Ode à la Philosophie
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Ode à la Philosophie
Voilà le premier récit que je partage, sans aucune prétention car c'est un des premiers que j'arrive à finir.
Aucune trace de noirceur ici, ça risque de faire ciller les êtres avides d'atrocités que vous êtes !
Le délicieux spectacle de l'eau qui jaillissait de la fontaine en puissants jets éblouissait toujours autant Mr Johnson. Comme tous les samedi matin, il venait s'assoir sous son arbre, dans ce parc quelconque, et il regardait cette fontaine. Mr Johnson n'était pas un homme intelligent : il ne savait pas réfléchir. Mais cela n'empêchait pas les pensées de venir à lui.
Et il pensait. Il regardait passer une nuée d'hirondelles dans un vol synchronisé, et il se disait que la simplicité de la réalité était d'une beauté déconcertante. Tellement qu'elle en était devenue insupportable pour l'homme contemporain. Depuis des lustres, l'homme civilisé passait son temps à élaborer des équations à milles inconnues pour expliquer un univers qui n'a pas besoin de l'être.
Il construisait de toutes pièces des labyrinthes mentaux dans lesquels il choisissait de se perdre, dans le seul but de pouvoir toucher du doigt quelque chose de déjà palpable depuis la nuit des temps.
Pourquoi tout cela ? Pourquoi ne pas voir la vie telle qu'elle est, dans toute sa simplicité ?
Sûrement parce que l'homme civilisé se doit, non pas d'être intelligent, mais de montrer qu'il l'est. Admettre les pensées actuelles de Mr Johnson lui aurait été impossible, c'était revenir à l'essence la plus primordiale de l'être humain. Un être coupé de tout désir matérialiste, ayant pour seul besoin de se nourrir. Mais se nourrir d'aliments, d'eau, de confort et de sommeil n'a jamais suffit à satisfaire le besoin de complétude de tout à chacun.
Pour notre personnage, la chose la plus nourrissante du monde était le spectacle qui s'étalait sous ses yeux, cette douce harmonie qui résonnait tout le long de sa colonne vertébrale, qui lui donnait cette secrète sensation de revenir à une source d'énergie à laquelle l'être humain avait été coupé depuis trop longtemps.
Et maintenant la caresse du vent laissaient s'échapper les pensées de Mr Jonhson, qui, les yeux fermés et l'esprit ouvert, ne se contentait plus que de sourire béatement, au gré du chant des oiseaux et du bruissement des feuilles.
Heureux seront les imbéciles.
Aucune trace de noirceur ici, ça risque de faire ciller les êtres avides d'atrocités que vous êtes !
Le délicieux spectacle de l'eau qui jaillissait de la fontaine en puissants jets éblouissait toujours autant Mr Johnson. Comme tous les samedi matin, il venait s'assoir sous son arbre, dans ce parc quelconque, et il regardait cette fontaine. Mr Johnson n'était pas un homme intelligent : il ne savait pas réfléchir. Mais cela n'empêchait pas les pensées de venir à lui.
Et il pensait. Il regardait passer une nuée d'hirondelles dans un vol synchronisé, et il se disait que la simplicité de la réalité était d'une beauté déconcertante. Tellement qu'elle en était devenue insupportable pour l'homme contemporain. Depuis des lustres, l'homme civilisé passait son temps à élaborer des équations à milles inconnues pour expliquer un univers qui n'a pas besoin de l'être.
Il construisait de toutes pièces des labyrinthes mentaux dans lesquels il choisissait de se perdre, dans le seul but de pouvoir toucher du doigt quelque chose de déjà palpable depuis la nuit des temps.
Pourquoi tout cela ? Pourquoi ne pas voir la vie telle qu'elle est, dans toute sa simplicité ?
Sûrement parce que l'homme civilisé se doit, non pas d'être intelligent, mais de montrer qu'il l'est. Admettre les pensées actuelles de Mr Johnson lui aurait été impossible, c'était revenir à l'essence la plus primordiale de l'être humain. Un être coupé de tout désir matérialiste, ayant pour seul besoin de se nourrir. Mais se nourrir d'aliments, d'eau, de confort et de sommeil n'a jamais suffit à satisfaire le besoin de complétude de tout à chacun.
