La Poupée de porcelaine
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La Poupée de porcelaine, c'est...
La Poupée de porcelaine
Ça faisait un moment que je cherchais un AT auquel je pourrais envoyer une nouvelle déjà écrite, juste comme ça, pour voir ce que ça donnerait. Je suis tombée sur l'AT Différences de Griffe d'Encre, dont l'intitulé est ici. La Poupée de porcelaine semblant plus ou moins convenir à ce qui est demandé, je l'ai remaniée pour qu'elle soit présentable.
Conclusion, elle ne ressemble plus vraiment à la nouvelle que j'ai montrée il y a quelques années (même si le fond est toujours là), donc ceux qui l'ont déjà lue peuvent la relire sans problème. J'ai pris en compte tout ce qu'on m'avait dit à l'époque.
EDIT: Je supprime le lien jusqu'à ce que j'aie une réponse de Griffe d'Encre.
EDIT 2: Réponse négative reçue, donc je remets le texte à disposition à peu près huit millions d'années plus tard! (Désolée!)
Bonne lecture!
Conclusion, elle ne ressemble plus vraiment à la nouvelle que j'ai montrée il y a quelques années (même si le fond est toujours là), donc ceux qui l'ont déjà lue peuvent la relire sans problème. J'ai pris en compte tout ce qu'on m'avait dit à l'époque.
EDIT: Je supprime le lien jusqu'à ce que j'aie une réponse de Griffe d'Encre.
EDIT 2: Réponse négative reçue, donc je remets le texte à disposition à peu près huit millions d'années plus tard! (Désolée!)
Bonne lecture!
Dernière édition par Naëlle le Sam 19 Juil 2014 - 22:40, édité 2 fois
Naëlle- — — Madone des Ombres — — Disciple de la Discipline
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Re: La Poupée de porcelaine
J'ai bien aimé l'atmosphère mélancolique qui se dégage du récit. C'est une écriture contemporaine qui fleure bon l'ancien. Tu as un style qui me rappelle mes Marabout Fantastique ! Sauf que
- Spoiler:
- la réaction de Sophie me semble disproportionnée. Elle connait à peine cet homme, elle se trompe sur son destin et prend un choix extrême aussitôt après.
Re: La Poupée de porcelaine
Quelle rapidité, Zaroff!
Marabout Fantastique? *fait une recherche* Wouoh! Y a des auteurs bien connus dans la liste. Mais c'est drôle, t'es pas le seul à m'avoir fait cette remarque (que ça sonne XIXe siècle). Pourtant, c'est totalement inconscient de ma part. Et t'es pas le seul non plus à
Didier: Ok!
Marabout Fantastique? *fait une recherche* Wouoh! Y a des auteurs bien connus dans la liste. Mais c'est drôle, t'es pas le seul à m'avoir fait cette remarque (que ça sonne XIXe siècle). Pourtant, c'est totalement inconscient de ma part. Et t'es pas le seul non plus à
- Spoiler:
- trouver la réaction de Sophie disproportionnée. J'ai essayé de l'amener du mieux que je pouvais. Pour une fois qu'elle se confie à quelqu'un, elle doit le voir "mourir". Alors c'est trop pour elle et elle décide d'en finir parce que "la vie, c'est de la merde
et je vous emmerde" et qu'elle a aucun espoir que ça s'améliore par la suite.
Didier: Ok!
Naëlle- — — Madone des Ombres — — Disciple de la Discipline
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Re: La Poupée de porcelaine
Lu.
L'histoire tient la route pour moi, mais y'a quand même deux trois trucs que je regrette. D'abord que le trait ne soit pas plus forcé dans le dramatique (l'annonce du suicide de la fille le méritait), ou le romantique. Un gars et une fille, qui se rapprochent doucement, sous un orage, tu peux lancer Unchained melody, ça passe. Parce que c'est ce que je regrette le plus dans ton texte, un ton assez monocorde tout du long. Il manque quelques moments plus forts pour secouer le lecteur et lui marquer l'esprit. Et du coup sortir un peu du lot pour l'AT.
Comme il a été dit, l'atmosphère fait vieillote. Faute à la narration en première personne sans doute. Ce n'est pas génant, mais il faudrait soit le préciser clairement, soit revoir les dialogues, parce qu'on s'imagine que c'est contemporain, mais les persos ne parlent pas comme des djeun's, du coup, on ne sait pas trop quand ça se passe. Pour moi, un ado romantique qui dessine une fille sur la plage, qui se déplace en vélo, ça fait (dans mon imaginaire à moi, hein, vous marrez pas les autres) années 70-80.
