Stella
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Stella
nouvelle extraite du recueil "l'Echelle des jours"
A l’aube du troisième millénaire, on ne comptait plus les pays ensevelis sous la glace. La température moyenne frisait les -50° Fahrenheit. L’Europe ressemblait à une banquise. Il n’y avait aucun signe de vie humaine sur son périmètre. Les peuples s’étaient entretués jusqu’au dernier survivant, au nom de la domination et de l’appropriation des territoires émergents. Le Mont Blanc avait été escaladé par des hordes sauvages qui avaient fini par disparaître entièrement. La famine et les massacres avaient décimé presque tous les peuples.
Je faisais partie d’un groupe d’hommes chargés de la maintenance de la navette Eripio. La colonisation d’une nouvelle planète, baptisée Stella, se poursuivait tant bien que mal. En grand secret, les dirigeants du monde avaient financé ce projet audacieux grâce à la mobilisation de quelques prix Nobel, d’éminents scientifiques, de philosophes, médecins, humoristes, écrivains et poètes. Deux ans avaient suffi pour expérimenter la fusée. Elle ne tarderait pas à venir chercher le dernier maillon de la chaîne humaine réfugié en Australie. Curieusement la hausse du niveau de la mer avait été plus faible ici qu’ailleurs. Les centrales nucléaires ne fonctionnaient plus. Aucune fuite radioactive n’avait été décelée. Les menaces de destruction n’en étaient pas moins prises au sérieux. A Melbourne, les gens menaient une existence normale. Personne n’était informé des évènements. Les outils de communication ordinaires étaient silencieux. Nulle réponse ne parvenait suite aux appels incessants lancés par les autorités. New-York, Londres, Paris, Berlin, Rome, Madrid, la liste des capitales disparues s’allongeait de jour en jour.
Garder le moral en tant que scientifique averti relevait de l’exploit. En réalité, je doutais que la navette atterrisse à temps. Je comptais les jours sur les doigts d’une main. Ma famille était sur Stella. Skype marchait encore. Kate, mon épouse et mes filles, les jumelles, que j’avais surnommées les princesses, à juste titre tant elles étaient choyées, m’appelaient chaque soir. J’appréhendais le moment où l’Australie sombrerait à son tour dans les flots glacés d’un tsunami mondial. Je rêvais d’Eripio chaque nuit. Elle décollait sans moi ou bien elle percutait un iceberg au large des côtes. Mon cauchemar était permanent si bien que dès mon réveil, je me précipitai sur mes écrans de contrôle.
Mes radars brassaient le vide, un vide de plus en plus concentrique dont les manifestations se rapprochaient de Perth. J’habitais un grand deux pièces au dernier étage d’un immeuble. Depuis la terrasse donnant sur l’océan indien, je pouvais observer tous les phénomènes annonciateurs de l’engloutissement de l’île. Côté ciel, c’était le désert de Gobi. Aucun avion, pas de navette interplanétaire !
Tout doucement, je me laissai glisser dans une sorte d’inconscience fataliste. Mes recherches étaient au point mort. Je me prélassais au soleil, bercé par le flux régulier des vagues de l’océan indien. Mes princesses étaient avec moi et ma femme me chérissait. J’aurais voulu les serrer encore une fois dans mes bras. Mes collègues cafardaient et se livraient à des excès en tous genres. Nous étions voisins. Chaque soir, ils faisaient la fête avec des filles sorties de nulle part. Je restai dans l’ombre, peu enclin aux joutes sexuelles arrosées de mauvais vins.
Je me disais que le temps était venu de réfléchir sur sa vie puisque, d’un jour à l’autre, elle s’éteindrait à jamais. Un soir particulièrement bruyant du côté des appartements occupés par mes amis, je ressentis des ondes telluriques de forte amplitude. Un bruit sourd émanant de la terre me fit craindre un séisme dévastateur. Les prémices de la fin me dis-je avec une délectation morbide. Peu après, je reçus un appel provenant de Stella. Je me ruai sur l’écran pour m’identifier ; Mes princesses apparurent. Elles me demandèrent quand j’arrivais. Elles avaient plein de choses à raconter. Elles se plaisaient bien sur Stella. Elles regrettaient un peu la terre car tout y était naturel. Sur Stella on créait artificiellement un univers qui ressemblait à celui de la Terre. L’herbe était trop verte, le ciel trop bleu et l’eau trop transparente. Je les embrassais à distance. Leurs bras se tendaient vers moi. Je coupai la communication pour qu’elles ne me voient pas pleurer.
