Boulevard des Ormes
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L'Écritoire des Ombres :: CONCOURS DE L'ÉCRITOIRE DES OMBRES :: Archives des concours :: Concours N°12 : ATHEMATHIQUE
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Re: Boulevard des Ormes
Désolée de commencer mon commentaire par « désolée », ça te laisse deviner la suite…
Pour arracher le pansement rapidement, je n’ai pas vraiment accroché. Plus à cause de la forme que du fond, ceci dit : j’ai rapidement reconnu ton écriture (j’ai tout téléchargé mais je ne savais pas qui avait écrit quoi au moment de lire) à cause de fautes récurrentes qu’on retrouve sur la plupart de tes textes (tes soucis avec les accents circonflexes : côté/coté, tache/tâche, cru/crû, confusion futur/conditionnel sur la 1ère personne, et surtout, et qui m’éjecte systématiquement de ma lecture, cette manie d’inverser bien trop souvent le verbe et le sujet : dans un même paragraphe on trouve « ne lui avait-il », « s’en porterait-il », « s’en foutait-il », à la fin je ne vois plus que ça, ça alourdit tout). Quelques répétitions aussi, parfois même des groupes de mots (« fluides divers », par ex.). Autant le début avec la description d’introduction est superbe, nickel, bien travaillé, avec de la recherche dans le vocabulaire et beaucoup de poésie, autant ensuite ça paraît bâclé (sur la forme, je veux dire).
Bon, j’arrête de râler. Pour ce qui est de l’histoire, j’ai été un poil déçue car dès la mention du sandwich (vous mangez ça, avec le ça bien en italique), on comprend de quoi est composée la bouffe (la description et la remarque sur l’assaisonnement font immédiatement penser à Hannibal), donc à ce niveau-là pas de grosse surprise et ça évente la chute. La scène de torture fait le job, mais sans plus, je sentais bien plus de passion dans la description du parc au début que dans cette scène, pourtant centrale. Ah, et vers la fin, j’ai eu un peu de mal à savoir qui parlait, les deux persos se confondent.
En revanche, j’adore les petits clins d’œil à la musique, au Hibou, c’est le genre de trucs que j’aime dans tes textes, ça me les rend vivants. Et, enfin, j’apprécie cette association efficace des deux mecs : rien n’est tout noir ou tout blanc, parfois il faut un mal pour un bien. Leur relation n’est basée ni sur la confiance ni sur l’argent, mais uniquement sur un bénéfice réciproque. J’aime beaucoup cet équilibre qui profite au bien commun, c’est ce qui fait la force de ce texte, ça et le contraste entre la poésie et la quiétude du début au parc et l’histoire derrière.
Bref, les points forts sont très forts, il suffit juste de gommer les défauts formels et retravailler la scène de torture pour en faire un excellent texte !
Pour arracher le pansement rapidement, je n’ai pas vraiment accroché. Plus à cause de la forme que du fond, ceci dit : j’ai rapidement reconnu ton écriture (j’ai tout téléchargé mais je ne savais pas qui avait écrit quoi au moment de lire) à cause de fautes récurrentes qu’on retrouve sur la plupart de tes textes (tes soucis avec les accents circonflexes : côté/coté, tache/tâche, cru/crû, confusion futur/conditionnel sur la 1ère personne, et surtout, et qui m’éjecte systématiquement de ma lecture, cette manie d’inverser bien trop souvent le verbe et le sujet : dans un même paragraphe on trouve « ne lui avait-il », « s’en porterait-il », « s’en foutait-il », à la fin je ne vois plus que ça, ça alourdit tout). Quelques répétitions aussi, parfois même des groupes de mots (« fluides divers », par ex.). Autant le début avec la description d’introduction est superbe, nickel, bien travaillé, avec de la recherche dans le vocabulaire et beaucoup de poésie, autant ensuite ça paraît bâclé (sur la forme, je veux dire).
