Bêlals
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Re: Bêlals
Eh ben ! A peine tu annonces que tu entames un texte, qu'on le retrouve dans la rubrique correspondante !
Bravo pour la rapidité d'exécution.
Franchement, j'ai bien aimé. C'est l'aspect "mignon" de l'ensemble qui m'a bien plu. Ça change de Greta (que j'ai adoré, là n'est pas la question !) Ce n'est pas le premier texte modéré que je lis de toi, mais là, dans le contexte du parasite (propice aux exactions gore) j'ai été agréablement surpris.
Ton histoire est très sympa. Le problème, c'est que je n'ai pas compris l'origine, la nature, et l'intérêt des Belals. Et ça me gêne. Ok, j'ai compris que le gamin devait vivre sa vie prisonnier, mais pourquoi, à quoi bon ? Ça manque.
Cela reste cependant un joli conte. Dans la forme, juste quelques coups de pinceaux pour gommer des tournures pas géniales, surtout au début (selon moi) mais rien de méchant. Il a toutes ses chances ce récit !
Bravo pour la rapidité d'exécution.
Franchement, j'ai bien aimé. C'est l'aspect "mignon" de l'ensemble qui m'a bien plu. Ça change de Greta (que j'ai adoré, là n'est pas la question !) Ce n'est pas le premier texte modéré que je lis de toi, mais là, dans le contexte du parasite (propice aux exactions gore) j'ai été agréablement surpris.
Ton histoire est très sympa. Le problème, c'est que je n'ai pas compris l'origine, la nature, et l'intérêt des Belals. Et ça me gêne. Ok, j'ai compris que le gamin devait vivre sa vie prisonnier, mais pourquoi, à quoi bon ? Ça manque.
Cela reste cependant un joli conte. Dans la forme, juste quelques coups de pinceaux pour gommer des tournures pas géniales, surtout au début (selon moi) mais rien de méchant. Il a toutes ses chances ce récit !
Re: Bêlals
Merci de ta lecture Cancereugène. Mignon ? Oui peut-être, mais je n'avais pas du tout pensé à ça.
L'origine, la nature et l'intérêt des bêlals :
L'origine, la nature et l'intérêt des bêlals :
- Spoiler:
- A la base, j'ai imaginé ces bêlals comme des véhicules ayant obtenu, par l'intermédiaire d'une catastrophe, une intelligence. Donc, l'origine ce sont nos véhicules, après s'être "éveillés", ils ont changé le rapport de maître à esclave, devenant eux les maîtres. Leur nature est donc mécanique douée d’intelligence. Et leur intérêt, il n'y en a peut-être pas assez. Ils sont là pour empêcher les hommes de visiter le monde, ils les maintiennent prisonniers, et parfois, ils "réquisitionnent" l'un d'eux comme esclave destiné à les servir tout en lui offrant le monde à visiter. Mouais, c'est pas top en fait.
Re: Bêlals
Pourquoi pas. Les tenants et aboutissants sont tout de même difficiles à deviner.
Pour le terme "mignon", c'est le côté modéré qui me fait dire ça, car bien sûr, ton histoires n'est pas super joyeuse...
Pour le terme "mignon", c'est le côté modéré qui me fait dire ça, car bien sûr, ton histoires n'est pas super joyeuse...
Re: Bêlals
Non, mais tu as raison, ça ressemble plutôt à un conte, alors que je n'avais pas cette intention-là au départ. Mais comme de toute façon, je ne sais pas trop quel genre je touchais, pourquoi pas.
Bon, faut que je retravaille les tenants et aboutissants.
Bon, faut que je retravaille les tenants et aboutissants.
Re: Bêlals
J'ai donc retravaillé l'ensemble. Pour gommer quelques fautes qui traînaient, fignoler quelques phrases, ajouter l'un ou l'autre détails, et travailler le rôle, la nature, l'origine et l'intérêt des bêlals.
