Fumer, ou ne pas fumer

Tiens encore un texte qui m'avait échappé ! Carmin met au jour des choses fort intéressantes. Il est vraiment sympa ton texte, Catherine. Très pessimiste certes, mais bien trouvé. Et bien sûr bien écrit : cela se lit en un temps record et nous touche tous, que nous fumions nous-mêmes ou pas.

J'ai noté que le prénom de la femme s'agrandit d'un l à la fin.

Pour ceux qui fument et aimeraient arrêter:

Merci à toi pour ce texte !

Avant de partir, un petit remerciement pour ta lecture Petit-Carmin. Je l'avais oublié ce petit texte.

Et merci à toi aussi Mormir.

Perso, je n'ai pas l'intention d'arrêter pour le moment. Ça viendra peut-être un jour, mais pas maintenant.

Salut Catherine !

Comme d'autres, le titre a attiré mon attention et même s'il n'est pas à ton goût, il a au moins le mérite certain de titiller la curiosité.

J'ai bien aimé lire cette succession de deux réalités parallèles dont la fin commune est la mort, quelque soit le chemin choisit.
Ça m'évoque qu'il y aurait une mort programmée pour chacun, le point final incontournable et auquel on ne peut échappé, en dépit de nos efforts mais aussi de nos laisser-aller. C'est fataliste, oui, mais en même temps ça nous laisse toute liberté dans la manière d'acheminer vers la fin, un peu comme les duels de jadis où on avait le choix des armes à défaut de celui des règles.  

En ce qui me concerne, je suis fumeur parce qu'anxieux et que ça m'apaise, ce qui n'aide pas mes poumons mais m'évite sans doute un ulcère ou/et des problèmes cardiaques. Comment savoir si arrêter serait mieux pour moi, ne changerait strictement rien ou serait bien pire encore ?
L'un dans l'autre, chacun fait ses choix et trouve son équilibre comme il peut, tout en sachant que l’excès peut tout déséquilibrer. Mais ce qui est excès pour certain peut être équilibre pour d'autres, car que dire des fumeurs, parfois acharnés, qui ont passé les 80 ans et qui n'ont jamais développés de cancer du poumon ?
Le fonctionnement de chacun ne devrait pas tomber sous le coup d'une généralité, la réalité n'a de cesse de contredire ce postula.
Je pense qu'il faut assumer nos penchants et vivre en accord avec eux (du moment que ça ne fait de mal à personne d'autre), sans culpabiliser, sereinement et ça, c'est une attitude qui est très bonne pour la santé (et, je le pense, le secret des fumeurs qui font de très vieux os ! : p ).

Un bon texte qui de surcroît suscite des réflexions intéressantes, ça me plaît ! ^ ^