Bon, j’arrête de râler. Pour ce qui est de l’histoire, j’ai été un poil déçue car dès la mention du sandwich (vous mangez ça, avec le ça bien en italique), on comprend de quoi est composée la bouffe (la description et la remarque sur l’assaisonnement font immédiatement penser à Hannibal), donc à ce niveau-là pas de grosse surprise et ça évente la chute. La scène de torture fait le job, mais sans plus, je sentais bien plus de passion dans la description du parc au début que dans cette scène, pourtant centrale. Ah, et vers la fin, j’ai eu un peu de mal à savoir qui parlait, les deux persos se confondent.
En revanche, j’adore les petits clins d’œil à la musique, au Hibou, c’est le genre de trucs que j’aime dans tes textes, ça me les rend vivants. Et, enfin, j’apprécie cette association efficace des deux mecs : rien n’est tout noir ou tout blanc, parfois il faut un mal pour un bien. Leur relation n’est basée ni sur la confiance ni sur l’argent, mais uniquement sur un bénéfice réciproque. J’aime beaucoup cet équilibre qui profite au bien commun, c’est ce qui fait la force de ce texte, ça et le contraste entre la poésie et la quiétude du début au parc et l’histoire derrière.
Bref, les points forts sont très forts, il suffit juste de gommer les défauts formels et retravailler la scène de torture pour en faire un excellent texte !
Quiconque lit la présente ligne s’engage à chanter Petit Papa Noël à l'envers chaque soir à minuit jusqu'au 25 décembre.
Raven- — — Bouteuse de trains — — Disciple de la présente ligne
- Messages : 5782
Date d'inscription : 04/05/2015
Age : 47
Localisation : au fond à droite
Re: Boulevard des Ormes
Pas emballée. Le texte est facile à suivre, on comprend bien tout, mais ça manque trop d'originalité pour m'emporter. Pourtant, le début est superbe, tu excelles dans les scènes de descriptions de paysage (et j'ai bien aimé le clin d’œil au hibou). Le rendez-vous entre les deux hommes est très bien aussi, mais là, j'ai senti le truc déjà-vu des justiciers qui débarrassent la ville des vilains méchants. Du coup, je me suis vite désintéressée de l'histoire. Je m'attendais à la scène gore, et celle-ci m'a semblé un poil terne (bon, je suis peut-être gourmande à ce niveau). Ce qui est dommage, c'est que cette impression de déjà-vu m'a empêchée d'apprécier la fin et la surprise du cannibalisme que je n'avais pas vues venir. Et puis, même si je ne m'attendais pas à ce cannibalisme, je m'attendais à un côté pas net du commissaire.
Bref, ce texte n'a pas réussi à m'étonner ou m'intéresser (attention, il se lit facile hein, juste qu'il lui manque deux trois trucs ou une louche d'originalité en plus).
Bref, ce texte n'a pas réussi à m'étonner ou m'intéresser (attention, il se lit facile hein, juste qu'il lui manque deux trois trucs ou une louche d'originalité en plus).
Inventrice du "rocueil", le mixte entre le roman et le recueil.
"J'ai lu. Je sais même pas quoi dire tellement je suis atterrée.
Et le pire c'est que j'ai aimé te lire." Raven sur "Yin et yang"
"Merci de m'avoir donné envie de vomir !" Nao76 sur "Yin et yang"
"Ton texte m'avait fait penser à un film allemand atroce que j'avais vu plus jeune : Nekromantik !" Polo sur "Trafic de cadavres"
Re: Boulevard des Ormes
Je reconnais des qualités à ce texte, mais j’ai fort peu adhéré à l’histoire.
- Spoiler:
- Le côté le plus original est cette rencontre entre un tueur et tortionnaire et un commissaire cannibale, deux esthètes chacun à sa manière, l’un dans la torture, l’autre dans le culinaire. Le texte joue beaucoup sur le contraste entre les comportements hors norme des deux personnages et leur apparence de quidams ordinaires en particulier dans leurs dialogues très « pépères »
Le début est réussi, avec la description de ce quartier tranquille et charmant, là aussi en contraste avec la suite.
Par contre la très longue – trop pour moi – scène de torture, manque d’originalité tout simplement parce que les tortionnaires appliqués cyniques et ironiques on en a vu beaucoup et les variations apportées ici ne suffisent pas à faire la différence. Quelques traits d’humour noir ou décalé font quand même sourire, par exemple quand le notaire pédophile se voit comme un « honnête homme » et charitable en plus. Le cannibalisme du flic parait gratuit du fait qu’on n’a aucun aperçu de son origine.