Suis pas sûre que ce soit plus clair cependant. Eh oui, toujours mon problème pour réussir à rajouter des trucs dans un texte.
Le lien de cette nouvelle version est dans le premier post.
Suis pas sûre que ce soit plus clair cependant. Eh oui, toujours mon problème pour réussir à rajouter des trucs dans un texte.
Le lien de cette nouvelle version est dans le premier post.
Re: Bêlals
Je suis admirative ! Tu n'as mis qu'une journée pour écrire ce texte
Je l'ai vraiment trouvé intéressant... J'ai relu la V2 (car j'avais lu le premier hier soir) : je ne vois pas trop de différence entre les deux...
Sinon, je suis assez d'accord avec Cancer. On ne sent pas la nécessité du rapprochement entre les bélals et les hommes. Ils peuvent rester chacun de leur côté sans problèmes. Il faudrait trouver une bonne raison. Peut-être qu'ils rouillent (les bélals) et ne savent pas fabriquer l'huile magique... Il me semble qu'il faudrait une réciprocité (quelque chose comme ça).
S'il n'y avait pas ce thème, ce serait très bon déjà...
Je l'ai vraiment trouvé intéressant... J'ai relu la V2 (car j'avais lu le premier hier soir) : je ne vois pas trop de différence entre les deux...
Sinon, je suis assez d'accord avec Cancer. On ne sent pas la nécessité du rapprochement entre les bélals et les hommes. Ils peuvent rester chacun de leur côté sans problèmes. Il faudrait trouver une bonne raison. Peut-être qu'ils rouillent (les bélals) et ne savent pas fabriquer l'huile magique... Il me semble qu'il faudrait une réciprocité (quelque chose comme ça).
S'il n'y avait pas ce thème, ce serait très bon déjà...
Re: Bêlals
Merci de ta lecture Françoise. Si tu ne vois pas la différence entre les deux versions, c'est que je n'ai pas encore assez engraissé le cochon.
- Spoiler:
- En fait, les bêlals ont besoin de quelques hommes pour les entretenir et les nourrir (il y a une très vague allusion à la rouille quand je parle de ceux qui sont brunâtres et poussifs, brunâtre comme rouillé, c'est peut-être bien trop vague), tout autant que pour en fabriquer de nouveaux car ils ne sont pas éternels. C'est ce que j'ai essayé d'insérer dans mes rajoutes. Raté semblerait-il.
Re: Bêlals
Je ne sais pas trop quoi en penser.
Déjà, les coquilles restantes :
J'aime bien l'ambiance bucolique, post-apo douce mais je reste dubitative sur ces bêlals. Déjà, d'où provient le nom ? J'ai beau essayer de chercher, je ne vois pas (j'imagine un mot déformé avec le temps, comme Béhême en remplacement de BMW, mais j'ai beau réfléchir, bêlal ne m'évoque rien).
Ensuite, j'ai un peu de mal avec la vision qu'ils en ont : ils pensent que les bêlals sont faits de chair et d'os. Or, ils ont une carapace métallique. Sachant qu'ils n'ont que 4 "pieds" et pas de bras, comment se seraient-ils procurés ces carapaces ? Qui les leur aurait forgées ? Bref, tes humains ne se posent guère de questions, c'est comme ça, c'est tout. Je veux bien que le grand-père pense comme ça, avec résignation, mais à l'échelle de toute leur civilisation ? Ou alors on suppose qu'ils sont faits de métal et de chair, pourquoi pas, une forme de vie comme une autre, mais dans ce cas Olan ne devrait pas être trop étonné une fois à l'intérieur.
Je n'ai pas lu les consignes de l'AT, mais pour moi symbiotes signifie être en symbiose. Autrement dit, une association qui est profitable aux deux parties. Ici, quel bénéfice en retirerait Olan ? Le plaisir de voir ce qu'il y a au-delà de la clôture ? Et il mangerait quoi, s'habillerait avec quoi, à terme ?
