URBEX

J'ai bien aimé, mais j'ai trouvé le récit un peu court. La fin arrive un peu rapidement, et je trouve que c'est une idée qui mériterait un développement un peu plus long. Ou en tout cas ça me plairait d'en lire un peu plus !
C'est entraînant sinon, mais c'est vrai que la scène des flics dans le salon est un peu surréaliste.

Une tres bonne histoire, bien ecrite dans le style efficace et percutant que j'aime chez toi. J'ai apprecié le truc avec les crânes à la fin.
L'histoire nous porte jusqu'à l'appartement sans s'essoufler. Mais là je n'ai pas trouvé le livre, c'est dommage. Dautant que tu aurais pu t'en sortir en prenant par exemple " un livre dont vous êtes le héros."
Juste un point, je n'ai pas compris le principe de la vague de suicides : que l'adolescent boutonneux programme la mort de tous les curieux qui ouvrent son appli, pourquoi pas mais les gens n'ont aucune raison de se suicider.
Une très bonne impression malgré tout.

Merci Perro. Je peux te garantir que certains se suicideront en connaissant la date de leur trépas. Y en a même qui se sont flingués avant le 21 décembre 2012, jour de l'apocalypse maya.

Coucou Zaroff !

Autant le dire de suite : je n'ai pas tellement accroché ni sur le fond ni sur la forme.

Sur la forme : comme dit par les coupaings, des dialogues qui font faux, des scènes auxquels je n'ai pas cru, des scènes qui n'apportent rien, un style auquel je n'ai pas trop accroché, et en même temps beaucoup de clichés de polar qui ne faisaient pas "vrais".

Sur le fond : pas compris : c'est une application qui prédit l'avenir ou pas ? Pourquoi le type meurt alors qu'il ne devait pas (si je comprends bien, il a tapé le nom d'un autre ?) C'est maudit ou ça se contente de donner la date de la mort ? Si ça se contente de donner la date, ça doit être juste, donc tu ne dois pas pouvoir te suicider, sauf si c'est marqué "suicide" ? Et puis, je ne suis pas fan des fins où on présente un personnage qui complote contre tout le monde sans qu'on en sache rien...

Par contre, insérer des images, des têtes de morts et l'image de l'application dans le texte, je trouve que ça fait un peu amateur... Pas une bonne idée à mon avis.

Désolée,
Bises,
Eimelle

Pas grave. Merci pour ton avis.

Une histoire bien menée, avec un rythme enlevé et une narration concise. Les personnages sont caractérisés juste comme il faut et la chute arrive à point nommé. Du bon boulot, si l’on excepte quelques légèretés dans les dialogues et le flou de la scène de l’escalier.

Concernant le thème du concours, je trouve qu’il est respecté. Certes, on peut toujours chipoter sur le fait que le contenu de la liseuse soit une application et non un texte à proprement parler, mais dans ce cas que faire de tous ces vieux grimoires remplis de formules magiques, « applications » de leur époque ?

Merci à toi. Ce récit ne franchira pas les siècles, mais je me suis bien marré à l'écrire.

Ah, je retrouve là le style sec et burné de Zaroff, ça fait plaisir !
Quand même je ne suis pas très client de polars, c'est fait avec tant de cœur qu'on ne peut pas bouder son plaisir. C'est bien écrit, sec (déjà dit mais pas grave lol) et ça va droit à l'essentiel, sans faire de chichis. Après, j'aurais apprécié une part fantastique plus développée dans cette histoire - surtout que l'idée de base est très bonne - mais en l'état y'a quand même de quoi faire pour passer un bon moment.
Les dialogues sonnent justes (peut-être hormis certains passages, assez rares toutefois, un peu trop "écrits" là où une bonne gouaille aurait suffit), la relation entre les deux flics est crédible et l'ambiance est là. Le seul truc qui m'a un peu chiffonné, perso, c'est que tu tenais avec ton idée d'exploration urbaine, de quoi faire une histoire à elle seule, alors qu'ici elle se trouve reléguée en arrière-plan. Dommage parce que c'est un thème assez riche de possibilités, je pense.*

Donc voilà, hormis un ou deux détails, j'ai pris beaucoup de plaisir à lire ce texte Zaroffien

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*D'ailleurs, tu as posé un copyright pour une future histoire là-dessus, ou bien.. ?

Merci Takounet. Non, pas de copyright.