identiques à des gangsters groupés en organisation, ont à leur solde les politiciens, journalistes, et autres idéologues, ainsi que la justice et la police, et des hommes de main. Ceci sur tout le territoire, où ces gens, divisés en clans, luttent entre eux par tous les moyens pour s'emparer des marchés et des profits. »
Manchette
« J'ai été très heureux dans les hôpitaux psychiatriques parce qu’à l’époque le fait de vivre dans un monde hors société était un tranquillisant suprême. Et j’ai pu constater que même les malades commençaient à être malheureux lorsqu’on leur annonçait qu’ils allaient pouvoir sortir. La lourdeur d’une institution très hiérarchisée favorisait à tous les niveaux une sorte de délicieuse démission. »
Anonyme
Bon, L'ANGOISSE, ça se situe un peu entre ces deux pôles-ci. Mais ça, quand même, on le savait déjà. Tout comme on sait, tout comme on a bien compris, que les règles, les systèmes, les structures, sont des moyens commodes de simplifier la vie, mais aussi que participe à la même débilitation la transgression tous azimuts, et que la seule chance de vivre comme un homme (c'est à dire ni comme un animal stupide ni comme un animal servile), c'est d'éplucher chaque règle, chaque convention, chaque structure, et de la juger en son âme et conscience. Oui, on le sait, tout ça. Trouve-t-on dans L'ANGOISSE un mode d'emploi pour pratiquer ce genre d'équilibrisme voué à la chute ? Hé ! Non. Tout au plus avons-nous l'ambition de créer dans vos têtes les conditions d'existence d'une telle réflexion. Nous sommes une ambiance, nous sommes la musique d'ascenseur de vos sautes d'humeur.
Mais vous, qui êtes-vous, au fait ? Il faudrait peut-être se poser la question des lecteurs. Il est temps. Vous êtes une centaine, peut-être un peu plus. Une poignée, quoi. Comment vous définiriez-vous ? Comment, moi, est-ce que je vous définirais ? Il y a quelques caractéristiques qui me viennent à l'esprit. Négatives pour la plupart. Je veux dire par là qu'elles aident à savoir ce que vous n'êtes pas. C'est déjà ça.
Ceux qui trouvent que payer 5 euros un fanzine qui propose le travail d'une vingtaine d'auteurs, c'est trop cher : poubelle.
Ceux qui trouvent que le papier blanc photocopié, c'est moche : poubelle.
Ceux qui trouvent que les thématiques abordées sont puériles et manquent de profondeur : poubelle.
ceux qui sont gênés par l'absence d'édito, de sommaire, de numérotation des pages : poubelle.
Ceux qui pensent que l'expression des pulsions négatives est une forme de complaisance : poubelle.
On y voit plus clair.
A part ça : Philippe Djian n'est pas mort et va avoir le prix de Flore, Christine Angot n'est pas morte et a refusé celui de Sade, et la France continue de se passionner pour des trucs aussi intéressants que la distinction subtile entre le fascisme en littérature, la littérature fasciste et l’écriture fascisante, et s'il faut l'être, et s'il ne faut pas l'être, et si ceci ou cela, sans à aucun moment se rendre compte que se poser ces questions débiles est aussi crucial que de se demander, le soir du premier concert des Sex Pistols dans leur bar à la con, s'il vaut mieux écouter les Beatles ou les Stones, et ne me faites pas dire ce que je n'ai pas dit, s'il y a un groupe qui me pète autant les couilles que les Beatles et les Stones, c'est bien les Sex Pistols.
Et à part ça (encore), du côté de la littérature vivante, parfois immature, parfois dominée par un sentiment d'urgence qui peut la faire passer pour bâclée, parfois sincère mais un peu fragile, rarement exempte de défauts, mais, comme je le disais, VIVANTE, et donc passionnante à regarder grandir, pousser, tituber, boiter à l'occasion, se casser la gueule éventuellement, mais des fois galoper droit devant tout le monde, des choses intéressantes se produisent. L'ANGOISSE en fait partie. Pour 5 euros vous avez un exemple de ce qui existe ici et maintenant en matière de refus des sentiers battus, de refus de la bouillasse, de refus d'une cuillère (pleine de merde) pour faire plaisir à maman, et une dernière pour faire plaisir à papa ; pour 5 euros, vous avez un exemple des propositions que font des gens encore en vie pour servir une création elle aussi encore en vie et à destination d'un public dont on a l'orgueil de croire qu'il est un peu moins mort que la moyenne.
