Premiers rayons
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Premiers rayons
Je crois bien que c'est le premier texte un peu joyeux que j'écris... C'est un poéme qui parle d'amour. En amour j'ai connu de belles hostoires aux fins pas toujours drôles et au cheminement généralement assez douloureux. Je crois qu'en fait je n'avais jamais été aimé à la hauteur que ce que j'aimais que ce que j'attendais... Mais aujourd'hui tout semble très différent. Je vis actuellement un amour réciproque et ce tableau n'est assombrit que par la distance qui me sépare de ma bien aimée. Distance qui fond au fur et à mesure que nous grandissons et gagnons en indépendance...
Premier rayons
Le tranchant bleu du ciel s'émousse,
La brise glaciale se fait un peu plus douce.
La neige se teinte d'or et se met à couler
D'abord en gouttes, puis en un ruisseau fluet.
Qui serpente doucement entre les pavés.
Alors un rayon timide vient me souffler une gerbe d'or au visage.
Je savoure sa chaleur au travers de ce quo fut et sera feuillages...
Il me réchauffe l'âme et exalte lès odeurs de la terre.
Et sous ce regard brillant, d'une rue à une ruelle, je erre.
Je déambule, accompagné par une brise tiède et parfumée
De relents d'herbe, de fleurs, de rivière. De gaieté.
La caresse furtive du vent me rappelle celle de ses cheveux,
Ses épaules, sa bouche et son cou où se sont déposés nombre de ses baisers.
Et son corps contre le mien. Et la douceur et notre bonheur.
Et j'attend fébrile l'instant où nous pourrons encore nous aimer.
Elle aussi je le sais, compte les jours et les heures.
Qui nous séparent cruellement pour mieux nous rapprocher.
Et bientôt viendront les beaux jours et bientôt nous pourrons nous aimer.
Comme je l'aime, comme elle m'aime. Et comme nous sommes heureux...
Le tranchant bleu du ciel s'émousse,
La brise glaciale se fait un peu plus douce.
La neige se teinte d'or et se met à couler
D'abord en gouttes, puis en un ruisseau fluet.
Qui serpente doucement entre les pavés.
Alors un rayon timide vient me souffler une gerbe d'or au visage.
Je savoure sa chaleur au travers de ce quo fut et sera feuillages...
Il me réchauffe l'âme et exalte lès odeurs de la terre.
Et sous ce regard brillant, d'une rue à une ruelle, je erre.
Je déambule, accompagné par une brise tiède et parfumée
De relents d'herbe, de fleurs, de rivière. De gaieté.
La caresse furtive du vent me rappelle celle de ses cheveux,
Ses épaules, sa bouche et son cou où se sont déposés nombre de ses baisers.
Et son corps contre le mien. Et la douceur et notre bonheur.
Et j'attend fébrile l'instant où nous pourrons encore nous aimer.
Elle aussi je le sais, compte les jours et les heures.
Qui nous séparent cruellement pour mieux nous rapprocher.
Et bientôt viendront les beaux jours et bientôt nous pourrons nous aimer.
Comme je l'aime, comme elle m'aime. Et comme nous sommes heureux...
Invité- Invité
Re: Premiers rayons
Merveilleux de simplicité et de fraîcheur.
Ma vieille sève en rebourgeonnerait presque.
Très jolie composition, Martin.
Attention quand même aux coquilles et à des petits trucs comme "je erre"...
Cela devrait être dans tes cordes.
Ma vieille sève en rebourgeonnerait presque.
Très jolie composition, Martin.
Attention quand même aux coquilles et à des petits trucs comme "je erre"...
Cela devrait être dans tes cordes.
Jack-the-rimeur- — — Zonard crépusculaire — — Disciple d'Ambrose Bierce
- Messages : 2415
Date d'inscription : 23/01/2013
Age : 71
Localisation : Narbonne
Re: Premiers rayons
Merci beaucoup Jack
Oui... des coquilles il y en a encore, je passerai les corriger plus tard.
Oui... des coquilles il y en a encore, je passerai les corriger plus tard.
Invité- Invité
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