Et pour les entretenir ça signifie aussi qu'il existe encore des chaînes de montage, des pompes à essence, etc. Et donc beaucoup de monde pour assurer le service. Même si, comme le dit le grand-père, certains s'en vont pour servir les Bêlals, ton texte ne montre pas assez cet aspect de la chose : la crainte que des membres de la communauté ne disparaissent, le fait qu'ils sont peut-être de moins en moins nombreux et que leur société en souffre de plus en plus (moins de bras pour assurer leur subsistance et les réparations de la clôture), et surtout la peur du grand-père quand il voit que son petit-fils est trop attiré par les bêtes. On ne ressent cette crainte qu'à la toute fin, c'est un peu tard. Il sait depuis le début que certains disparaissent pour toujours, il voit bien qu'Olan est attiré, fasciné, et risque de finir comme les autres, mais il ne fait rien. Il ne le met pas en garde, il ne s'inquiète pas, il n'essaie pas de le retenir.
Autant j'aime beaucoup ton idée, tu nous réserves une belle surprise avec la chute, autant je pense que tu peux encore améliorer le tout.
Déjà, les coquilles restantes :
- Spoiler:
- Beaucoup de répétitions de "mais" (6 x rien qu'en 1ère page) et de "puis".
p.2 : jamais = répétition
palier aux plus importants... = 2ble faute récurrente chez toi : pallier transitif (= pallier les plus importants)
de causes : je mettrais au singulier
jamais avant : je mettrais plutôt jamais auparavant
petits (avec s)
il y en a un blanc (oubli du y)
un repas répétitif : je sais pas, ça sonne bizarre
p.4 : qu'il percevait (un s en trop)
pénétrer dans leur territoire : plus haut tu mets "pénétrer leur territoire" (je préfère avec "dans", dans tous les cas, choisis-en un seul et garde le durant tout le texte)
p.5 : pour installer sa domination : je mettrais instaurer
sans but apparent : j'enlèverais le pluriel
Pas grand chose donc, mais surtout ces répétitions mais/puis qui sont vraiment lourdes à la lecture.
J'aime bien l'ambiance bucolique, post-apo douce mais je reste dubitative sur ces bêlals. Déjà, d'où provient le nom ? J'ai beau essayer de chercher, je ne vois pas (j'imagine un mot déformé avec le temps, comme Béhême en remplacement de BMW, mais j'ai beau réfléchir, bêlal ne m'évoque rien).
Ensuite, j'ai un peu de mal avec la vision qu'ils en ont : ils pensent que les bêlals sont faits de chair et d'os. Or, ils ont une carapace métallique. Sachant qu'ils n'ont que 4 "pieds" et pas de bras, comment se seraient-ils procurés ces carapaces ? Qui les leur aurait forgées ? Bref, tes humains ne se posent guère de questions, c'est comme ça, c'est tout. Je veux bien que le grand-père pense comme ça, avec résignation, mais à l'échelle de toute leur civilisation ? Ou alors on suppose qu'ils sont faits de métal et de chair, pourquoi pas, une forme de vie comme une autre, mais dans ce cas Olan ne devrait pas être trop étonné une fois à l'intérieur.
Je n'ai pas lu les consignes de l'AT, mais pour moi symbiotes signifie être en symbiose. Autrement dit, une association qui est profitable aux deux parties. Ici, quel bénéfice en retirerait Olan ? Le plaisir de voir ce qu'il y a au-delà de la clôture ? Et il mangerait quoi, s'habillerait avec quoi, à terme ?