Deux jours plus tard, le tsunami mondial redouté dévasta l’Australie qui fut d’un seul coup submergée par des vagues monumentales. Je me sentis emporté par les eaux mugissantes. J’entrai dans un monde parallèle. Les masses liquides se séparaient pour former un passage où je progressai machinalement. J’avançai vers ce qui me sembla être le cœur du grand mystère. Des pulsations m’environnaient. Symboles de la vie ; je m’étonnai d’en ressentir les frémissants battements. Mais l’interrogation suprême restait sans réponse : quel était le mystère de la vie et de la mort ? En fin de compte, je cessai progressivement de me poser ces questions spirituelles. Je n’étais plus matière mais pur esprit. J’avais atteint le non être. Ma conscience s’endormit peu à peu.
Parfois, résonnait en moi le nom familier de Stella mais j’avais oublié ce qu’il signifiait.
A l’aube du troisième millénaire, on ne comptait plus les pays ensevelis sous la glace. La température moyenne frisait les -50° Fahrenheit. L’Europe ressemblait à une banquise. Il n’y avait aucun signe de vie humaine sur son périmètre. Les peuples s’étaient entretués jusqu’au dernier survivant, au nom de la domination et de l’appropriation des territoires émergents. Le Mont Blanc avait été escaladé par des hordes sauvages qui avaient fini par disparaître entièrement. La famine et les massacres avaient décimé presque tous les peuples.
Je faisais partie d’un groupe d’hommes chargés de la maintenance de la navette Eripio. La colonisation d’une nouvelle planète, baptisée Stella, se poursuivait tant bien que mal. En grand secret, les dirigeants du monde avaient financé ce projet audacieux grâce à la mobilisation de quelques prix Nobel, d’éminents scientifiques, de philosophes, médecins, humoristes, écrivains et poètes. Deux ans avaient suffi pour expérimenter la fusée. Elle ne tarderait pas à venir chercher le dernier maillon de la chaîne humaine réfugié en Australie. Curieusement la hausse du niveau de la mer avait été plus faible ici qu’ailleurs. Les centrales nucléaires ne fonctionnaient plus. Aucune fuite radioactive n’avait été décelée. Les menaces de destruction n’en étaient pas moins prises au sérieux. A Melbourne, les gens menaient une existence normale. Personne n’était informé des évènements. Les outils de communication ordinaires étaient silencieux. Nulle réponse ne parvenait suite aux appels incessants lancés par les autorités. New-York, Londres, Paris, Berlin, Rome, Madrid, la liste des capitales disparues s’allongeait de jour en jour.
Garder le moral en tant que scientifique averti relevait de l’exploit. En réalité, je doutais que la navette atterrisse à temps. Je comptais les jours sur les doigts d’une main. Ma famille était sur Stella. Skype marchait encore. Kate, mon épouse et mes filles, les jumelles, que j’avais surnommées les princesses, à juste titre tant elles étaient choyées, m’appelaient chaque soir. J’appréhendais le moment où l’Australie sombrerait à son tour dans les flots glacés d’un tsunami mondial. Je rêvais d’Eripio chaque nuit. Elle décollait sans moi ou bien elle percutait un iceberg au large des côtes. Mon cauchemar était permanent si bien que dès mon réveil, je me précipitai sur mes écrans de contrôle.
Mes radars brassaient le vide, un vide de plus en plus concentrique dont les manifestations se rapprochaient de Perth. J’habitais un grand deux pièces au dernier étage d’un immeuble. Depuis la terrasse donnant sur l’océan indien, je pouvais observer tous les phénomènes annonciateurs de l’engloutissement de l’île. Côté ciel, c’était le désert de Gobi. Aucun avion, pas de navette interplanétaire !