Le style est fouillé, vigoureux, précis ( en particulier dans la scène de torture) et s’orne de métaphores recherchées et bien trouvées (par exemple : « L'associé étira les lèvres – furtif reflet sur une dalle de marbre »
Dans ce style peaufiné les, heureusement rares, coquilles font d’autant plus tache : « tâche », justement et aussi ce doublé : « ça te déranges pas si je te tutoies ».
Le fait que les personnages restent anonymes génère parfois des confusions. Par exemple quand le tueur arrive chez sa victime, on vient de quitter un « il » et on en retrouve un. On réalise rapidement qu’il ne s’agit pas du même, mais n’empêche, c’est gênant.
Donc je le répète malgré les qualités très positives de ce texte, je n’ai pas vraiment accroché
Tobermory- Écritoirien émasculé
- Messages : 397
Date d'inscription : 08/07/2015
Age : 72
Localisation : Montpellier
Re: Boulevard des Ormes
Je ne reviendrai pas sur les défauts formels déjà relevés par les commentateurs précédents.
L'introduction, très soignée, m'a semblé être en décalage avec le reste du texte, comme si elle avait été ajoutée a posteriori. De même, cette opposition entre le style raffiné du début et la crudité des dialogues m'a gêné ("Froid de pute"... )
La scène de torture n'est pas mauvaise mais aurait pu/dû être encore plus gratinée : n'étant pas fan de gore, je n'apprécie vraiment ce genre de délire que lorsqu'il est vraiment extrême (et/ou très original dans la forme).
La conclusion aurait gagné à être amenée de manière plus nuancée de manière à être plus impressionnante. Ton texte a un réel potentiel et pourrait être retravaillé de façon à générer un vrai malaise chez le lecteur : les thèmes abordés (justice, cannibalisme) s'y prêtent bien.
L'idéal serait d'aboutir à un récit encore plus dérangeant.
L'introduction, très soignée, m'a semblé être en décalage avec le reste du texte, comme si elle avait été ajoutée a posteriori. De même, cette opposition entre le style raffiné du début et la crudité des dialogues m'a gêné ("Froid de pute"... )
La scène de torture n'est pas mauvaise mais aurait pu/dû être encore plus gratinée : n'étant pas fan de gore, je n'apprécie vraiment ce genre de délire que lorsqu'il est vraiment extrême (et/ou très original dans la forme).
La conclusion aurait gagné à être amenée de manière plus nuancée de manière à être plus impressionnante. Ton texte a un réel potentiel et pourrait être retravaillé de façon à générer un vrai malaise chez le lecteur : les thèmes abordés (justice, cannibalisme) s'y prêtent bien.
L'idéal serait d'aboutir à un récit encore plus dérangeant.
Suis une ombre, toujours elle te fuira;
Essaie de la fuir, et elle te poursuivra.
Ben Jonson
Blahom- —Adorateur du (mauvais) genre— Chuchoteur dans les ténèbres
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Date d'inscription : 02/10/2013
Age : 56
Localisation : Sud-Est
Re: Boulevard des Ormes
Intrigue un peu classique (mais ce n'est pas rédhibitoire), avec toutefois une petite surprise à la fin, qui aurait pu être amenée d'une manière un peu plus percutante. La scène de torture manque de rythme et je pense que le problème principal de ta nouvelle réside dans le fait qu'on connait les enjeux dès le départ (le côté justicier, le fait que le type est un pédophile), ce qui fait que je n'ai pas vraiment réussi à m'intéresser à ce qu'il se passait. Le fait qu'il s'agisse d'un pédophile pourrait peut-être être dévoilé plus tard, pour qu'on continue à se demander ce qu'il se passe et pourquoi le type se retrouve dans cette situation. Sinon, ça se lit bien et malgré quelques petites fautes, c'est plutôt fluide ! Les dialogues entre les deux protagonistes principaux notamment.
Je questionne souvent ma santé mentale.
Des fois, elle me répond.