L'ANGOISSE, ce mois-ci, c'est PASCAL BATARD, BISSECTA, ALEXANDRA BITOUZET, MARC BRUNIER-MESTAS, LOUIS CADIAS, JACQUES CAUDA, LAURE CHIARADIA, CLOPORTE, MARIANNE DESROZIERS, CENDRES LAVY, PERRINE LE QUERREC, LILAS, DENYS NEUMANN, VINCENT PONS, THIERRY RADIERE, JEAN-MARC RENAULT, MATHIAS RICHARD, CHRISTOPHE SIEBERT, EMMANUEL STEINER, MARLENE TISSOT, LAURA VAZQUEZ, THOMAS VINAU.
Pour télécharger le bon de commande :
http://www.revueangoisse.blogspot.com
Manchette
« J'ai été très heureux dans les hôpitaux psychiatriques parce qu’à l’époque le fait de vivre dans un monde hors société était un tranquillisant suprême. Et j’ai pu constater que même les malades commençaient à être malheureux lorsqu’on leur annonçait qu’ils allaient pouvoir sortir. La lourdeur d’une institution très hiérarchisée favorisait à tous les niveaux une sorte de délicieuse démission. »
Anonyme
Bon, L'ANGOISSE, ça se situe un peu entre ces deux pôles-ci. Mais ça, quand même, on le savait déjà. Tout comme on sait, tout comme on a bien compris, que les règles, les systèmes, les structures, sont des moyens commodes de simplifier la vie, mais aussi que participe à la même débilitation la transgression tous azimuts, et que la seule chance de vivre comme un homme (c'est à dire ni comme un animal stupide ni comme un animal servile), c'est d'éplucher chaque règle, chaque convention, chaque structure, et de la juger en son âme et conscience. Oui, on le sait, tout ça. Trouve-t-on dans L'ANGOISSE un mode d'emploi pour pratiquer ce genre d'équilibrisme voué à la chute ? Hé ! Non. Tout au plus avons-nous l'ambition de créer dans vos têtes les conditions d'existence d'une telle réflexion. Nous sommes une ambiance, nous sommes la musique d'ascenseur de vos sautes d'humeur.
Mais vous, qui êtes-vous, au fait ? Il faudrait peut-être se poser la question des lecteurs. Il est temps. Vous êtes une centaine, peut-être un peu plus. Une poignée, quoi. Comment vous définiriez-vous ? Comment, moi, est-ce que je vous définirais ? Il y a quelques caractéristiques qui me viennent à l'esprit. Négatives pour la plupart. Je veux dire par là qu'elles aident à savoir ce que vous n'êtes pas. C'est déjà ça.
Ceux qui trouvent que payer 5 euros un fanzine qui propose le travail d'une vingtaine d'auteurs, c'est trop cher : poubelle.
Ceux qui trouvent que le papier blanc photocopié, c'est moche : poubelle.
Ceux qui trouvent que les thématiques abordées sont puériles et manquent de profondeur : poubelle.
ceux qui sont gênés par l'absence d'édito, de sommaire, de numérotation des pages : poubelle.
Ceux qui pensent que l'expression des pulsions négatives est une forme de complaisance : poubelle.
On y voit plus clair.
A part ça : Philippe Djian n'est pas mort et va avoir le prix de Flore, Christine Angot n'est pas morte et a refusé celui de Sade, et la France continue de se passionner pour des trucs aussi intéressants que la distinction subtile entre le fascisme en littérature, la littérature fasciste et l’écriture fascisante, et s'il faut l'être, et s'il ne faut pas l'être, et si ceci ou cela, sans à aucun moment se rendre compte que se poser ces questions débiles est aussi crucial que de se demander, le soir du premier concert des Sex Pistols dans leur bar à la con, s'il vaut mieux écouter les Beatles ou les Stones, et ne me faites pas dire ce que je n'ai pas dit, s'il y a un groupe qui me pète autant les couilles que les Beatles et les Stones, c'est bien les Sex Pistols.
