La bataille du parvis
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La bataille du parvis
C'est sans doute un peu long mais je me suis bien amusé en fait.
CONTEXTE : Un conflit oppose la république Néhmienne aux Forces Unies de l'Empire Bleu. Alors que les troupes de la République ravagent la frontière sans y rencontrer la moindre résistance, un groupe de Miliciens fait la rencontre d'Athos. Cet homme énigmatique un épéiste d'un tel talent qu'il lui est interdit de manier une lame de métal.
Accompagné par son ami Dante, un colosse portant un cercueil tout aussi mystérieux, il va prêter main-forte aux soldats qui luttent pour son pays.
La scène prend place dans un petit village, sur le parvis d'une église au cœur de laquelle le groupe vient de démanteler un petit bataillon qui y avait fait des prisonniers, dont Dante.
- Vous ne respectez vraiment rien, hein ? S'agaça le commandant en fixant Dante qui retirait le crucifix du corps de sa victime.
Le jeune homme laissa tomber la décoration au sol et émit une moue de dédain. Puis il ramassa l'énorme cercueil qu'il avait l'habitude de porter comme un sac à dos avant de s'en aller en direction de la mêlée.
- Dante ! Revenez !
Une grenade éclata un vitrail et força l'officier à se jeter au sol. Il perdit le colosse de vue et se précipita vers la porte pour rejoindre la bataille qui faisait rage sur le parvis.
Le ciel s'était assombri depuis une heure et les nuages s'étaient amoncelés en comme un troisième groupe de combattants, déversant leur feu liquide sur les deux armées. Le sol détrempé était ravagé par les obus et les grenades. Le tonnerre se mêlait également au concert de crissements et d’explosions qui emplissait l'air ambiant.
Le commandant avait repris la tête de son groupe et luttait corps et âme cintre l'envahisseur.
D'un bond vif, il esquiva une volée de flammes à l'origine incertaine, roula sur le sol et brandit sa carabine pour décocher deux balles dans l'abdomen du Néhmien le plus proche. Essoufflé, il fit reculer ses troupes jusqu'aux arcades de l'église, se ménagent un point de vue légèrement plus en hauteur.
Il avait droit à une vue d'ensemble de là où il se trouvait : Les Néhmiens formaient un groupe d'une bonne centaine de soldats et leurs lance-flammes permettaient de maintenir les trois escouades de Miliciens à distance.
- Nous devons écourter l'assaut. Lança Athos en sortant, comme à son habitude, de nulle part.
- Ces lance-flammes sont un soucis... Répliqua le commandant.
Tandis que les Miliciens reculaient, un groupe de carabiniers situé à l'arrière du cortège de soldats Néhmiens infligeait de lourdes pertes aux effectifs, pourtant légers, du commandant.
- Dante et moi allons attirer l'attention, envoyez l'escouade trois liquider les pyromanes à mon signal.
Le commandant grimaça et tira une nouvelle fois en direction des soldats ennemis tandis que son allié levait le nez.
- Et c'est quoi votre signal ?
Athos leva l'index en direction du clocher. Le commandant eut alors le loisir d'y voir Dante qui se tenait debout sur les tuiles, la cloche entre ses bras titanesques. Il projeta l'objet de fonte et de bronze sur une distance inhumaine, écrasant une grosse partie du groupe de carabiniers. Des cris et des hurlements accompagnèrent le son tonitruant.
Le sol vibra si fort que des volets se décrochèrent.
- Voilà le signal. Ricana Athos avant de tirer son épée de bois et de courir en direction du combat.
- Vous ne respectez vraiment rien... Maudits.
Il soupira et s'adressa à son escouade :
- Allez messieurs ! C'est l'heure de la riposte !
A ces mots, il brandit sa propre arme et se jeta au combat, baïonnette en avant.
