Un dernier amour avant la prose

Poème encore en vers classique avant que je ne m’essaye à la prose.

Quelques mots de votre obligé

Elle est là,simplement devant moi,
Ce simple fait crée mon émoi.
Je ne peux d'elle me détourner
Et je ne peux cesser de l'aimer.

Elle,j'en ai fait ma philosophie
Ô,belle âme,tu rythmes ma vie !
Madame,je suis votre obligé,
Mon âme veut par vous être aimé.

Ne vous l'avais-je pas déjà dit ?
Mais,cette annonce rien ne vous fît ?
Vous n'y aviez trouvée rien à dire,
Moi,perplexe,sans rien à prédire...

J'ai tellement réponse attendu
Que mon âme à jamais s'est perdue.
Madame,je vous ai tant aimé,
Que mon cœur continu d'espérer...

Je dis,mais vous n'en avez que faire...

Un petit plus pour la tentative de dialogue.
Pour le reste, tu répètes en gros ce que tu as déjà dit ailleurs.
Tu dois pouvoir trouver mieux.

Il y a trop de mots, par endroits, Rowan.

Ton vers :
Je dis,mais vous n'en avez que faire...

Ne serait-il pas plus beau ainsi :
Je dis,mais n'en avez que faire...

Ou mieux :
Je dis, vous n'en avez que faire...

Jack-the-rimeur a écrit:Un petit plus pour la tentative de dialogue.
Pour le reste, tu répètes en gros ce que tu as déjà dit ailleurs.
Tu dois pouvoir trouver mieux.

Ce poème en effet est ,très similaire au précédent ,je voulais essayer de changer quelques points qui étaient problématique ,sa longueur ainsi que l'absence quasi-totale de dialogue ,même si pour le cas ,il n'est pas encore parfaitement exempt de remarque