Et à part ça (encore), du côté de la littérature vivante, parfois immature, parfois dominée par un sentiment d'urgence qui peut la faire passer pour bâclée, parfois sincère mais un peu fragile, rarement exempte de défauts, mais, comme je le disais, VIVANTE, et donc passionnante à regarder grandir, pousser, tituber, boiter à l'occasion, se casser la gueule éventuellement, mais des fois galoper droit devant tout le monde, des choses intéressantes se produisent. L'ANGOISSE en fait partie. Pour 5 euros vous avez un exemple de ce qui existe ici et maintenant en matière de refus des sentiers battus, de refus de la bouillasse, de refus d'une cuillère (pleine de merde) pour faire plaisir à maman, et une dernière pour faire plaisir à papa ; pour 5 euros, vous avez un exemple des propositions que font des gens encore en vie pour servir une création elle aussi encore en vie et à destination d'un public dont on a l'orgueil de croire qu'il est un peu moins mort que la moyenne.
L'ANGOISSE, ce mois-ci, c'est PASCAL BATARD, BISSECTA, ALEXANDRA BITOUZET, MARC BRUNIER-MESTAS, LOUIS CADIAS, JACQUES CAUDA, LAURE CHIARADIA, CLOPORTE, MARIANNE DESROZIERS, CENDRES LAVY, PERRINE LE QUERREC, LILAS, DENYS NEUMANN, VINCENT PONS, THIERRY RADIERE, JEAN-MARC RENAULT, MATHIAS RICHARD, CHRISTOPHE SIEBERT, EMMANUEL STEINER, MARLENE TISSOT, LAURA VAZQUEZ, THOMAS VINAU.
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konsstrukt- Écritoirien émérite stagiaire
- Messages : 514
Date d'inscription : 02/11/2011
Age : 50
interruption momentanée de l'angoisse
LA RUPTURE DE L'ANGOISSE
l'angoisse, victime de son succès, est épuisée (elle aussi). je demande donc à ceux (auteurs, abonnés, etc.) qui n'ont pas encore reçu leurs exemplaires de pardonner ce retard qui, pour tous ceux qui ont participé à ce numéro, est plutôt une bonne nouvelle. je refais un tirage mardi prochain (je n'ai pas le temps avant) et envoie dans la foulée les numéros que je vous dois.
pour les autres, il est encore temps de commander, soit en m'envoyant le bon de commande qu'on peut trouver ici : http://www.teaserangoisse.blogspot.com, soit en directement via paypal, sur cette page : http://supermarchekonsstrukt.blogspot.fr/
merci à tous.
l'angoisse, victime de son succès, est épuisée (elle aussi). je demande donc à ceux (auteurs, abonnés, etc.) qui n'ont pas encore reçu leurs exemplaires de pardonner ce retard qui, pour tous ceux qui ont participé à ce numéro, est plutôt une bonne nouvelle. je refais un tirage mardi prochain (je n'ai pas le temps avant) et envoie dans la foulée les numéros que je vous dois.
pour les autres, il est encore temps de commander, soit en m'envoyant le bon de commande qu'on peut trouver ici : http://www.teaserangoisse.blogspot.com, soit en directement via paypal, sur cette page : http://supermarchekonsstrukt.blogspot.fr/
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konsstrukt- Écritoirien émérite stagiaire
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Age : 50
l'angoisse numéro 4 (+ konsstrukthon)
Salut à tous,
L'Angoisse numéro 4 sort le dernier jour de l'exposition konsstrukt à la galerie Le Mat à Montpellier, c'est à dire le 22 mars. A cette occasion il y aura une lecture, un concert de Jessica 93 et une petite fête, mais j'aurais le temps de vous en reparler.
Je viens de commencer le dépouillement des propositions reçues ces derniers mois, ça va dépoter, je vous dis que ça. Les habitués de L'Angoisse sont en très grande forme, les nouveaux se sont surpassés, le numéro 4 sera foutrement réussi je crois bien.
