Le drame des roues
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Naëlle
Perroccina
Tak
Cancereugène
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Re: Le drame des roues
Pour ma part, ça a très bien marché (j'ai failli dire "tout roule" mais trop facile), comme tu décris les gens qui filment avec leurs portables, les caméras du parking etc. ça me semblait évident qu'il ne s'agissait que d'un fantasme sinon il ne s'en serait pas sorti à si bon compte. Rien à redire, j'adore la chute, qui du coup nous remet le titre en tête et le justifie doublement. Nickel. (Juste un peu surprise sur le coup de te voir écrire avec autant de violence, ça change de ce que j'ai lu de toi jusque là, j'aime bien me faire surprendre comme ça).
Quiconque lit la présente ligne s’engage à chanter Petit Papa Noël à l'envers chaque soir à minuit jusqu'au 25 décembre.
Raven- — — Bouteuse de trains — — Disciple de la présente ligne
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Re: Le drame des roues
Surprise de la violence de Cancereugène ! Ah c'est sûr qu'il te manque quelques uns de ses récits alors. Faut pas oublier qu'il a été publié dans Dimension Trash et dans Morts, dents, lames II, deux anthologies bien tournées là-dessus. Mais le bougre a plus d'une corde à son arc.
Inventrice du "rocueil", le mixte entre le roman et le recueil.
"J'ai lu. Je sais même pas quoi dire tellement je suis atterrée.
Et le pire c'est que j'ai aimé te lire." Raven sur "Yin et yang"
"Merci de m'avoir donné envie de vomir !" Nao76 sur "Yin et yang"
"Ton texte m'avait fait penser à un film allemand atroce que j'avais vu plus jeune : Nekromantik !" Polo sur "Trafic de cadavres"
Re: Le drame des roues
C'est vrai que je n'ai pas lu grand chose de Cancer (3 textes il me semble, 4 max), et maintenant que tu le dis, je crois que c'est une idée préconçue que je me suis faite après l'avoir vu, je crois que sinon ça ne me surprendrait pas autant.
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Raven- — — Bouteuse de trains — — Disciple de la présente ligne
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Re: Le drame des roues
Merci à vous !
Je me rends compte qu'il ressemble à Donna, ce texte. Avec un développement inversé, mais il fonctionne un peu de la même façon.
Si un jour tu tombes dessus, Raven, tu verras qu'il est également violent.
D'ailleurs, si ma fabuleuse oeuvre t'intéresse, je publie des textes courts sur mon blog, en lien sur mon profil...
Je me rends compte qu'il ressemble à Donna, ce texte. Avec un développement inversé, mais il fonctionne un peu de la même façon.
Si un jour tu tombes dessus, Raven, tu verras qu'il est également violent.
D'ailleurs, si ma fabuleuse oeuvre t'intéresse, je publie des textes courts sur mon blog, en lien sur mon profil...
Re: Le drame des roues
Ah oui j'avais oublié, j'y avais fait un tour à mon inscription après avoir lu Ma douce, j'y retournerai à l'occasion.
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Raven- — — Bouteuse de trains — — Disciple de la présente ligne
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Re: Le drame des roues
Sans doute la fatigue mais j'avais pas bien compris l'histoire.
Comme Françoise à l'époque, le "il" du début me faisait pensé à un homme, j'avais pas percuté que ça renvoyait à un verre.
Et puis, va savoir pourquoi, j'ai cru que le personnage qu'on suivait était une femme durant la première partie du texte (avant de relire la première ligne où il est bien noté "assis" au masculin). Je pense que le "il" du début, me faisant penser à un homme, qui regarde le personnage avec colère, m'a fait penser à un couple en froid en fait.
Ensuite j'ai bien remis que le personnage principal était un homme. Donc adieu la femme qui tabasse la maitresse de son mari par vengeance, et on oublie l'homme qui le regarde avec colère aussi (j'avais toujours pas compris à ce stade, mais je me suis dit que je ferais mieux de faire sans cette info pour me concentrer sur le texte). Reste donc un psychopathe qui défonce une femme dans un parking. Et ensuite, une fois revenu de ses souvenirs sanglants, il maudit sa victime d'avoir survécu (comment a-t-elle survécu à une telle attaque ? ça c'est une autre histoire), d'avoir surmonté le traumatisme de son agression et d'être heureuse maintenant. Alors que lui ne peut plus tuer personne depuis un accident mystérieux qui l'a collé dans un fauteuil.
Voilà pour ce que j'avais compris avant de lire les commentaires. J'étais du coup totalement à côté de la plaque. A mon avis, ça tient surtout à la fatigue, et un peu aussi à ce "il" qui m'a jeté sur une fausse piste involontaire dès le début.
L'agression en délire alcoolique, j'arrive pas à savoir ce qui a bloqué pour moi, ce qui a fait que j'ai pensé à un souvenir et pas un "fantasme".
Après, malgré ce malentendu général, j'ai trouvé le style toujours aussi percutant. La scène de l'agression est parfaitement maitrisée et très bien faite.
Marrant de voir que Raven était surprise de ce texte violent, j'ai pour ma part toujours associé tes textes (à quelques exceptions près) à des ambiances sanglantes.
Comme Françoise à l'époque, le "il" du début me faisait pensé à un homme, j'avais pas percuté que ça renvoyait à un verre.
Et puis, va savoir pourquoi, j'ai cru que le personnage qu'on suivait était une femme durant la première partie du texte (avant de relire la première ligne où il est bien noté "assis" au masculin). Je pense que le "il" du début, me faisant penser à un homme, qui regarde le personnage avec colère, m'a fait penser à un couple en froid en fait.
Ensuite j'ai bien remis que le personnage principal était un homme. Donc adieu la femme qui tabasse la maitresse de son mari par vengeance, et on oublie l'homme qui le regarde avec colère aussi (j'avais toujours pas compris à ce stade, mais je me suis dit que je ferais mieux de faire sans cette info pour me concentrer sur le texte). Reste donc un psychopathe qui défonce une femme dans un parking. Et ensuite, une fois revenu de ses souvenirs sanglants, il maudit sa victime d'avoir survécu (comment a-t-elle survécu à une telle attaque ? ça c'est une autre histoire), d'avoir surmonté le traumatisme de son agression et d'être heureuse maintenant. Alors que lui ne peut plus tuer personne depuis un accident mystérieux qui l'a collé dans un fauteuil.
Voilà pour ce que j'avais compris avant de lire les commentaires. J'étais du coup totalement à côté de la plaque. A mon avis, ça tient surtout à la fatigue, et un peu aussi à ce "il" qui m'a jeté sur une fausse piste involontaire dès le début.
L'agression en délire alcoolique, j'arrive pas à savoir ce qui a bloqué pour moi, ce qui a fait que j'ai pensé à un souvenir et pas un "fantasme".
Après, malgré ce malentendu général, j'ai trouvé le style toujours aussi percutant. La scène de l'agression est parfaitement maitrisée et très bien faite.
Marrant de voir que Raven était surprise de ce texte violent, j'ai pour ma part toujours associé tes textes (à quelques exceptions près) à des ambiances sanglantes.
20 minutes avant la tombe - Confession d'un mort - Les rêveurs de Somnore - La nuit derrière la porte - La dame aux yeux vides
"Je questionnai l'un de ces hommes, et je lui demandai où ils allaient ainsi. Il me répondit qu'il n'en savait rien, ni lui, ni les autres; mais qu'évidemment ils allaient quelque part, puisqu'ils étaient poussés par un invincible besoin de marcher." Baudelaire, Chacun sa chimère
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