Et pour les entretenir ça signifie aussi qu'il existe encore des chaînes de montage, des pompes à essence, etc. Et donc beaucoup de monde pour assurer le service. Même si, comme le dit le grand-père, certains s'en vont pour servir les Bêlals, ton texte ne montre pas assez cet aspect de la chose : la crainte que des membres de la communauté ne disparaissent, le fait qu'ils sont peut-être de moins en moins nombreux et que leur société en souffre de plus en plus (moins de bras pour assurer leur subsistance et les réparations de la clôture), et surtout la peur du grand-père quand il voit que son petit-fils est trop attiré par les bêtes. On ne ressent cette crainte qu'à la toute fin, c'est un peu tard. Il sait depuis le début que certains disparaissent pour toujours, il voit bien qu'Olan est attiré, fasciné, et risque de finir comme les autres, mais il ne fait rien. Il ne le met pas en garde, il ne s'inquiète pas, il n'essaie pas de le retenir.
Autant j'aime beaucoup ton idée, tu nous réserves une belle surprise avec la chute, autant je pense que tu peux encore améliorer le tout.
Raven- — — Bouteuse de trains — — Disciple de la présente ligne
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Re: Bêlals
Merci de ce commentaire détaillé Raven.
Alors, bêlal, oui un mot déformé avec le temps, contraction de bête de métal (ouais j'ai pas cherché très loin).
La vision que les villageois en ont : en fait je ne les voyais pas penser la carapace des bêlals faite de métal. Pour eux, le métal n'est plus utilisé, les bêtes sont juste des bêtes un peu dangereuses dont ils ne s'approchent pas. Il y a un certain fatalisme ou une résignation dans leur façon de vivre. Mais bon, comme d'hab, j'ai pas assez détaillé mon truc.
Pour le respect du thème, j'ai un doute depuis le début, je le sens un peu léger. Il y a pourtant bien une symbiose, mais une symbiose forcée tout autant qu'acceptée. Le bénéfice pour Olan est bien de quitter son village, de voir le monde, ce qu'il souhaite fortement. Quant à comment il vivrait ensuite, je ne suis pas sûre que ce soit très important. Je conclus sur une fin assez ouverte.
Je reste trop vague, je m'en rends compte sur "l'entretien" des bêlals, je ne fais qu'évoquer le rôle qu'aura à jouer Olan dans le futur, ça manque sûrement au texte tout ce que je n'ai pas mis.
Bref, mon texte n'est, une nouvelle fois, pas assez abouti. Mais je capitule devant l'adversité. Je suis de toute façon incapable de l'améliorer, alors à quoi bon m'y essayer. Ce sera vain. Je n'ai pas le niveau pour écrire en dehors du très noir, il serait peut-être temps que je l'accepte.
J'enverrai malgré tout le texte à l'AT, mais juste parce qu'il est écrit.
Alors, bêlal, oui un mot déformé avec le temps, contraction de bête de métal (ouais j'ai pas cherché très loin).
La vision que les villageois en ont : en fait je ne les voyais pas penser la carapace des bêlals faite de métal. Pour eux, le métal n'est plus utilisé, les bêtes sont juste des bêtes un peu dangereuses dont ils ne s'approchent pas. Il y a un certain fatalisme ou une résignation dans leur façon de vivre. Mais bon, comme d'hab, j'ai pas assez détaillé mon truc.
Pour le respect du thème, j'ai un doute depuis le début, je le sens un peu léger. Il y a pourtant bien une symbiose, mais une symbiose forcée tout autant qu'acceptée. Le bénéfice pour Olan est bien de quitter son village, de voir le monde, ce qu'il souhaite fortement. Quant à comment il vivrait ensuite, je ne suis pas sûre que ce soit très important. Je conclus sur une fin assez ouverte.
Je reste trop vague, je m'en rends compte sur "l'entretien" des bêlals, je ne fais qu'évoquer le rôle qu'aura à jouer Olan dans le futur, ça manque sûrement au texte tout ce que je n'ai pas mis.