Si vous voulez l'acheter à l'avance ou vous abonner, c'est comme d'habitude :
- Bon de commande à recopier ou à télécharger ici (paiement par chèque) : http://www.revueangoisse.blogspot.com
- Paypal : http://www.supermarchekonsstrukt.blogspot.com
Et si vous voulez en prendre plusieurs numéros en distribution, voilà comment ça fonctionne : il faut acheter un lot de 5, 10 ou 15 numéros qui vous coûteront 19, 38 ou 57 Euros (frais de port compris), ce qui ramène le prix de chaque exemplaire à 3,50 Euros au lieu de 5, permettant donc un bénéfice de 1,50 Euro par numéro.
Pour prendre un lot en payant par chèque, c'est sur le même bon de commande : http://www.revueangoisse.blogspot.com
Pour prendre un lot via Paypal, c'est par ici : http://www.supermarchekonsstrukt.blogspot.com
N'oubliez pas que L'Angoisse n'existe que grâce au fric versé par les lecteurs, les abonnés et les distributeurs, et que personne d'autre (ni pub, ni soumise, ni subvention, ni mon inexistante fortune personnelle) ne finance le machin. Chaque numéro voit son existence conditionnée par le succès du numéro précédent et par la tenacité et la fidélité de ses lecteurs. Merci d'avance, donc.
Et si vous êtes sages et que je me bouge un peu le cul, d'ici une grosse semaine vous pourrez découvrir le sommaire de ce beau numéro 4 et peut-être aussi la couv.
*****
Par ailleurs, sur un autre blog (http://konsstrukthon.blogspot.fr/), j'ai posté le texte suivant :
Bonjour à tous.
Alors, a priori, si vous lisez ce truc, c'est que vous comptez parmi mes fidèles lecteurs.
Hé bien, fidèles lecteurs, financièrement parlant, je suis un peu dans la merde. Factures impayées, dettes diverses, vous connaissez peut-être la musique. Je viens de demander une aide au SGDL, qui m'a été refusée, j'ai pas mal de bouquins qui sortent ces temps-ci mais ça ne rapporte pas assez d'argent, je fais donc appel à votre solidarité et à l'intérêt que vous portez à mon travail.
Voici les projets qui sont dans les tuyaux :
- Un important travail de réécriture sur mon roman Holocauste (c'est à dire l'ajout d'environ 50% de texte) en vue d'une sortie en juin chez Numériklivres, suivie d'une tournée de lectures.
- La sortie en novembre chez Gros textes de ma Poésie portable.
- La poursuite de l'écriture d'Une demi-vie, en vue de le publier, en six épisodes, chez Numériklivres
- La sortie, en 2014 chez Numériklivres, puis en 2016, au format papier, chez Vermifed, de La maison, les morts.
- Un projet, toujours avec Numériklivres, de roman porno.
- La sortie de L'Angoisse 4 le 22 mars, de L'Angoisse 5 en juillet, de L'Angoisse 6 en novembre ou décembre.
- A paraître dieu sait quand et dieu sait où, un projet de recueil de poésie qui mixe, à la sauce mondo, voyeurisme, faits-divers et interrogation sur la place concrête de dieu dans le monde.
Bref, donc, vous voyez, je chôme pas.
De votre côté, ce que vous pouvez faire, outre continuer d'acheter mes bouquins (merci), c'est me faire un don. Dans la mesure de vos possibilités, et pour me permettre de continuer à bosser dans des conditions de confort minimum. Si j'obtiens, en tout, mille ou deux mille Euros, je suis totalement tiré de la mouscaille.
Voilà, voilà.
Merci à tous, d'avance.
Je ferai régulièrement des points sur l'avancée du konsstrukthon.
*****
Donc, si vous vous sentez l'envie de m'aider, c'est par ici que ça se passe : http://konsstrukthon.blogspot.fr/
L'Angoisse numéro 4 sort le dernier jour de l'exposition konsstrukt à la galerie Le Mat à Montpellier, c'est à dire le 22 mars. A cette occasion il y aura une lecture, un concert de Jessica 93 et une petite fête, mais j'aurais le temps de vous en reparler.