Tout doucement, je me laissai glisser dans une sorte d’inconscience fataliste. Mes recherches étaient au point mort. Je me prélassais au soleil, bercé par le flux régulier des vagues de l’océan indien. Mes princesses étaient avec moi et ma femme me chérissait. J’aurais voulu les serrer encore une fois dans mes bras. Mes collègues cafardaient et se livraient à des excès en tous genres. Nous étions voisins. Chaque soir, ils faisaient la fête avec des filles sorties de nulle part. Je restai dans l’ombre, peu enclin aux joutes sexuelles arrosées de mauvais vins.
Je me disais que le temps était venu de réfléchir sur sa vie puisque, d’un jour à l’autre, elle s’éteindrait à jamais. Un soir particulièrement bruyant du côté des appartements occupés par mes amis, je ressentis des ondes telluriques de forte amplitude. Un bruit sourd émanant de la terre me fit craindre un séisme dévastateur. Les prémices de la fin me dis-je avec une délectation morbide. Peu après, je reçus un appel provenant de Stella. Je me ruai sur l’écran pour m’identifier ; Mes princesses apparurent. Elles me demandèrent quand j’arrivais. Elles avaient plein de choses à raconter. Elles se plaisaient bien sur Stella. Elles regrettaient un peu la terre car tout y était naturel. Sur Stella on créait artificiellement un univers qui ressemblait à celui de la Terre. L’herbe était trop verte, le ciel trop bleu et l’eau trop transparente. Je les embrassais à distance. Leurs bras se tendaient vers moi. Je coupai la communication pour qu’elles ne me voient pas pleurer.
Deux jours plus tard, le tsunami mondial redouté dévasta l’Australie qui fut d’un seul coup submergée par des vagues monumentales. Je me sentis emporté par les eaux mugissantes. J’entrai dans un monde parallèle. Les masses liquides se séparaient pour former un passage où je progressai machinalement. J’avançai vers ce qui me sembla être le cœur du grand mystère. Des pulsations m’environnaient. Symboles de la vie ; je m’étonnai d’en ressentir les frémissants battements. Mais l’interrogation suprême restait sans réponse : quel était le mystère de la vie et de la mort ? En fin de compte, je cessai progressivement de me poser ces questions spirituelles. Je n’étais plus matière mais pur esprit. J’avais atteint le non être. Ma conscience s’endormit peu à peu.
Parfois, résonnait en moi le nom familier de Stella mais j’avais oublié ce qu’il signifiait.
[J'éprouve un sentiment baigné de chaleur lumineuse et de plénitude. Alors je danse, je danse en écoutant ma musique intérieure.[/i]
Anouk
Re: Stella
J'ai du mal à visualiser une humanité qui aurait les moyens technologiques de terraformer une planète extrasolaire mais pas de mettre ses derniers survivants terrestres à l'abri en attendant l'évacuation finale (ne serait-ce que sous les glaces des contrées déjà submergées). Le récit baigne dans un climat fataliste et quasi-suicidaire dont je ne vois pas la justification et la petite note métaphysique de la fin parachève le flou artistique de l'ensemble.
Une apocalypse sans grande consistance et un peu trop fade à mon goût, lequel bien sûr n'engage que moi.
Une apocalypse sans grande consistance et un peu trop fade à mon goût, lequel bien sûr n'engage que moi.
"Car il faut avant tout sortir, ne fût-ce qu'un instant, de la prison sans portes ni fenêtres."
Maurice MAETERLINCK
Jack-the-rimeur- — — Zonard crépusculaire — — Disciple d'Ambrose Bierce
- Messages : 2415
Date d'inscription : 23/01/2013
Age : 71
Localisation : Narbonne
réponse Stella
Jack oui c'est mon point de vue un peu tiré par les cheveux mais j'ai voulu montrer que l'actuelle état moral de l'humanité n'est pas au beau fixe c'est le moins qu'on puisse dire.
les élites sont la plupart du temps privilégiées et bénéficient d'un plan de survie. Les pannes techniques de la fusée retour sont envisageables. Et le sentiment de l'équipe et plus particulièremenft de mon personnage, consiste à attendre l'évènement fatal d'une manière opposée, dans la fête ou le recueillement. C'est évidemment une version de fin du monde soft et peu vraisemblable. Mais je l'ai voulue ainsi...
les élites sont la plupart du temps privilégiées et bénéficient d'un plan de survie. Les pannes techniques de la fusée retour sont envisageables. Et le sentiment de l'équipe et plus particulièremenft de mon personnage, consiste à attendre l'évènement fatal d'une manière opposée, dans la fête ou le recueillement. C'est évidemment une version de fin du monde soft et peu vraisemblable. Mais je l'ai voulue ainsi...