Les coups pleuvaient et les balles fusaient. Les effectifs s'étaient ajustés depuis le lancer de la cloche et la présence de Dante était un avantage considérable pour les Miliciens. Ragaillardis par ces bonnes nouvelles, les hommes en bleu et noir redoublèrent d'agressivité envers l'ennemi désormais terrifié.
Fusils et grenades chantaient comme une grande mélopée, accompagnée par les cris terrifiés de l'armée Néhmienne. Quelques Brûlots tentèrent de riposter mais les troupes du commandant ne semblaient plus les craindre.
- Escouades ! Formation neuf !
Aux mots de l'officier, les trois groupes de Miliciens s'unifièrent pour tenter une percée frontale et violente.
- Armes les baïonnettes !
Alors qu'il donnait ses ordres, il percevait la prise de confiance de ses hommes et l'effroi que cela provoquait en face. Il aperçu Athos qui éliminait les derniers carabiniers à coups d'épée et lui fit un signe de la tête avant de hurler :
- Chargez !
Et les coups de fusils cessèrent au profit des bruissement de métal, des cinglements d'épées et des hurlements bestiaux.
Les corps tombaient dans le mélange de boue et de pavés du parvis ravagé.
Au centre de la lutte, Athos faisait danser sa lame de bois, infligeant contusions et fractures à ses adversaires tandis que les Miliciens les achevaient à coups de poignards et de baïonettes.
Lorsque la place s'enfonça doucement dans le silence, Athos planta son arme dans le sol et s'adressa à Dante :
- Je t'avais ordonné de ne pas utiliser leur chef comme arme... on aurait pu s'en servir.
Dante décocha un coup de pied boudeur à la cloche inerte.
- Vous ne respectez vraiment rien... Soupira la commandant.
CONTEXTE : Un conflit oppose la république Néhmienne aux Forces Unies de l'Empire Bleu. Alors que les troupes de la République ravagent la frontière sans y rencontrer la moindre résistance, un groupe de Miliciens fait la rencontre d'Athos. Cet homme énigmatique un épéiste d'un tel talent qu'il lui est interdit de manier une lame de métal.
Accompagné par son ami Dante, un colosse portant un cercueil tout aussi mystérieux, il va prêter main-forte aux soldats qui luttent pour son pays.
La scène prend place dans un petit village, sur le parvis d'une église au cœur de laquelle le groupe vient de démanteler un petit bataillon qui y avait fait des prisonniers, dont Dante.
- Vous ne respectez vraiment rien, hein ? S'agaça le commandant en fixant Dante qui retirait le crucifix du corps de sa victime.
Le jeune homme laissa tomber la décoration au sol et émit une moue de dédain. Puis il ramassa l'énorme cercueil qu'il avait l'habitude de porter comme un sac à dos avant de s'en aller en direction de la mêlée.
- Dante ! Revenez !
Une grenade éclata un vitrail et força l'officier à se jeter au sol. Il perdit le colosse de vue et se précipita vers la porte pour rejoindre la bataille qui faisait rage sur le parvis.
Le ciel s'était assombri depuis une heure et les nuages s'étaient amoncelés en comme un troisième groupe de combattants, déversant leur feu liquide sur les deux armées. Le sol détrempé était ravagé par les obus et les grenades. Le tonnerre se mêlait également au concert de crissements et d’explosions qui emplissait l'air ambiant.
Le commandant avait repris la tête de son groupe et luttait corps et âme cintre l'envahisseur.
D'un bond vif, il esquiva une volée de flammes à l'origine incertaine, roula sur le sol et brandit sa carabine pour décocher deux balles dans l'abdomen du Néhmien le plus proche. Essoufflé, il fit reculer ses troupes jusqu'aux arcades de l'église, se ménagent un point de vue légèrement plus en hauteur.
Il avait droit à une vue d'ensemble de là où il se trouvait : Les Néhmiens formaient un groupe d'une bonne centaine de soldats et leurs lance-flammes permettaient de maintenir les trois escouades de Miliciens à distance.