Je viens de commencer le dépouillement des propositions reçues ces derniers mois, ça va dépoter, je vous dis que ça. Les habitués de L'Angoisse sont en très grande forme, les nouveaux se sont surpassés, le numéro 4 sera foutrement réussi je crois bien.
Si vous voulez l'acheter à l'avance ou vous abonner, c'est comme d'habitude :
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Et si vous voulez en prendre plusieurs numéros en distribution, voilà comment ça fonctionne : il faut acheter un lot de 5, 10 ou 15 numéros qui vous coûteront 19, 38 ou 57 Euros (frais de port compris), ce qui ramène le prix de chaque exemplaire à 3,50 Euros au lieu de 5, permettant donc un bénéfice de 1,50 Euro par numéro.
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Et si vous êtes sages et que je me bouge un peu le cul, d'ici une grosse semaine vous pourrez découvrir le sommaire de ce beau numéro 4 et peut-être aussi la couv.
*****
Par ailleurs, sur un autre blog (http://konsstrukthon.blogspot.fr/), j'ai posté le texte suivant :
Bonjour à tous.
Alors, a priori, si vous lisez ce truc, c'est que vous comptez parmi mes fidèles lecteurs.
Hé bien, fidèles lecteurs, financièrement parlant, je suis un peu dans la merde. Factures impayées, dettes diverses, vous connaissez peut-être la musique. Je viens de demander une aide au SGDL, qui m'a été refusée, j'ai pas mal de bouquins qui sortent ces temps-ci mais ça ne rapporte pas assez d'argent, je fais donc appel à votre solidarité et à l'intérêt que vous portez à mon travail.
Voici les projets qui sont dans les tuyaux :
- Un important travail de réécriture sur mon roman Holocauste (c'est à dire l'ajout d'environ 50% de texte) en vue d'une sortie en juin chez Numériklivres, suivie d'une tournée de lectures.
- La sortie en novembre chez Gros textes de ma Poésie portable.
- La poursuite de l'écriture d'Une demi-vie, en vue de le publier, en six épisodes, chez Numériklivres
- La sortie, en 2014 chez Numériklivres, puis en 2016, au format papier, chez Vermifed, de La maison, les morts.
- Un projet, toujours avec Numériklivres, de roman porno.
- La sortie de L'Angoisse 4 le 22 mars, de L'Angoisse 5 en juillet, de L'Angoisse 6 en novembre ou décembre.
- A paraître dieu sait quand et dieu sait où, un projet de recueil de poésie qui mixe, à la sauce mondo, voyeurisme, faits-divers et interrogation sur la place concrête de dieu dans le monde.
Bref, donc, vous voyez, je chôme pas.
De votre côté, ce que vous pouvez faire, outre continuer d'acheter mes bouquins (merci), c'est me faire un don. Dans la mesure de vos possibilités, et pour me permettre de continuer à bosser dans des conditions de confort minimum. Si j'obtiens, en tout, mille ou deux mille Euros, je suis totalement tiré de la mouscaille.
Voilà, voilà.
Merci à tous, d'avance.
Je ferai régulièrement des points sur l'avancée du konsstrukthon.
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Donc, si vous vous sentez l'envie de m'aider, c'est par ici que ça se passe : http://konsstrukthon.blogspot.fr/
konsstrukt- Écritoirien émérite stagiaire
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Age : 50
l'angoisse numéro 4
L'ANGOISSE N°4 SORT LE 22 MARS
76 pages, 22 artistes, 5 euros.
voici le sommaire de ce beau numéro :
couverture : laure chiaradia
gaspard pitiot - 3 dessins
armistice - radio tarpin edit 2
paul sunderland - momo laisse faire
mattt konture + benjamin monti - 2 dessins à 4 mains
marianne desroziers - rose bonbon et gris anthracite
thierry radière - rumeurs et accidents
louis cadias - 3 dessins
mathias richard - amatemp 13
al denton - estella blain aura sa revanche sur paris
archilux - 3 dessins
marlène tissot - 2 textes
frank frame - restons entre gens distingués (extraits)
lilas - 1 dessin
cloporte - 3 dessins
camille lemical - 5 textes
olivier g. milo - l'anticylone des açores
pascal batard - 3 textes
nils bertho - 3 dessins
arnaud dubergier - patriolisme : libre et égaux dans l'incestueuse fraternité
jacques cauda - triniter épisode 2
jacques cauda - 3 dessins
christophe siébert - tu es une pute
laure chiaradia - 3 dessins
christophe siébert - la place du mort
télécharger ou recopier le bon de commande (paiement par chèque) :
http://1.bp.blogspot.com/-02jRwmgCqGo/USvP9-2yGeI/AAAAAAAAAnI/ldkhgvHq5ZM/s1600/bon+de+commande.jpg
commander par paypal :
http://supermarchekonsstrukt.blogspot.fr/
VOIR LA COUVERTURE :
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76 pages, 22 artistes, 5 euros.