Un dernier truc qui me gène un peu, c'est la paragraphe explicatif de la "différence" de la demoiselle. Un gros pavé qui dévoile tout. Pof. Et après, on passe à la suite. Devait-elle le lui dire ? Elle aurait pu le garder pour elle, vivre sa nuit d'amour avec le gars, et après le suicide, ce serait la mère qui lui aurait avoué qu'elle voyait l'avenir, et qu'elle avait vu la "mort" de son amoureux. Ca réservais la clé de l'histoire pour la fin et marquait un peu plus l'esprit. Et en plus, ça justifiait le suicide de Sophie. Obligée de supporter le poids de cette malédiction, et en plus de perdre le seul qui comptait pour elle. D'autant que la réaction de Tom (c'est bien ça ?) à l'annonce de sa mort imminente ne semble pas lui vriller un poil de fesse.
Je vois rien d'autre pour le moment. Et ce que je dis, c'est évidemment passé au filtre de ma sensibilité et de ma technique, à toi de séparer le grain de l'ivraie.
L'histoire tient la route pour moi, mais y'a quand même deux trois trucs que je regrette. D'abord que le trait ne soit pas plus forcé dans le dramatique (l'annonce du suicide de la fille le méritait), ou le romantique. Un gars et une fille, qui se rapprochent doucement, sous un orage, tu peux lancer Unchained melody, ça passe. Parce que c'est ce que je regrette le plus dans ton texte, un ton assez monocorde tout du long. Il manque quelques moments plus forts pour secouer le lecteur et lui marquer l'esprit. Et du coup sortir un peu du lot pour l'AT.
Comme il a été dit, l'atmosphère fait vieillote. Faute à la narration en première personne sans doute. Ce n'est pas génant, mais il faudrait soit le préciser clairement, soit revoir les dialogues, parce qu'on s'imagine que c'est contemporain, mais les persos ne parlent pas comme des djeun's, du coup, on ne sait pas trop quand ça se passe. Pour moi, un ado romantique qui dessine une fille sur la plage, qui se déplace en vélo, ça fait (dans mon imaginaire à moi, hein, vous marrez pas les autres) années 70-80.
Un dernier truc qui me gène un peu, c'est la paragraphe explicatif de la "différence" de la demoiselle. Un gros pavé qui dévoile tout. Pof. Et après, on passe à la suite. Devait-elle le lui dire ? Elle aurait pu le garder pour elle, vivre sa nuit d'amour avec le gars, et après le suicide, ce serait la mère qui lui aurait avoué qu'elle voyait l'avenir, et qu'elle avait vu la "mort" de son amoureux. Ca réservais la clé de l'histoire pour la fin et marquait un peu plus l'esprit. Et en plus, ça justifiait le suicide de Sophie. Obligée de supporter le poids de cette malédiction, et en plus de perdre le seul qui comptait pour elle. D'autant que la réaction de Tom (c'est bien ça ?) à l'annonce de sa mort imminente ne semble pas lui vriller un poil de fesse.
Je vois rien d'autre pour le moment. Et ce que je dis, c'est évidemment passé au filtre de ma sensibilité et de ma technique, à toi de séparer le grain de l'ivraie.
Re: La Poupée de porcelaine
L'absence de dramatique et de romantisme est voulu. Je déteste ça, en fait, donc j'ai lissé le plus possible les scènes potentiellement ridicules. Je comprends que ce soit monocorde, du coup... Et ça, c'est embêtant.
Ça fait un moment que je suis confrontée à un gros souci avec les dialogues. Quand j'ai commencé à écrire, j'étais adepte du dialogue réaliste, avec l'absence de négation, le langage familier, les tournures lourdes, etc. Puis je me suis peu à peu dit que c'était peut-être pas une très bonne idée parce que je voyais certains auteurs qui réussissaient à faire des dialogues oraux en gardant un style courant, donc je suis revenue à des dialogues plus "corrects", qui gardent un fond oral (absence d'inversion sujet + verbe dans une phrase interrogative, par exemple) mais avec le retour de la négation.
C'est pas bête, ce que tu dis. Bon, ça m'obligerait à revoir toute la nouvelle, mais c'est pas bête.
Merci de ta lecture, Didier!