- Nous devons écourter l'assaut. Lança Athos en sortant, comme à son habitude, de nulle part.
- Ces lance-flammes sont un soucis... Répliqua le commandant.
Tandis que les Miliciens reculaient, un groupe de carabiniers situé à l'arrière du cortège de soldats Néhmiens infligeait de lourdes pertes aux effectifs, pourtant légers, du commandant.
- Dante et moi allons attirer l'attention, envoyez l'escouade trois liquider les pyromanes à mon signal.
Le commandant grimaça et tira une nouvelle fois en direction des soldats ennemis tandis que son allié levait le nez.
- Et c'est quoi votre signal ?
Athos leva l'index en direction du clocher. Le commandant eut alors le loisir d'y voir Dante qui se tenait debout sur les tuiles, la cloche entre ses bras titanesques. Il projeta l'objet de fonte et de bronze sur une distance inhumaine, écrasant une grosse partie du groupe de carabiniers. Des cris et des hurlements accompagnèrent le son tonitruant.
Le sol vibra si fort que des volets se décrochèrent.
- Voilà le signal. Ricana Athos avant de tirer son épée de bois et de courir en direction du combat.
- Vous ne respectez vraiment rien... Maudits.
Il soupira et s'adressa à son escouade :
- Allez messieurs ! C'est l'heure de la riposte !
A ces mots, il brandit sa propre arme et se jeta au combat, baïonnette en avant.
Les coups pleuvaient et les balles fusaient. Les effectifs s'étaient ajustés depuis le lancer de la cloche et la présence de Dante était un avantage considérable pour les Miliciens. Ragaillardis par ces bonnes nouvelles, les hommes en bleu et noir redoublèrent d'agressivité envers l'ennemi désormais terrifié.
Fusils et grenades chantaient comme une grande mélopée, accompagnée par les cris terrifiés de l'armée Néhmienne. Quelques Brûlots tentèrent de riposter mais les troupes du commandant ne semblaient plus les craindre.
- Escouades ! Formation neuf !
Aux mots de l'officier, les trois groupes de Miliciens s'unifièrent pour tenter une percée frontale et violente.
- Armes les baïonnettes !
Alors qu'il donnait ses ordres, il percevait la prise de confiance de ses hommes et l'effroi que cela provoquait en face. Il aperçu Athos qui éliminait les derniers carabiniers à coups d'épée et lui fit un signe de la tête avant de hurler :
- Chargez !
Et les coups de fusils cessèrent au profit des bruissement de métal, des cinglements d'épées et des hurlements bestiaux.
Les corps tombaient dans le mélange de boue et de pavés du parvis ravagé.
Au centre de la lutte, Athos faisait danser sa lame de bois, infligeant contusions et fractures à ses adversaires tandis que les Miliciens les achevaient à coups de poignards et de baïonettes.
Lorsque la place s'enfonça doucement dans le silence, Athos planta son arme dans le sol et s'adressa à Dante :
- Je t'avais ordonné de ne pas utiliser leur chef comme arme... on aurait pu s'en servir.
Dante décocha un coup de pied boudeur à la cloche inerte.
- Vous ne respectez vraiment rien... Soupira la commandant.
Dernière édition par Martin- le Jeu 23 Juin 2016 - 0:16, édité 3 fois
Martin-- Écritoirien émasculé
- Messages : 368
Date d'inscription : 12/11/2015
Age : 28
Localisation : Toulouse (la ville rôse, ouais)
Re: La bataille du parvis
Bonjour Martin... N'hésite pas à relire et corriger ton texte, car il y a beaucoup de fautes, des mots en double ou absents, une ponctuation qui laisse à désirer !
Peux-tu mettre quelques mots en ouverture du texte, en italique par exemple, pour expliquer un peu le contexte et les personnages, car on est un peu perdu par la quantité de noms, de type d'armes, etc...