[J'éprouve un sentiment baigné de chaleur lumineuse et de plénitude. Alors je danse, je danse en écoutant ma musique intérieure.[/i]
Anouk
Re: Stella
Oui, une atmosphère plus qu'un récit.
D'un autre côté le fatalisme et le découragement ouvrent des boulevards aux "sauveurs" auto-proclamés. Peut-être n'avons-nous que ceux que nous méritons.
D'un autre côté le fatalisme et le découragement ouvrent des boulevards aux "sauveurs" auto-proclamés. Peut-être n'avons-nous que ceux que nous méritons.
"Car il faut avant tout sortir, ne fût-ce qu'un instant, de la prison sans portes ni fenêtres."
Maurice MAETERLINCK
Jack-the-rimeur- — — Zonard crépusculaire — — Disciple d'Ambrose Bierce
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Age : 71
Localisation : Narbonne
Re: Stella
Bonjour,
Je viens de finir de lire cette histoire et j'avoue que je la trouve difficilement crédible, à cause d'un excès d'incohérences. Pourquoi l'Australie est-elle épargnée ? D'autres territoires sont-ils épargnés ? A un moment, tu dis que les habitants ne savent pas ce qu'il se passe ailleurs sur la planète...Pourtant, ils sont en communication avec Stella ? Pourquoi ne reçoivent-ils pas les informations au fur et à mesure, surtout s'il y a la fille et la femme du personnage embarquées ? D'ailleurs comment se sont-elles retrouvées là ? Qui est autorisé à aller sur Stella d'ailleurs ? Tu cites un ensemble hétéroclite de personnes qui n'ont rien à voir entre elles : entrepreneurs, politiques, poètes... Je ne suis pas sûr que les poètes fassent vraiment partie des élites...Et puis comment est arrivée l'apocalypse ?Pourquoi ? Qu'est ce qui l'a déclenché ? Et puis, le personnage principal est complètement passif : il attend sa mort, voilà tout. Pourquoi il ne se bat pas pour retrouver sa fille et sa femme ? Car le cœur d'une histoire, c'est quand-même, je pense, l'ensemble des actions qu'un personnage déploie pour se sortir d'une situation, même si ces actions sont par ailleurs vouées à l'impuissance...
Bref, un texte qui pose plus de questions qu'il en résout, je trouve...C'est dommage.
Je viens de finir de lire cette histoire et j'avoue que je la trouve difficilement crédible, à cause d'un excès d'incohérences. Pourquoi l'Australie est-elle épargnée ? D'autres territoires sont-ils épargnés ? A un moment, tu dis que les habitants ne savent pas ce qu'il se passe ailleurs sur la planète...Pourtant, ils sont en communication avec Stella ? Pourquoi ne reçoivent-ils pas les informations au fur et à mesure, surtout s'il y a la fille et la femme du personnage embarquées ? D'ailleurs comment se sont-elles retrouvées là ? Qui est autorisé à aller sur Stella d'ailleurs ? Tu cites un ensemble hétéroclite de personnes qui n'ont rien à voir entre elles : entrepreneurs, politiques, poètes... Je ne suis pas sûr que les poètes fassent vraiment partie des élites...Et puis comment est arrivée l'apocalypse ?Pourquoi ? Qu'est ce qui l'a déclenché ? Et puis, le personnage principal est complètement passif : il attend sa mort, voilà tout. Pourquoi il ne se bat pas pour retrouver sa fille et sa femme ? Car le cœur d'une histoire, c'est quand-même, je pense, l'ensemble des actions qu'un personnage déploie pour se sortir d'une situation, même si ces actions sont par ailleurs vouées à l'impuissance...
Bref, un texte qui pose plus de questions qu'il en résout, je trouve...C'est dommage.