Ça fait un moment que je suis confrontée à un gros souci avec les dialogues. Quand j'ai commencé à écrire, j'étais adepte du dialogue réaliste, avec l'absence de négation, le langage familier, les tournures lourdes, etc. Puis je me suis peu à peu dit que c'était peut-être pas une très bonne idée parce que je voyais certains auteurs qui réussissaient à faire des dialogues oraux en gardant un style courant, donc je suis revenue à des dialogues plus "corrects", qui gardent un fond oral (absence d'inversion sujet + verbe dans une phrase interrogative, par exemple) mais avec le retour de la négation.
(Pardon!) Là, je peux rien pour toi... J'utilise régulièrement mon vélo au printemps et en été, c'est pas une pratique de vieux! Mais c'est drôle, parce qu'initialement le gars avait un scooter, mais j'ai changé pour le vélo parce que je trouvais justement que, comme ça, Thomas était moins... "ancré" dans la société? C'est peut-être idiot, mais pour moi, quelqu'un qui a un scooter, c'est plus pour épater la galerie qu'autre chose (bon, ça peut arriver que ce soit plus pratique parce qu'on doit se rendre à Tatouine-les-Oies régulièrement, mais en l'occurrence c'est pas le cas). Tu noteras tout de même qu'il a un portable.Didier a écrit:Pour moi, un ado romantique qui dessine une fille sur la plage, qui se
déplace en vélo, ça fait (dans mon imaginaire à moi, hein, vous marrez
pas les autres) années 70-80.
C'est pas bête, ce que tu dis. Bon, ça m'obligerait à revoir toute la nouvelle, mais c'est pas bête.
Merci de ta lecture, Didier!
Naëlle- — — Madone des Ombres — — Disciple de la Discipline
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Localisation : Sur la Lune
Re: La Poupée de porcelaine
Bon, moi je viens de lire et j'ai bien aimé dans l'ensemble.
Le style "vieillot" n'est pas déplaisant en ce qui me concerne, même si ça manque peut-être de quelques fulgurances dans la plume (je sais pas, peut-être quelques images poétiques auraient-elles eu leur place). Mais globalement, non, c'est une bonne histoire, je me suis pas ennuyé un seul instant.
Par contre, y'a juste un truc qui m'a un peu gêné :
Après voilà, c'est une broutille mais sinon j'ai trouvé cette histoire plutôt sympathique et bien racontée.
Le style "vieillot" n'est pas déplaisant en ce qui me concerne, même si ça manque peut-être de quelques fulgurances dans la plume (je sais pas, peut-être quelques images poétiques auraient-elles eu leur place). Mais globalement, non, c'est une bonne histoire, je me suis pas ennuyé un seul instant.
Par contre, y'a juste un truc qui m'a un peu gêné :
- Spoiler:
- si elle tenait autant que ça à Thomas, pourquoi ne lui a-t-elle pas annoncé sa vision avant qu'il ne parte ? Son pouvoir a-t-il quelque chose d'inéluctable (genre s'il était pas mort de cette façon, de toute façon ça aurait été autre chose) ? Y'a-t-il une notion de destinée inchangeable ? Parce que le pouvoir ok, mais après faut voir la façon dont toi-même tu l'appréhendes. Envisages-tu, dans le domaine de cette nouvelle, un destin fixé et immuable ou vision de l'avenir qui pourrait être changée ? Dans ce cas, il faut aussi changer les réactions et les agissements de tes personnages en conséquence.
Après voilà, c'est une broutille mais sinon j'ai trouvé cette histoire plutôt sympathique et bien racontée.
Tak- Mélomane des Ondes Noires
Disciple des Livres de Sang - Messages : 6299
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Re: La Poupée de porcelaine
Mmh, il faudra visiblement que je précise les choses par rapport à ce "pouvoir", je me suis trop centrée sur l'histoire d'amour.
Merci de ta lecture, Tak!
- Spoiler:
- Sophie est un personnage passif et pessimiste. Elle n'aime pas ses visions et elle les fuit comme la peste, les ignore, donc elle ne sait pas si c'est possible de les empêcher ou si ça ne fait que retarder l'inéluctable. Comme elle est pessimiste, elle part du principe que, quoi qu'elle fasse, ça ratera. Donc ça ne sert à rien de le dire à Thomas, elle préfère s'en aller en silence.
Merci de ta lecture, Tak!
Naëlle- — — Madone des Ombres — — Disciple de la Discipline
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Re: La Poupée de porcelaine
Naëlle a écrit:
- Spoiler:
Comme elle est pessimiste, elle part du principe que, quoi qu'elle fasse, ça ratera. Donc ça ne sert à rien de le dire à Thomas, elle préfère s'en aller en silence.