Bref, mon texte n'est, une nouvelle fois, pas assez abouti. Mais je capitule devant l'adversité. Je suis de toute façon incapable de l'améliorer, alors à quoi bon m'y essayer. Ce sera vain. Je n'ai pas le niveau pour écrire en dehors du très noir, il serait peut-être temps que je l'accepte.
J'enverrai malgré tout le texte à l'AT, mais juste parce qu'il est écrit.
Re: Bêlals
Rhooo, non mais c'est quoi ce fatalisme ? Purée, si j'étais là tu pourrais plus t'asseoir avec tous les coups de pied au cul que je te collerais !
Je savais bien que ce mot ne sortait pas de nulle part, j'avais bien deviné que tu avais dû y penser comme une évolution/déformation, mais je séchais complètement sur l'origine.
Pour le métal, c'est toi qui parles de "carapace métallique", comme la scène est du point de vue d'Olan, j'en avais conclu qu'il savait qu'il y avait du métal sur les bêlals.
Bon, le côté symbiotique, le gros + c'est qu'il y a une association machine/humain, un côté post-apo. Disons qu'en fait de symbiose, on a plutôt une approche parasitaire : l'humain peut vivre sans la machine mais, apparemment, la machine a besoin de l'humain. Ce qui cloche, c'est qu'on ne dirait pas vraiment que la machine en a besoin : ils ont quand même l'air de faire leur vie sans problème, les humains attirés de temps en temps ne sont qu'un bonus.
Alors, ne te méprends pas, c'est un bon texte. J'aime beaucoup les relations que tu y décris, grand-père/petit-fils, l'ambiance aussi, et ça change énormément de ce que tu fais d'habitude. Même sans approfondir, ce texte est nickel (c'est juste qu'avec ce côté SF on s'attend à des explications bien carrées). Mais, pour moi, il ne correspond pas parfaitement à cet AT, même s'il s'y rattache en partie. Tu as tes chances, ceci dit, grâce à son originalité : ça peut le démarquer.
Si tu as le temps et le courage de le retravailler, je te verrais bien insister sur les craintes du grand-père, son désir de garder Olan à la maison pour qu'il ne succombe pas au chant des klaxons, et sur le fait qu'ils sont de moins en moins nombreux au village, que de plus en plus de personnes ne reviennent pas de leurs sorties.
Je savais bien que ce mot ne sortait pas de nulle part, j'avais bien deviné que tu avais dû y penser comme une évolution/déformation, mais je séchais complètement sur l'origine.
Pour le métal, c'est toi qui parles de "carapace métallique", comme la scène est du point de vue d'Olan, j'en avais conclu qu'il savait qu'il y avait du métal sur les bêlals.
Bon, le côté symbiotique, le gros + c'est qu'il y a une association machine/humain, un côté post-apo. Disons qu'en fait de symbiose, on a plutôt une approche parasitaire : l'humain peut vivre sans la machine mais, apparemment, la machine a besoin de l'humain. Ce qui cloche, c'est qu'on ne dirait pas vraiment que la machine en a besoin : ils ont quand même l'air de faire leur vie sans problème, les humains attirés de temps en temps ne sont qu'un bonus.
Alors, ne te méprends pas, c'est un bon texte. J'aime beaucoup les relations que tu y décris, grand-père/petit-fils, l'ambiance aussi, et ça change énormément de ce que tu fais d'habitude. Même sans approfondir, ce texte est nickel (c'est juste qu'avec ce côté SF on s'attend à des explications bien carrées). Mais, pour moi, il ne correspond pas parfaitement à cet AT, même s'il s'y rattache en partie. Tu as tes chances, ceci dit, grâce à son originalité : ça peut le démarquer.
Si tu as le temps et le courage de le retravailler, je te verrais bien insister sur les craintes du grand-père, son désir de garder Olan à la maison pour qu'il ne succombe pas au chant des klaxons, et sur le fait qu'ils sont de moins en moins nombreux au village, que de plus en plus de personnes ne reviennent pas de leurs sorties.