voici le sommaire de ce beau numéro :
couverture : laure chiaradia
gaspard pitiot - 3 dessins
armistice - radio tarpin edit 2
paul sunderland - momo laisse faire
mattt konture + benjamin monti - 2 dessins à 4 mains
marianne desroziers - rose bonbon et gris anthracite
thierry radière - rumeurs et accidents
louis cadias - 3 dessins
mathias richard - amatemp 13
al denton - estella blain aura sa revanche sur paris
archilux - 3 dessins
marlène tissot - 2 textes
frank frame - restons entre gens distingués (extraits)
lilas - 1 dessin
cloporte - 3 dessins
camille lemical - 5 textes
olivier g. milo - l'anticylone des açores
pascal batard - 3 textes
nils bertho - 3 dessins
arnaud dubergier - patriolisme : libre et égaux dans l'incestueuse fraternité
jacques cauda - triniter épisode 2
jacques cauda - 3 dessins
christophe siébert - tu es une pute
laure chiaradia - 3 dessins
christophe siébert - la place du mort
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konsstrukt- Écritoirien émérite stagiaire
- Messages : 514
Date d'inscription : 02/11/2011
Age : 50
l'angoisse 4
Vendredi 22 mars à la galerie le Mat à Montpellier, konsstrukt vous invite à venir voir une dernière fois la grosse grosse expo consacrée aux quinze ans du collectif (une centaine d'oeuvres, une quinzaine d'artistes) et à venir fêter la sortie du numéro 4 de la revue l'Angoisse.
Il y aura à boire, à manger, une lecture de Christophe Siébert (accompagné par Jessica 93) et un concert de Jessica 93.
Galerie le Mat : 3 rue Voltaire - Place Saint Roch
34000 Montpellier (Information : info@lematgalerie.com)
Début des festivités à 20 heures ; entrée libre.
CE MOIS-CI, AU SOMMAIRE DE L'ANGOISSE (76 pages format A5, 5 euros) :
Archilux
Armistice
Pascal Batard
Nils Bertho
Louis Cadias
Jacques Cauda
Laure Chiaradia
Cloporte
Al Denton
Marianne Desroziers
Arnaud Dubergier
Franck Frame
Mattt Konture + Benjamin Monti
Camille Lemical
Marc Brunier-Mestas
Olivier G. Milo
Gaspard Pitiot
Thierry Radière
Mathias Richard
Christophe Siébert
Paul Sunderland
Marlène Tissot
Venez nombreux !
http://www.lematgalerie.com/
http://www.revueangoisse.blogspot.fr/
http://supermarchekonsstrukt.blogspot.fr/
Il y aura à boire, à manger, une lecture de Christophe Siébert (accompagné par Jessica 93) et un concert de Jessica 93.
Galerie le Mat : 3 rue Voltaire - Place Saint Roch
34000 Montpellier (Information : info@lematgalerie.com)
Début des festivités à 20 heures ; entrée libre.
CE MOIS-CI, AU SOMMAIRE DE L'ANGOISSE (76 pages format A5, 5 euros) :
Archilux
Armistice
Pascal Batard
Nils Bertho
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Cloporte
Al Denton
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konsstrukt- Écritoirien émérite stagiaire
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Date d'inscription : 02/11/2011
Age : 50
l'angoisse 4
au sommaire de ce numéro :
Archilux
Armistice
Pascal Batard
Nils Bertho
... Louis Cadias
Jacques Cauda
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Cloporte
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konsstrukt- Écritoirien émérite stagiaire
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