- Spoiler:
- Ah oui, donc pour elle c'est clairement une fatalité. Mais voilà, si tu prenais le truc sous l'angle "on peut influer sur son destin", ben du coup son suicide n'aurait plus lieu d'être... Mais du coup, tu serais également obligée de changer la fin et la chute de ton histoire (sans parler de certains traits de caractères de ton héroïne) et je comprends que ça te fasse chier lol
Enfin voilà, c'est juste un détail qui a capté mon attention (et aussi parce que j'adore ce genre d'histoires où les personnages peuvent modifier leurs destinés).
Tak- Mélomane des Ondes Noires
Disciple des Livres de Sang - Messages : 6299
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Localisation : Briançon, Hautes-Alpes
Re: La Poupée de porcelaine
Voilà, t'as tout compris Si j'avais écrit cette nouvelle aujourd'hui, à 21 ans, plutôt qu'à 17 (ou 16, je sais plus), c'est clair que ça se finirait pas comme ça.
Naëlle- — — Madone des Ombres — — Disciple de la Discipline
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Localisation : Sur la Lune
Re: La Poupée de porcelaine
Comme c'est un peu calme ce soir, j'en ai profité pour lire ta nouvelle. Je l'ai trouvée excellente, bien mieux que ne le laissaient supposer les avis exprimés au-dessus.
Eviter les dialogues trop réalistes ? tu as raison, ils vieillissent mal.
Le style feutré, descriptif, à l'émotivité contrôlée, s'accorde parfaitement avec la personnalité du narrateur, un garçon timide et réservé, porté sur la mélancolie mais plus observateur que rêveur.
En outre, j'ai une autre lecture, un peu personnelle, de cette histoire : j'y vois non pas une acceptation, mais un refus de la fatalité de la part de la fille.
Dans sa vision, le garçon n'est ni blessé, ni sur un lit d'hôpital, il est mort. Et ses visions se réalisent toujours. Dès lors, son suicide peut s'interpréter, non plus comme un acte de désespoir, mais de révolte. Si elle pense que son don n'est pas une simple fenêtre sur l'avenir, si elle croit que c'est parce qu'elle voit des choses que celles-ci finissent par se réaliser, alors, en supprimant la source de ces visions (elle-même), c'est la fatalité qu'elle fait disparaître. Sous cet angle, elle se sacrifie pour lui sauver la vie, puisant dans cet amour même la force d'accomplir son geste.
Bon, ce n'est peut-être pas exactement l'optique de l'auteur, mais elle ne manque pas d'un certain charme et rien, dans l'histoire telle qu'elle est racontée, ne la contredit formellement. Penses-y, Naëlle, si un jour tu envisageais de la remanier...
Bonsoir, miss, j'ai passé un excellent moment en ta compagnie.
Eviter les dialogues trop réalistes ? tu as raison, ils vieillissent mal.
Le style feutré, descriptif, à l'émotivité contrôlée, s'accorde parfaitement avec la personnalité du narrateur, un garçon timide et réservé, porté sur la mélancolie mais plus observateur que rêveur.
En outre, j'ai une autre lecture, un peu personnelle, de cette histoire : j'y vois non pas une acceptation, mais un refus de la fatalité de la part de la fille.
Dans sa vision, le garçon n'est ni blessé, ni sur un lit d'hôpital, il est mort. Et ses visions se réalisent toujours. Dès lors, son suicide peut s'interpréter, non plus comme un acte de désespoir, mais de révolte. Si elle pense que son don n'est pas une simple fenêtre sur l'avenir, si elle croit que c'est parce qu'elle voit des choses que celles-ci finissent par se réaliser, alors, en supprimant la source de ces visions (elle-même), c'est la fatalité qu'elle fait disparaître. Sous cet angle, elle se sacrifie pour lui sauver la vie, puisant dans cet amour même la force d'accomplir son geste.
Bon, ce n'est peut-être pas exactement l'optique de l'auteur, mais elle ne manque pas d'un certain charme et rien, dans l'histoire telle qu'elle est racontée, ne la contredit formellement. Penses-y, Naëlle, si un jour tu envisageais de la remanier...
Bonsoir, miss, j'ai passé un excellent moment en ta compagnie.
Jack-the-rimeur- — — Zonard crépusculaire — — Disciple d'Ambrose Bierce
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Re: La Poupée de porcelaine
Oui, il y a une certaine part de révolte, dans son geste. Mais le désespoir est bien présent aussi.