Pour notre personnage, la chose la plus nourrissante du monde était le spectacle qui s'étalait sous ses yeux, cette douce harmonie qui résonnait tout le long de sa colonne vertébrale, qui lui donnait cette secrète sensation de revenir à une source d'énergie à laquelle l'être humain avait été coupé depuis trop longtemps.
Et maintenant la caresse du vent laissaient s'échapper les pensées de Mr Jonhson, qui, les yeux fermés et l'esprit ouvert, ne se contentait plus que de sourire béatement, au gré du chant des oiseaux et du bruissement des feuilles.
Heureux seront les imbéciles.
Dernière édition par Le_Contemplateur le Jeu 22 Déc 2016 - 16:26, édité 1 fois
Invité- Invité
Re: Ode à la Philosophie
J'aime assez. Plus que le côté philosophique, je me dis que t'as là un personnage assez intéressant que tu pourrais utiliser pour une histoire plus longue au besoin.
Il y a juste la première phrase où j'ai un peu "bloqué" (un bien grand mot).
"Le spectacle rugissant de l'eau qui jaillissait de la fontaine en puissants jets éblouissait toujours autant Mr Johnson. "
Y a deux ans, j'aurais jamais cru possible que je dise ça, étant donné que c'était (est toujours ?) un de mes travers. Mais ça m'a paru trop lourd. J'aurais, personnellement, supprimé "en puissants jets" ou alors "rugissant", l'un ou l'autre. L'idée est trop appuyé avec le tout, ça donne 2 fois la même idée et alourdit la phrase inutilement. D'autant plus que la scène qui suit me parait calme et presque paisible. Ça peut jouer sur le paradoxe (j'aime bien les paradoxes) mais en l'état, autant insister sur la force de la fontaine m'a pas paru primordial (après, je suis peut-être passé à côté une partie du message : genre l'humain est un légume et la nature est vive à souhait ; ça se tiendrait).
Bref. C'est bien là le seul bémol que j'aurais à émettre. Le reste du texte me plait. Lyrisme et phrases recherchées, mais sans être alourdies pour autant selon moi.
C'est peut-être un peu court, j'aurais aimé plus de développements de ces idées. Mais d'une part, je crois que tu commences seulement en écriture (si je me souviens bien de ta présentation), donc c'est normal (et t'as déjà un très bon niveau en plus), et d'autre part, le propos est justement de ne pas se prendre la tête avec des questions, donc ça parait logique que ça soit un texte court, qui va à l'essentiel.
Il y a juste la première phrase où j'ai un peu "bloqué" (un bien grand mot).
"Le spectacle rugissant de l'eau qui jaillissait de la fontaine en puissants jets éblouissait toujours autant Mr Johnson. "
Y a deux ans, j'aurais jamais cru possible que je dise ça, étant donné que c'était (est toujours ?) un de mes travers. Mais ça m'a paru trop lourd. J'aurais, personnellement, supprimé "en puissants jets" ou alors "rugissant", l'un ou l'autre. L'idée est trop appuyé avec le tout, ça donne 2 fois la même idée et alourdit la phrase inutilement. D'autant plus que la scène qui suit me parait calme et presque paisible. Ça peut jouer sur le paradoxe (j'aime bien les paradoxes) mais en l'état, autant insister sur la force de la fontaine m'a pas paru primordial (après, je suis peut-être passé à côté une partie du message : genre l'humain est un légume et la nature est vive à souhait ; ça se tiendrait).
Bref. C'est bien là le seul bémol que j'aurais à émettre. Le reste du texte me plait. Lyrisme et phrases recherchées, mais sans être alourdies pour autant selon moi.
C'est peut-être un peu court, j'aurais aimé plus de développements de ces idées. Mais d'une part, je crois que tu commences seulement en écriture (si je me souviens bien de ta présentation), donc c'est normal (et t'as déjà un très bon niveau en plus), et d'autre part, le propos est justement de ne pas se prendre la tête avec des questions, donc ça parait logique que ça soit un texte court, qui va à l'essentiel.
Re: Ode à la Philosophie
Pas mal, mais il s'agit moins ici d'une histoire que d'une réflexion existentielle, voire d'une amorce de débat.