Après je te relirai volontiers pour te dire ce que j'en pense
Peux-tu mettre quelques mots en ouverture du texte, en italique par exemple, pour expliquer un peu le contexte et les personnages, car on est un peu perdu par la quantité de noms, de type d'armes, etc...
Après je te relirai volontiers pour te dire ce que j'en pense
Re: La bataille du parvis
Bien,
Tout d'abord, ce n'est pas si long que ça. Je suis à peu près certain d'avoir fait plus long dans les ateliers.
Ensuite, j'ai fait abstraction des coquilles et autres fautes pour me concentrer sur le fond du texte. Il mérite une franche relecture.
Donc dans le fond, ta scène fonctionne plutôt bien. Le rythme est soutenu, les dialogues efficaces. Il y a peut-être un peu trop de verbes être (sans compter les auxiliaires), mais tu varies assez bien la construction de tes phrases.
Au début, j'ai eu un peu de mal à situer l'action (je suppose qu'ils sont dans l'église), puis à comprendre pourquoi le commandant et une des pièces maîtresses des miliciens se trouvaient hors de l'action.
Ensuite, "Le sol détrempé était ravagé par les obus et les grenades qui avaient martelé le sol pendant plusieurs minutes.", j'aurais coupé après grenades. J'aime beaucoup les détails et les phrases longues, mais là, cette précision temporelle m'a paru superflue. C'est sans doute parce que c'est la seule de ton texte. C'est une ébauche de contexte dans une histoire qui n'en a pas.
Le coup du poste d'observation aurait mérité un peu plus d'explication. (les arcades sont en hauteur, par exemple, ou la vue est plus dégagée du fait de la disposition des autres bâtiments)
Les volets qui tombent, pourquoi pas, mais les volets de quoi ? Parce qu'en dehors de l'église on n'a pas vraiment d'autre élément de décor, et que je n'ai jamais vu d'église avec des volets (après, je n'ai pas tout vu non plus).
Je n'ai pas bien saisi si l'épée de bois servait à tuer les ennemis (hautement improbable) ou simplement à les bastonner (et dans ce cas, je comprends mal l'intérêt). Et surtout, tu n'as pas besoin de répéter "de bois" à chaque occurrence.
Au final, un atelier réussi.
Tout d'abord, ce n'est pas si long que ça. Je suis à peu près certain d'avoir fait plus long dans les ateliers.
Ensuite, j'ai fait abstraction des coquilles et autres fautes pour me concentrer sur le fond du texte. Il mérite une franche relecture.
Donc dans le fond, ta scène fonctionne plutôt bien. Le rythme est soutenu, les dialogues efficaces. Il y a peut-être un peu trop de verbes être (sans compter les auxiliaires), mais tu varies assez bien la construction de tes phrases.
Au début, j'ai eu un peu de mal à situer l'action (je suppose qu'ils sont dans l'église), puis à comprendre pourquoi le commandant et une des pièces maîtresses des miliciens se trouvaient hors de l'action.
Ensuite, "Le sol détrempé était ravagé par les obus et les grenades qui avaient martelé le sol pendant plusieurs minutes.", j'aurais coupé après grenades. J'aime beaucoup les détails et les phrases longues, mais là, cette précision temporelle m'a paru superflue. C'est sans doute parce que c'est la seule de ton texte. C'est une ébauche de contexte dans une histoire qui n'en a pas.
Le coup du poste d'observation aurait mérité un peu plus d'explication. (les arcades sont en hauteur, par exemple, ou la vue est plus dégagée du fait de la disposition des autres bâtiments)
Les volets qui tombent, pourquoi pas, mais les volets de quoi ? Parce qu'en dehors de l'église on n'a pas vraiment d'autre élément de décor, et que je n'ai jamais vu d'église avec des volets (après, je n'ai pas tout vu non plus).