Raven- — — Bouteuse de trains — — Disciple de la présente ligne
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Re: Bêlals
Non, c'est pas un bon texte, c'est un texte moyen. Même pas une idée super originale, la machine qui se retourne contre l'homme, c'est déjà vu et revu.
Mais c'est pas bien grave. Je fais le deuil de mes illusions sans trop de problèmes. Ça s'est fait petit à petit, donc, ça va. Je pense qu'à l'instar de Paladin, je vais arrêter. Peut-être pas d'écrire, mais d'écrire en but de publications ou sur thème (sauf si ça me parle vraiment, mais c'est rarement le cas). Essayer de retrouver le plaisir d'écrire juste ce que j'ai envie. Juste pour moi, et peut-être pour vous (ça c'est parce que je reste malgré tout un brin sadique ).
A un moment de son parcours, il faut bien faire un bilan, et je crois que pour moi, c'est le moment. Je sais que j'ai eu des publications, et j'en suis fière, mais à l'exception de "La photo", je n'ai que des trucs sombres qui passent. Hors si j'aime bien écrire du dur, ce n'est pas mon genre préféré, et ce n'est pas non plus celui qui m'apporte le plus d'idées, j'ai l'impression d'en avoir fait le tour et de m'y répéter. Sauf que quand je pars vers de la sfff, je ne maîtrise pas assez. Ce n'est pas triste, c'est juste comme ça.
J'envisage aussi de me lancer dans l'édition. Nous en parlons avec mon père, il est très intéressé, mais il veut un projet solide et bien renseigné. Il sait qu'on ne ferait pas fortune, et s'il accepte le risque d'y être de sa poche, il veut que ce risque soit limité. Il me demande donc certains renseignements que je traîne à me procurer.
Donc, pour l'instant, il n'y a rien de fait, c'est juste une réflexion avec mon papa. Mais j'avoue que ça me plairait beaucoup que ça aboutisse.
Mais c'est pas bien grave. Je fais le deuil de mes illusions sans trop de problèmes. Ça s'est fait petit à petit, donc, ça va. Je pense qu'à l'instar de Paladin, je vais arrêter. Peut-être pas d'écrire, mais d'écrire en but de publications ou sur thème (sauf si ça me parle vraiment, mais c'est rarement le cas). Essayer de retrouver le plaisir d'écrire juste ce que j'ai envie. Juste pour moi, et peut-être pour vous (ça c'est parce que je reste malgré tout un brin sadique ).
A un moment de son parcours, il faut bien faire un bilan, et je crois que pour moi, c'est le moment. Je sais que j'ai eu des publications, et j'en suis fière, mais à l'exception de "La photo", je n'ai que des trucs sombres qui passent. Hors si j'aime bien écrire du dur, ce n'est pas mon genre préféré, et ce n'est pas non plus celui qui m'apporte le plus d'idées, j'ai l'impression d'en avoir fait le tour et de m'y répéter. Sauf que quand je pars vers de la sfff, je ne maîtrise pas assez. Ce n'est pas triste, c'est juste comme ça.
J'envisage aussi de me lancer dans l'édition. Nous en parlons avec mon père, il est très intéressé, mais il veut un projet solide et bien renseigné. Il sait qu'on ne ferait pas fortune, et s'il accepte le risque d'y être de sa poche, il veut que ce risque soit limité. Il me demande donc certains renseignements que je traîne à me procurer.
Donc, pour l'instant, il n'y a rien de fait, c'est juste une réflexion avec mon papa. Mais j'avoue que ça me plairait beaucoup que ça aboutisse.
Re: Bêlals
C'est clair qu'on ne peut pas y faire fortune mais on ne risque pas d'y laisser non plus trop de plumes (enfin, j'en ai discuté avec les gars de chez Séma, et en Belgique c'est pas comme en France, certains points, notamment au niveau de la diffusion, m'ont paru plus hasardeux) (le point commun, c'est que niveau impôts, c'est kif-kif, et jamais dans le bon sens).
