Corpus Christi

Merci beaucoup, Raven, pour ce sympathique commentaire.

"tu pourrais même pousser jusqu’à insérer une pomme/un fruit dans le récit pour accentuer le parallèle Ancien Testament/Nouveau Testament" : suggestion intéressante. Hélas, le moindre ajout m'aurait fait sortir de la limite des 5000 caractères...

"et tu finis même sur un petit côté gore sans avoir l’air d’y toucher." : c'est mon côté "fan de Dario Argento" qui ressort.

Un texte agréable à lire, avec une fin que je n'ai pas du tout anticipée. Ce qui est bien,c'est qu'on se doute très bien que Séraphin va pervertir sa cousine, mais pas du tout comment. Se servir de sa foi pour lui nuire, c'est franchement bien pensé.

Dans un souci de neutralité, je n'ai pas lu les commentaires précédents le mien.

C'est un texte que j'ai aimé lire et qui m'a vraiment donné envie d'aller jusqu'au bout. Je ne voyais pas la chute, ne la devinait pas et j'adore ça.
J'ai juste un détail... " visage pur et séraphique" et l'enfant qui se nomme Séraphin... c'est idiot mais j'ai eu un petit mouvement de recul... peut-être aurais tu pu utiliser un autre mot pour le visage d'Eve.

Mais une lecture vraiment appréciée.

Merci à toi.

"" visage pur et séraphique" et l'enfant qui se nomme Séraphin... ": exact. J'aurais dû le prénommer Ange, ce qui m'aurait de surcroît permis d'économiser quatre précieux signes à chaque mention du personnage.

Chose promise... Et bien mon cher Blahom, je suis heureux de voir que tu sais analyser tes textes et tes idées ! Ce récit court est tout simplement excellent et (je n'ai pas encore lu les autres) mériterait une belle publication. Comme François (que je salue au passage) le gosse m'a fait penser au rejeton de The Omen. À tel point que j'avais presque le Ave Satani de Goldsmith dans la tête au moment de ma lecture. Comme Paladin, j'ai aimé le pas de côté effectué dans l'analyse du thème qui est pris ici sous l'angle mystique et symbolique. Donc, super nouvelle ! Et encore bravo... Et pour la peine:

Merci à toi, Silence.
Comme tu le sais peut-être, j'aime beaucoup la trilogie The Omen et suis carrément fan de la musique de J. Goldsmith. Pourtant je n'avais absolument pas Damien en tête au moment de narrer les exploits de Séraphin. Il n'empêche que je trouve la référence plaisante, pour ne pas dire flatteuse.