Je n'ai pas bien saisi si l'épée de bois servait à tuer les ennemis (hautement improbable) ou simplement à les bastonner (et dans ce cas, je comprends mal l'intérêt). Et surtout, tu n'as pas besoin de répéter "de bois" à chaque occurrence.
Au final, un atelier réussi.
K²- — Kmarade Carré — Rassembleur de points perdus
- Messages : 1307
Date d'inscription : 27/03/2014
Age : 41
Localisation : Montarroi
Re: La bataille du parvis
Martin qui s'aventure dans les ateliers, ça mérite une lecture !^^
Alors, certes, quelques petites erreurs (surtout des mots répétés comme "leur leur feu liquide"), répétition "terrifié" aussi, mais une lecture qui sort de ce que tu nous offres habituellement, tout en gardant tout de même ta personnalité. Je ne sais pas pourquoi mais ça m'était familier à la lecture : la couleur, l'ambiance, bref ça sonnait "Martin"
J'ai moi aussi tiqué sur l'épée de bois (déjà dans l'atelier de Gernier, on y a eu droit, c'est comme la rouquine de l'autre atelier ). Et sur la cloche, mais la fin du coup est non seulement excellente mais en plus ça nous renvoie au début avec la scène du crucifix, et là on comprend toute l'ampleur de ton ouverture. Et surtout ça nous offre une belle tranche de rigolade dans un contexte qui n'est pourtant pas spécialement poilant, ils ne respectent vraiment rien
Bref, j'ai bien aimé et tu t'en sors carrément bien sur cet atelier qui me fait encore un peu peur.
Alors, certes, quelques petites erreurs (surtout des mots répétés comme "leur leur feu liquide"), répétition "terrifié" aussi, mais une lecture qui sort de ce que tu nous offres habituellement, tout en gardant tout de même ta personnalité. Je ne sais pas pourquoi mais ça m'était familier à la lecture : la couleur, l'ambiance, bref ça sonnait "Martin"
J'ai moi aussi tiqué sur l'épée de bois (déjà dans l'atelier de Gernier, on y a eu droit, c'est comme la rouquine de l'autre atelier ). Et sur la cloche, mais la fin du coup est non seulement excellente mais en plus ça nous renvoie au début avec la scène du crucifix, et là on comprend toute l'ampleur de ton ouverture. Et surtout ça nous offre une belle tranche de rigolade dans un contexte qui n'est pourtant pas spécialement poilant, ils ne respectent vraiment rien
Bref, j'ai bien aimé et tu t'en sors carrément bien sur cet atelier qui me fait encore un peu peur.
Raven- — — Bouteuse de trains — — Disciple de la présente ligne
- Messages : 5782
Date d'inscription : 04/05/2015
Age : 48
Localisation : au fond à droite
Re: La bataille du parvis
paulux a écrit:Bonjour Martin... N'hésite pas à relire et corriger ton texte, car il y a beaucoup de fautes, des mots en double ou absents, une ponctuation qui laisse à désirer !
Peux-tu mettre quelques mots en ouverture du texte, en italique par exemple, pour expliquer un peu le contexte et les personnages, car on est un peu perdu par la quantité de noms, de type d'armes, etc...
Après je te relirai volontiers pour te dire ce que j'en pense
C'est chose faite ! C'est vrai que j'aurais du relire avant de poster. En tout cas j'espère que le petit contexte éclaire un petit peu la situation.
@K² Merci pour tous les petits défauts que tu as pointés, ça méritait effectivement d'être relu pour de bon, je pense que je n'ai rien oublié cette fois !
@Raven : Hey merci ! (Je t'avoue que je ne vois pas trop ce que tu entends par "ça sonnait "Martin"" mais qu'importe haha !
Comme vous semblez tous avoir des questions au sujet de cette épée de bois (Notez que j'ai viré les répétitions lourdissimes de "épée de bois", j'ai expliqué vaguement dans le petit paragraphe en italique.