M. Johnson est un contemplatif qui a choisi de jouir du spectacle ordinaire de la vie sans s'encombrer l'esprit de questions superflues, et c'est son droit le plus strict, mais n'est-ce pas précisément là un privilège de civilisé ? Et n'est-pas aussi le besoin d'harmonie qui nous incite à chercher l'ordre sous le désordre, à élaborer "des labyrinthes mentaux" ? A moins que l'intelligence ne soit une maladie, un faux pas de la nature ? Ou peut-être notre seule liberté réside-t-elle dans le choix de nos oeillères ?...
Ne t'affole pas, je blague ! C'est ce qu'il y a chouette dans la philosophie : on peut argumenter sur tout et son contraire. Un bon exercice pour entretenir son sens critique et son libre arbitre, ce qui n'est pas un luxe par les temps formatés que nous vivons.
Plus généralement, il n'y a pas d'opposition de fond entre fiction et philosophie (voir Rabelais, Voltaire, Huxley, Orwell ou Bradbury). Simplement, la première est plus dans l'illustration que dans la démonstration. On transpose selon le principe qu'un bon exemple est plus efficace qu'un long discours. Je verrais bien une conversation entre M. Johnson et un trader, ou un junky dégoûté de tout (une piste de réflexion comme une autre...).
Mais prends le temps de débuter tranquille, il y a tant d'autres chemins à explorer.
M. Johnson est un contemplatif qui a choisi de jouir du spectacle ordinaire de la vie sans s'encombrer l'esprit de questions superflues, et c'est son droit le plus strict, mais n'est-ce pas précisément là un privilège de civilisé ? Et n'est-pas aussi le besoin d'harmonie qui nous incite à chercher l'ordre sous le désordre, à élaborer "des labyrinthes mentaux" ? A moins que l'intelligence ne soit une maladie, un faux pas de la nature ? Ou peut-être notre seule liberté réside-t-elle dans le choix de nos oeillères ?...
Ne t'affole pas, je blague ! C'est ce qu'il y a chouette dans la philosophie : on peut argumenter sur tout et son contraire. Un bon exercice pour entretenir son sens critique et son libre arbitre, ce qui n'est pas un luxe par les temps formatés que nous vivons.
Plus généralement, il n'y a pas d'opposition de fond entre fiction et philosophie (voir Rabelais, Voltaire, Huxley, Orwell ou Bradbury). Simplement, la première est plus dans l'illustration que dans la démonstration. On transpose selon le principe qu'un bon exemple est plus efficace qu'un long discours. Je verrais bien une conversation entre M. Johnson et un trader, ou un junky dégoûté de tout (une piste de réflexion comme une autre...).
Mais prends le temps de débuter tranquille, il y a tant d'autres chemins à explorer.
Jack-the-rimeur- — — Zonard crépusculaire — — Disciple d'Ambrose Bierce
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Date d'inscription : 23/01/2013
Age : 72
Localisation : Narbonne
Re: Ode à la Philosophie
Merci de vos réponses !
Murphy après avoir relu je vois ce que tu veux dire, il y a un décalage entre la première phrase et le reste. A vouloir trop vouloir faire des tournures jolies on finit par semer la confusion dans le texte.
Le problème est que j'ai encore du mal à garder un style linéaire d'un bout à l'autre de mes récits. Donc tu as raison, à l'avenir moins de lyrisme et plus d'équilibres dans les tournures de phrases !
Jack-the-rimeur c'est vrai que ça peut être plutôt controversé !
Malgré le titre l'idée n'était pas d'amorcer un débat philosophique mais plutôt une réflexion spirituelle. Et pour répondre à tes questions je pense que quelque soit notre situation ou intelligence, le lâcher prise reste la délivrance de beaucoup de problème, et est à la portée de tous.
Et plus encore je crois que c'est justement quand on arrête de se poser des questions que l'on obtient les plus grandes réponses : "Mr Johnson ne savait pas réfléchir, cela n'empêchait pas les pensées de venir à lui" Mais ce n'est qu'un avis ! Et je suis bien d'accord quand tu dis que faire passer ses réflexions dans des situations/dialogues ça a bien plus la classe, merci du conseil
Murphy après avoir relu je vois ce que tu veux dire, il y a un décalage entre la première phrase et le reste. A vouloir trop vouloir faire des tournures jolies on finit par semer la confusion dans le texte.