Eimelle- — — — Jungle girl — — — Bazooka fou dans l'intimité
- Messages : 1537
Date d'inscription : 17/10/2013
Age : 38
Re: Stella
Moi aussi j'ai l'impression de rester sur ma fin. L'idée de base était prometteuse mais le développement et les incohérences citées plus haut ainsi la direction prise par l'histoire ne parviennent pas à lui donner sa valeur.
Côté positif, le style est agréable et le texte se lit facilement, il faut juste veiller à ce que l'enchaînement s événements soit plus logique.
Côté positif, le style est agréable et le texte se lit facilement, il faut juste veiller à ce que l'enchaînement s événements soit plus logique.
"Ils nous pissent dessus et ils ne nous font même pas croire qu'il pleut." Dr Augustine, Avatar
Perroccina- — — — — E.T à moto — — — — Disciple asimovienne
- Messages : 4109
Date d'inscription : 26/12/2012
Age : 59
Localisation : Béarn
Re: Stella
À moins que j’aie mal compris certains éléments, il y a des incohérences qui me paraissent de taille.
La première est le choix de la première personne, qui entraîne :
Ou alors, si ce projet était secret, pourquoi attendre la mobilisation de personnalités pour le financer ?
Il y a aussi le problème de la navette. Si j’ai bien suivi, elle est opérationnelle. Au point d’avoir déjà emmené plusieurs terriens sur une planète. Sur Terre, sa base de lancement risque d’être détruite par les derniers cataclysmes. Pourquoi n’est-elle pas sur Stella, ainsi que les techniciens chargés de sa maintenance ?
Comme je l’écrivais au début, il est possible que j’aie mal compris.
La première est le choix de la première personne, qui entraîne :
Le problème est que ton narrateur en parle depuis plusieurs lignes, de Stella : comment peut-il parler de ce qu’il a oublié ?J’avais atteint le non être. Ma conscience s’endormit peu à peu.
Parfois, résonnait en moi le nom familier de Stella mais j’avais oublié ce qu’il signifiait.
Pourquoi financer en grand secret un projet soutenu par des personnalités publiques ?En grand secret, les dirigeants du monde avaient financé ce projet audacieux grâce à la mobilisation de quelques prix Nobel, d’éminents scientifiques, de philosophes, médecins, humoristes, écrivains et poètes.
Ou alors, si ce projet était secret, pourquoi attendre la mobilisation de personnalités pour le financer ?
Alors comment le narrateur arrive-t-il à communiquer avec sa famille ? Son Skype a besoin d’émettre vers Stella, donc de tourner sur un ordinateur… qui a besoin d’électricité. À moins que l’électricité ne soit générée par d’autres moyens, mais tu n’en parles pas.Les centrales nucléaires ne fonctionnaient plus.
Il y a aussi le problème de la navette. Si j’ai bien suivi, elle est opérationnelle. Au point d’avoir déjà emmené plusieurs terriens sur une planète. Sur Terre, sa base de lancement risque d’être détruite par les derniers cataclysmes. Pourquoi n’est-elle pas sur Stella, ainsi que les techniciens chargés de sa maintenance ?
Comme je l’écrivais au début, il est possible que j’aie mal compris.
RaphaëlLIII- Apprenti égorgeur
- Messages : 88
Date d'inscription : 25/09/2013
Age : 47
RE Stella
Pardon pour le retard de ma réponse
Quelques bonnes questions effectivement.
Ce récit est utopique et reflète la confusion inévitable devant le cataclysme final.
Les sommités terriennes ont été mises à l'abri dans le désordre.
la navette est en panne sur Stella.
Je n'ai pas dit que le nucléaire était totalement détruit disons aux trois quarts.
Subsistent les éoliennes et les générateurs.
Bref un point technique important.
En final, il se souvient du nom Stella mais sa signification est devenue obscure mon personnage est inconscient.
Merci
Quelques bonnes questions effectivement.
Ce récit est utopique et reflète la confusion inévitable devant le cataclysme final.
Les sommités terriennes ont été mises à l'abri dans le désordre.
la navette est en panne sur Stella.
Je n'ai pas dit que le nucléaire était totalement détruit disons aux trois quarts.
Subsistent les éoliennes et les générateurs.
Bref un point technique important.
En final, il se souvient du nom Stella mais sa signification est devenue obscure mon personnage est inconscient.
Merci
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Anouk
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