Martin-- Écritoirien émasculé
- Messages : 368
Date d'inscription : 12/11/2015
Age : 28
Localisation : Toulouse (la ville rôse, ouais)
Re: La bataille du parvis
Merci Martin pour ces modifications : grâce à ça, on s'immerge dès la première seconde dans l'histoire. J'aime bien l'aspect mélange entre armes à feu et grenades modernes, et le côté fantasy des combats à l'épée. Les personnages ont de l'aura et du charisme !
Il reste quelques erreurs : "unifièrent" j'aurais mis "unirent" ; "s'étaient amoncelés en comme" il doit manquer un mot à ce groupe de phrase ; "cintre" au lieu de "contre" ; "comme une grande mélopée" j'aurais enlevé le "grande".
Bon, maintenant on veut le reste du roman, lol
Il reste quelques erreurs : "unifièrent" j'aurais mis "unirent" ; "s'étaient amoncelés en comme" il doit manquer un mot à ce groupe de phrase ; "cintre" au lieu de "contre" ; "comme une grande mélopée" j'aurais enlevé le "grande".
Bon, maintenant on veut le reste du roman, lol
Re: La bataille du parvis
Eh bien, c'est du propre, ce petit texte !
Je ne reviendrais pas sur les coquilles, que d'autres ont déjà relevé, pour me concentrer sur l'essentiel : c'est bien écrit, c'est rythmé et vivant, on visualise bien la scène. Ton duo est plutôt improbable dans son genre mais fonctionne bien et ça donnerait presque un petit goût de reviens-y.
Juste pour savoir, tu as tiré ça d'un tout plus vaste ou tu as écrit ce texte juste pour l'atelier ? Dans les deux, c'est tout de même franchement bien fait et perso la longueur ne m'a pas dérangé. On peut penser qu'écrire une scène de bataille ou de duel n'a rien de très compliqué, mais en fait c'est tout le contraire et surtout en si peu de lignes.
Atelier réussi, pour ma part !
Je ne reviendrais pas sur les coquilles, que d'autres ont déjà relevé, pour me concentrer sur l'essentiel : c'est bien écrit, c'est rythmé et vivant, on visualise bien la scène. Ton duo est plutôt improbable dans son genre mais fonctionne bien et ça donnerait presque un petit goût de reviens-y.
Juste pour savoir, tu as tiré ça d'un tout plus vaste ou tu as écrit ce texte juste pour l'atelier ? Dans les deux, c'est tout de même franchement bien fait et perso la longueur ne m'a pas dérangé. On peut penser qu'écrire une scène de bataille ou de duel n'a rien de très compliqué, mais en fait c'est tout le contraire et surtout en si peu de lignes.
Atelier réussi, pour ma part !
Tak- Mélomane des Ondes Noires
Disciple des Livres de Sang - Messages : 6299
Date d'inscription : 01/12/2012
Age : 42
Localisation : Briançon, Hautes-Alpes
Re: La bataille du parvis
Tak a écrit:
Juste pour savoir, tu as tiré ça d'un tout plus vaste ou tu as écrit ce texte juste pour l'atelier ? Dans les deux, c'est tout de même franchement bien fait et perso la longueur ne m'a pas dérangé. On peut penser qu'écrire une scène de bataille ou de duel n'a rien de très compliqué, mais en fait c'est tout le contraire et surtout en si peu de lignes.
Atelier réussi, pour ma part !
Héhé merci beaucoup, Tak !
pour tout te dire en fait, les deux personnages principaux sont tirés d'un roman sur lequel je travaille en ce moment. En fait je suis en train de m'attaquer à une sorte de roman de fantasy un peu steam-punkesque. Le texte est plus noir et dur que ce que j'ai présenté dans cet atelier. Donc en soi la scène est totalement inventée pour votre petit forum mais les personnages ont un fond plus massif quelque part dans un fichier word.
Martin-- Écritoirien émasculé
- Messages : 368
Date d'inscription : 12/11/2015
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