Et ne mets pas dans le même panier toutes tes productions SFFF, parce que tes trucs fantastiques sont super bien foutus, ce sont surtout les SF qui pèchent parfois un peu, et encore (regarde, ton texte "seule au monde", dont j'ai oublié le titre, est excellent).
Et puis arrête de parler comme ça, tu as des tonnes de publis avec un rythme d'1 sur 2, qui peut se vanter d'en faire la moitié ?
Et ne mets pas dans le même panier toutes tes productions SFFF, parce que tes trucs fantastiques sont super bien foutus, ce sont surtout les SF qui pèchent parfois un peu, et encore (regarde, ton texte "seule au monde", dont j'ai oublié le titre, est excellent).
Et puis arrête de parler comme ça, tu as des tonnes de publis avec un rythme d'1 sur 2, qui peut se vanter d'en faire la moitié ?
Raven- — — Bouteuse de trains — — Disciple de la présente ligne
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Re: Bêlals
Tu as oublié un zéro derrière le 2, et on sera plus proche de la réalité.tu as des tonnes de publis avec un rythme d'1 sur 2
Pour l'édition, ce serait de toute façon en asbl (je sais plus trop à quoi ça correspond en France), donc, il n'y aurait pas de risques personnels, sauf celui de perdre l'argent investi. Mais je dois me renseigner sur des trucs financiers et puis on envisage plutôt le système de l'impression à la demande, mais je ne sais pas trop vers qui regarder ou comment ça fonctionne exactement. Et mon père voudrait des réponses pour la prochaine fois qu'on se voit, début décembre. Sauf qu'avec ma réticence à poser des questions ou contacter qui que ce soit, je traîne. Et c'est peut-être bien pour ça que j'en cause enfin sur le forum. Parce que maintenant, plus le choix, faut que je me motive à avancer, sous peine de passer pour une bouffonne comme dirait mes fils.
Re: Bêlals
Mdr, exactement pour ça que j'en ai parlé aussi : c'est une façon de passer ça du fantasme à la réalité. Une fois que c'est dit, cochon qui s'en dédit^^
Pour l'impression, j'ai déjà commencé à zieuter : du côté de l'Italie et des pays de l'Est, il y a des tarifs intéressants. Pour l'instant, je compile ce qui se fait chez les micro-éditeurs : qui se fait éditer où ? quel est son diffuseur ? etc.
Si c'est sous forme associative, c'est sans but lucratif, donc il faut juste équilibrer les comptes, ce qui est très facile. C'est ce que j'envisage dans un premier temps aussi. De toute façon quand j'aurai fermé ma société, je verrai mieux ce que je peux faire. Si c'est sous forme entrepreneuriale, ça sera autre chose. Et très différent de ce que je connais car je suppose que je ne vais pas faire un CA à 6 chiffres dans l'édition : en France, les formes de société (et évidemment le système d'imposition) diffèrent énormément selon le chiffre d'affaires réalisé.
Pour l'impression, j'ai déjà commencé à zieuter : du côté de l'Italie et des pays de l'Est, il y a des tarifs intéressants. Pour l'instant, je compile ce qui se fait chez les micro-éditeurs : qui se fait éditer où ? quel est son diffuseur ? etc.
Si c'est sous forme associative, c'est sans but lucratif, donc il faut juste équilibrer les comptes, ce qui est très facile. C'est ce que j'envisage dans un premier temps aussi. De toute façon quand j'aurai fermé ma société, je verrai mieux ce que je peux faire. Si c'est sous forme entrepreneuriale, ça sera autre chose. Et très différent de ce que je connais car je suppose que je ne vais pas faire un CA à 6 chiffres dans l'édition : en France, les formes de société (et évidemment le système d'imposition) diffèrent énormément selon le chiffre d'affaires réalisé.
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