Amaranth- Book'trotteuse de l'extrême — Reflet dans un œil gore —
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Date d'inscription : 07/03/2012
Age : 32
Re: Boulevard des Ormes
Merci à tous pour vos lectures !
J'ai été un peu éloigné de l'ordi (et donc du forum) ces derniers temps, alors je ne vous répondrais pas à chacun points par points. Ceci dit, si je fais une synthèse grossière de vos ressentis et des faiblesses de ce texte, je suis à peu près d'accord : la scène (centrale) de torture n'est pas très originale ni assez hardcore pour susciter l'émotion et effectivement on peut facilement s'emmêler entre mes deux personnages principaux, car ils sont anonymes tous les deux. Pour le 2e point, je voulais bien le mettre en évidence car ces hommes-là sont souvent des messieurs tout-le-monde et cela ne changerait rien de savoir qu'ils soient des Pierre-Paul-Jacques-Vincent.
Se sont juste des visages perdus dans la foule qui ne demandent rien d'autre d'ailleurs que de s'y noyer pour continuer à faire ce qu'ils font. Mais à l'évidence, je devrais retravailler ce point, car certains se sont emmêlés les pinceaux entre les deux (et non, ce n'est pas le tortionnaire qui est cannibale, donc ! ).
Concernant la scène de torture, je ne peux que plaider coupable : bien que le thème s'y prêtait, je n'ai jamais été très à l'aise avec ce genre de sévices corporels et je pense que mon manque d'expérience en la matière est ici flagrant. Mon but à la base était uniquement d'écrire un texte à la croisée entre le trash et l'humour noir. Les hurlements et le rouge du sang versus le joli parc du début ; j'ai toujours apprécié ce genre de contrastes (et j'en suis gré d'ailleurs au Corbac d'avoir su relever les timides "nuances" dont j'ai voulu orner ce récit, notamment par cette idée d'une ville assez pourrie de l'intérieur pour que les flics soient obligés de s'associer aux pires sociopathes afin d'en sécuriser les rues... mais comme tu le disais, rien n'est tout blanc ou tout noir et finalement ils sont presque aussi flippants et dérangés l'un que l'autre).
Bref, un texte maladroit sur nombre de points, mais qui m'a permis aussi d'aller voir un peu plus loin que mon SFFF habituel. Et qui mériterait certainement un bon gros lifting (notamment pour la scène principale), cela va de soi - peut-être aux alentours de cet automne, si j'arrive à tenir mon "planning" d'écriture d'ici là...
Merci encore à tous les courageux ayant pris le temps de me lire et commenter !
J'ai été un peu éloigné de l'ordi (et donc du forum) ces derniers temps, alors je ne vous répondrais pas à chacun points par points. Ceci dit, si je fais une synthèse grossière de vos ressentis et des faiblesses de ce texte, je suis à peu près d'accord : la scène (centrale) de torture n'est pas très originale ni assez hardcore pour susciter l'émotion et effectivement on peut facilement s'emmêler entre mes deux personnages principaux, car ils sont anonymes tous les deux. Pour le 2e point, je voulais bien le mettre en évidence car ces hommes-là sont souvent des messieurs tout-le-monde et cela ne changerait rien de savoir qu'ils soient des Pierre-Paul-Jacques-Vincent.
Se sont juste des visages perdus dans la foule qui ne demandent rien d'autre d'ailleurs que de s'y noyer pour continuer à faire ce qu'ils font. Mais à l'évidence, je devrais retravailler ce point, car certains se sont emmêlés les pinceaux entre les deux (et non, ce n'est pas le tortionnaire qui est cannibale, donc ! ).
Concernant la scène de torture, je ne peux que plaider coupable : bien que le thème s'y prêtait, je n'ai jamais été très à l'aise avec ce genre de sévices corporels et je pense que mon manque d'expérience en la matière est ici flagrant. Mon but à la base était uniquement d'écrire un texte à la croisée entre le trash et l'humour noir. Les hurlements et le rouge du sang versus le joli parc du début ; j'ai toujours apprécié ce genre de contrastes (et j'en suis gré d'ailleurs au Corbac d'avoir su relever les timides "nuances" dont j'ai voulu orner ce récit, notamment par cette idée d'une ville assez pourrie de l'intérieur pour que les flics soient obligés de s'associer aux pires sociopathes afin d'en sécuriser les rues... mais comme tu le disais, rien n'est tout blanc ou tout noir et finalement ils sont presque aussi flippants et dérangés l'un que l'autre).