Le problème est que j'ai encore du mal à garder un style linéaire d'un bout à l'autre de mes récits. Donc tu as raison, à l'avenir moins de lyrisme et plus d'équilibres dans les tournures de phrases !
Jack-the-rimeur c'est vrai que ça peut être plutôt controversé !
Malgré le titre l'idée n'était pas d'amorcer un débat philosophique mais plutôt une réflexion spirituelle. Et pour répondre à tes questions je pense que quelque soit notre situation ou intelligence, le lâcher prise reste la délivrance de beaucoup de problème, et est à la portée de tous.
Et plus encore je crois que c'est justement quand on arrête de se poser des questions que l'on obtient les plus grandes réponses : "Mr Johnson ne savait pas réfléchir, cela n'empêchait pas les pensées de venir à lui" Mais ce n'est qu'un avis ! Et je suis bien d'accord quand tu dis que faire passer ses réflexions dans des situations/dialogues ça a bien plus la classe, merci du conseil
Invité- Invité
Re: Ode à la Philosophie
Curieusement, c'est cette première phrase qui m'a accrochée et m'a fait m'attarder sur ton texte. Alors, oui, c'est vrai qu'elle peut paraître un peu "lourde" selon les critères, et surtout en comparaison avec la suite, mais je l'ai trouvée très poétique : les allitérations et assonances collent parfaitement au propos (spirantes + nasales = ça traduit bien la langueur, la contemplation). N'abolissons pas tout lyrisme pour autant, hein : sachons seulement le doser et l'utiliser à bon escient.
Bon, je suis pas là pour disséquer, disons donc que tu t'en tires avec les honneurs : il n'est pas toujours facile de donner à lire sa prose et de s'exposer aux critiques acerbes et à plumes ^^
J'aime beaucoup la présentation de ce personnage, ça le rend très attachant par son apparente simplicité d'esprit. Finalement, il est bien plus profond que tu ne nous le laisses supposer. C'est un petit texte bien sympathique que tu nous offres, qui va au-delà de sa simple lecture puisqu'il permet d'amorcer une réflexion, ce en quoi il remplit parfaitement sa fonction.
Puisque tu dis débuter en écriture, peux-tu nous en dire plus sur le processus ? Est-ce que tu l'as écrit d'une traite, y es-tu revenu plusieurs fois (ça pourrait expliquer la différence de ton entre le début et la fin), avais-tu une idée précise de la fin quand tu l'as commencé ? etc.
Bon, je suis pas là pour disséquer, disons donc que tu t'en tires avec les honneurs : il n'est pas toujours facile de donner à lire sa prose et de s'exposer aux critiques acerbes et à plumes ^^
J'aime beaucoup la présentation de ce personnage, ça le rend très attachant par son apparente simplicité d'esprit. Finalement, il est bien plus profond que tu ne nous le laisses supposer. C'est un petit texte bien sympathique que tu nous offres, qui va au-delà de sa simple lecture puisqu'il permet d'amorcer une réflexion, ce en quoi il remplit parfaitement sa fonction.
Puisque tu dis débuter en écriture, peux-tu nous en dire plus sur le processus ? Est-ce que tu l'as écrit d'une traite, y es-tu revenu plusieurs fois (ça pourrait expliquer la différence de ton entre le début et la fin), avais-tu une idée précise de la fin quand tu l'as commencé ? etc.
Raven- — — Bouteuse de trains — — Disciple de la présente ligne
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Re: Ode à la Philosophie
Attention, j'ai pas dit que la première phrase était nulle ou qu'il fallait tuer le lyrisme dans ce texte. Au contraire, moi je l'aime bien cette phrase, et le ton/style général du texte d'ailleurs. Et je suis moi-même adepte des phrases à rallonge en général.
C'est juste que je la trouverais plus impactante en étant un peu plus directe, tout en conservant le ton poétique et les images recherchées.
En bref, comme vient de le résumer Raven en une simple phrase, c'est pas une question d'abolir le lyrisme, mais de le doser pour l'optimiser.