Ravie que la nouvelle t'ait plu, Jack! Merci de l'avoir lue
C'est un peu égocentrique comme pensée, quand même. J'avais pas du tout imaginé la chose de cette manière-là.[color=white]Jack-the-rimeur[/color] a écrit:si elle croit que c'est parce qu'elle voit des choses que celles-ci
finissent par se réaliser, alors, en supprimant la source de ces visions
(elle-même), c'est la fatalité qu'elle fait disparaître.
Ravie que la nouvelle t'ait plu, Jack! Merci de l'avoir lue
Naëlle- — — Madone des Ombres — — Disciple de la Discipline
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Age : 32
Localisation : Sur la Lune
Re: La Poupée de porcelaine
Bien sûr que le geste est désespéré, mais sa mort n'est plus une simple fuite, c'est un acte de rébéllion.
Egocentrique ? Sans doute. Mais comment ne pas devenir un peu parano quand, depuis son plus jeune âge, on doit vivre en permanence avec cette malédiction ? Et si elle donne sa vie en espérant qu'ainsi, le garçon échappera peut-être à la fatalité de sa vision, que ne peut-on lui pardonner ?
J'aime ces nouvelles où les personnages échappent par la bande à la volonté de l'auteur pour raconter une autre histoire que celle à laquelle ils étaient destinés. C'est un des charmes de la création. Tu verras, ça t'arrivera encore. Et ça n'a rien d'une malédiction. Au contraire.
Salut.
Egocentrique ? Sans doute. Mais comment ne pas devenir un peu parano quand, depuis son plus jeune âge, on doit vivre en permanence avec cette malédiction ? Et si elle donne sa vie en espérant qu'ainsi, le garçon échappera peut-être à la fatalité de sa vision, que ne peut-on lui pardonner ?
J'aime ces nouvelles où les personnages échappent par la bande à la volonté de l'auteur pour raconter une autre histoire que celle à laquelle ils étaient destinés. C'est un des charmes de la création. Tu verras, ça t'arrivera encore. Et ça n'a rien d'une malédiction. Au contraire.
Salut.
Jack-the-rimeur- — — Zonard crépusculaire — — Disciple d'Ambrose Bierce
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Localisation : Narbonne
Re: La Poupée de porcelaine
Merci Naelle, d'avoir remis le lien vers ce texte. Je l'ai lu et j'ai compris pourquoi tu disais qu'il est moins bon que "Au beau milieu d'un rêve". Il l'est effectivement en toute objectivité, mais il est porteur d'un potentiel d'amélioration certain si tu te sens le courage de le reprendre. L'histoire est belle, mais trop linéaire. Les réactions du héros ne me semblent pas toujours logiques. Il y a quelques problèmes de conjugaison. L'ensemble fait que l'on lit le récit sans se sentir proche de ses protagonistes/
Cela dit, j'attends avec impatience le prochain texte hors concours de ta part. Faudrait d'ailleurs voir à pas trainer pour reprendre l'écriture - la vraie ! Parce qu'à ton âge avancé, tu n'as plus que 70 ou 80 ans pour écrire ! Non mais des fois !!!
Cela dit, j'attends avec impatience le prochain texte hors concours de ta part. Faudrait d'ailleurs voir à pas trainer pour reprendre l'écriture - la vraie ! Parce qu'à ton âge avancé, tu n'as plus que 70 ou 80 ans pour écrire ! Non mais des fois !!!
mormir- — Arpenteur des mondes — Disciple de l'arbre noir
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Localisation : Près de Chartres
Re: La Poupée de porcelaine
Zut, j'avais pas vu ton message!
Ben merci, Mormir, ça me fait plaisir! Ouais, y a des trucs à modifier sur cette histoire, mais je me sens pas de le faire. Elle est trop vieille, ou plus exactement reflète un état d'esprit trop jeune, qui ne me correspond plus aujourd'hui.
En revanche, j'ai d'autres trucs en stock, que j'ai jamais postés ici. Mais il faudrait que je les reprenne avant de les mettre, histoire que les commentaires que j'ai eus ailleurs servent à quelque chose. Pas sûre d'avoir le temps...
Ben merci, Mormir, ça me fait plaisir! Ouais, y a des trucs à modifier sur cette histoire, mais je me sens pas de le faire. Elle est trop vieille, ou plus exactement reflète un état d'esprit trop jeune, qui ne me correspond plus aujourd'hui.
En revanche, j'ai d'autres trucs en stock, que j'ai jamais postés ici. Mais il faudrait que je les reprenne avant de les mettre, histoire que les commentaires que j'ai eus ailleurs servent à quelque chose. Pas sûre d'avoir le temps...
Naëlle- — — Madone des Ombres — — Disciple de la Discipline
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