Bref, un texte maladroit sur nombre de points, mais qui m'a permis aussi d'aller voir un peu plus loin que mon SFFF habituel. Et qui mériterait certainement un bon gros lifting (notamment pour la scène principale), cela va de soi - peut-être aux alentours de cet automne, si j'arrive à tenir mon "planning" d'écriture d'ici là...
Merci encore à tous les courageux ayant pris le temps de me lire et commenter !
"En vivant comme en mourant, nous alimentons le feu."
Clive Barker, Sacrements.
Tak- Mélomane des Ondes Noires
Disciple des Livres de Sang - Messages : 6299
Date d'inscription : 01/12/2012
Age : 41
Localisation : Briançon, Hautes-Alpes
Re: Boulevard des Ormes
Salut Tak!
J'aime ton style, les phrases liées entre elles, la fluidité. Les accélérations et les pauses. C'est agréable à lire. Tu sais comment attraper ton lecteur et l’emmener où tu le souhaites. C'est sans doute le plus important en littérature, plus que le thème, plus que l'idée. Justement la torture est efficacement ignoble, pas super originale, mais ça n'empêche pas d'apprécier.
J'aime ton style, les phrases liées entre elles, la fluidité. Les accélérations et les pauses. C'est agréable à lire. Tu sais comment attraper ton lecteur et l’emmener où tu le souhaites. C'est sans doute le plus important en littérature, plus que le thème, plus que l'idée. Justement la torture est efficacement ignoble, pas super originale, mais ça n'empêche pas d'apprécier.
Malossep- Bourreau intérimaire
- Messages : 183
Date d'inscription : 28/03/2017
Age : 38
Re: Boulevard des Ormes
Hello, Malossep !
Contrairement à beaucoup qui se sont arrêtés sur les dysfonctionnements et faiblesses du récit (qui sont partie intégrante de celui-ci toutefois, je ne cherche pas à m'en dédouaner de quelque sorte), tu axes plus ta critique sur le style, qui te semble plaisant, et ça fait sacrément plaisir à lire. Oui, après toutes ces années à bosser, peut-être commence-je à savoir comment écrire un texte - ou du moins à le mettre en forme. Me reste plus maintenant qu'à travailler sur les différents axes suggérés pour en faire quelque chose d'un peu plus que "sympa".
C'est mon gros problème depuis quelques temps : maintenant que la forme commence à être au point, il faut que je travaille davantage le fond et faire en sorte que l'on prenne plaisir à lire ma prose autant pour le propos que pour la plume. Et mine de rien, ben ça reste un sacré challenge !
Merci en tous cas pour ta lecture et ton commentaire qui me laisse à penser que tout n'est (peut-être) pas à jeter dans ce texte...
Contrairement à beaucoup qui se sont arrêtés sur les dysfonctionnements et faiblesses du récit (qui sont partie intégrante de celui-ci toutefois, je ne cherche pas à m'en dédouaner de quelque sorte), tu axes plus ta critique sur le style, qui te semble plaisant, et ça fait sacrément plaisir à lire. Oui, après toutes ces années à bosser, peut-être commence-je à savoir comment écrire un texte - ou du moins à le mettre en forme. Me reste plus maintenant qu'à travailler sur les différents axes suggérés pour en faire quelque chose d'un peu plus que "sympa".
C'est mon gros problème depuis quelques temps : maintenant que la forme commence à être au point, il faut que je travaille davantage le fond et faire en sorte que l'on prenne plaisir à lire ma prose autant pour le propos que pour la plume. Et mine de rien, ben ça reste un sacré challenge !
Merci en tous cas pour ta lecture et ton commentaire qui me laisse à penser que tout n'est (peut-être) pas à jeter dans ce texte...
"En vivant comme en mourant, nous alimentons le feu."
Clive Barker, Sacrements.
Tak- Mélomane des Ondes Noires
Disciple des Livres de Sang - Messages : 6299
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