C'est juste que je la trouverais plus impactante en étant un peu plus directe, tout en conservant le ton poétique et les images recherchées.
En bref, comme vient de le résumer Raven en une simple phrase, c'est pas une question d'abolir le lyrisme, mais de le doser pour l'optimiser.
Re: Ode à la Philosophie
Si je t'ai paru acerbe, je te prie de m'en excuser, ce n'était pas mon intention. Et je n'ai pas rendu justice à M. Johnson pour qui "être" est tellement plus important que "paraître". Oublier les idées parasites, logiques ou mystiques, juste ouvrir ses sens et laisser le monde entrer, tel qu'il se révèle, oui, c'est une belle approche. La vision simple et décomplexée de M. Johnson en fait quelqu'un de rafraîchissant et de rassurant, quelqu'un qu'on aimerait avoir pour ami. En bref, un personnage intéressant et réussi.
Peut-être que c'est le mot "philosophie" dans le titre qui m'a aiguillonné vers des sentiers délétères. "Ode à la paresse intellectuelle" me paraîtrait plus approprié (paresse n'est plus péjoratif depuis que quelqu'un en a fait l'éloge). Mais c'est une question de point de vue.
Pour ce qui est de la phrase d'ouverture, c'est "rugissant" qui me paraît excessif, sinon superflu. Le supprimer allègerait la phrase sans l'altérer. Sinon, le remplacer par un adjectif moins agressif et plus dans le ton du reste : "lumineux", par ex.
Voilà, je tenais à rectifier ce que mon commentaire pouvait avoir eu de "cavalier". Ton texte méritait mieux.
Amitiés.
Peut-être que c'est le mot "philosophie" dans le titre qui m'a aiguillonné vers des sentiers délétères. "Ode à la paresse intellectuelle" me paraîtrait plus approprié (paresse n'est plus péjoratif depuis que quelqu'un en a fait l'éloge). Mais c'est une question de point de vue.
Pour ce qui est de la phrase d'ouverture, c'est "rugissant" qui me paraît excessif, sinon superflu. Le supprimer allègerait la phrase sans l'altérer. Sinon, le remplacer par un adjectif moins agressif et plus dans le ton du reste : "lumineux", par ex.
Voilà, je tenais à rectifier ce que mon commentaire pouvait avoir eu de "cavalier". Ton texte méritait mieux.
Amitiés.
Jack-the-rimeur- — — Zonard crépusculaire — — Disciple d'Ambrose Bierce
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Date d'inscription : 23/01/2013
Age : 72
Localisation : Narbonne
Re: Ode à la Philosophie
Désolé de cette réponse tardive !
Merci de ta belle réponse Raven, en effet tu as bien deviné je l'ai écris en deux fois ! La première j'ai juste écris la phrase d'accroche, la deuxième j'ai écris le reste. Je n'ai pas fait de plan pour quelque chose d'aussi court, en fait j'ai juste écris une première fois comme ça me venais, et puis j'ai corrigé à la relecture.
Merci de ce conseil Murphy j'en prend note !
Jack-the-rimeur tu ne m'a pas paru acerbe. Au contraire j'ai apprécié ton analyse, avoir des points de vue extérieurs ça aide à progresser. C'est vrai qu'il y a un décalage entre le titre et le contenu, ta suggestion se rapproche en effet plus du récit. J'ai changé la phrase d'accroche pour lui donner un ton plus allégé comme tu m'as conseillé.
Merci de ta belle réponse Raven, en effet tu as bien deviné je l'ai écris en deux fois ! La première j'ai juste écris la phrase d'accroche, la deuxième j'ai écris le reste. Je n'ai pas fait de plan pour quelque chose d'aussi court, en fait j'ai juste écris une première fois comme ça me venais, et puis j'ai corrigé à la relecture.
Merci de ce conseil Murphy j'en prend note !
Jack-the-rimeur tu ne m'a pas paru acerbe. Au contraire j'ai apprécié ton analyse, avoir des points de vue extérieurs ça aide à progresser. C'est vrai qu'il y a un décalage entre le titre et le contenu, ta suggestion se rapproche en effet plus du récit. J'ai changé la phrase d'accroche pour lui donner un ton plus allégé comme tu m'as conseillé.
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