Seuil critique (texte retiré)

Allez, je me lance dans la fosse...
Voici une petite bluette à la croisée de Terminator et de Short-circuit.
Bonne lecture.

Enfin un texte de cancereugene. J'ai hâte de le lire ce soir.

Edit : Tu ne peux pas nous mettre un PDF qu'on peut imprimer ?

J'ai lu ton texte,cancereugène et le moins qu'on puisse dire, c'est que c'est vachement bien écrit ! Rien à envier aux ténors du genre...

Il m'est arrivé une chose étrange : je me suis pris d'affection pour une machine... joli tour de force !

Trois bricoles : partimonie = parcimonie
gonts = gonds
cizailles = cisailles

Sinon, une fin qui aurait pu être plus inattendue mais une chouette prose : maîtrisée, mature et saisissante ! Bravo !

Merci pour les fautes, pagan, faut vraiment que je me relise... enfin, plus sérieusement en tout cas.
Pour le reste, merci aussi, j'essaie de rester sobre tout en plongeant mon récit dans un univers plus riche que je ne saurais le décrire...

Pour Zaroff : je ne vois pas ce que j'ai pu faire pour empêcher l'impression du document. Quand j'y vais, il me propose l'impression sans problème.
Ma méthode de mise en ligne :
J'écris sous Open Office. J'enregistre mon fichier, et je le convertis en PDF directement par Open Office. Ensuite, je vais sur le site de mise en ligne, et je poste mon fichier.
Je n'ai rien touché aux paramètres.

Est-ce normal qu'il n'y ait que 3 pages ? Et sur un fond noir ? C'est lorsque je télécharge que ça se présente ainsi et en tout petit ( les caractères ) !

Euh... non... (??)
Je ne sais que dire...

FRançoise GRDR a écrit:Est-ce normal qu'il n'y ait que 3 pages ? Et sur un fond noir ? C'est lorsque je télécharge que ça se présente ainsi et en tout petit ( les caractères ) !

Idem pour moi.

Moi aussi mais imprimé ça sort normal !

Je verrai demain !

L'écriture est agréable et vive, avec juste le reproche habituel pour nous, écrivains amateurs: un peu d'abus des adjectif et épithètes. On voit bien le robot, il a de la personnalité un peu comme un Wall-e de combat!

L'histoire par contre me laisse un peu sur ma faim: un peu linéaire, SG458 finalement subit les évènements jusqu'à l'explosion finale...Tout ça pour ça? Cette explosion si je comprends bien détruit les humains mais Vulcain lui aussi s'éteint par manque d'énergie...Qu'en est-il de la rébellion?

Lorsque SG458 parlemente avec l'humain pour obtenir de l'énergie, on se demande à quoi ça sert...Je trouve qu'il y avait là une occasion de faire rebondir l'histoire: SG458 aurait pu trouver le moyen, sans entrer en contradiction avec ses ordres, d'obtenir quelque chose et de repartir, ce qui aurait put provoquer un retournement final. Mais c'est dommage que ce ne soit pas le cas!

En tout cas pour un texte écrit en quelques heures c'est prometteur pour la suite!

Effectivement, le dialogue peut paraître de trop, je tenais quand même à l'insérer pour crédibiliser la situation. Le robot a besoin de quelque chose que les humains peuvent lui fournir, il doit donc parlementer. Il n'est pas hostile en cette situation, puisqu'ils se rend pour obtenir cette énergie. Maintenant, je comprends que ce ne soit pas emballant.
Tout ça pour ça, oui, un peu à l'image de cette guerre !
:assom:

Euh... j'aurais lu ton texte avec plaisir Cancer, mais je me suis retrouvé avec un truc minuscule illisible sur fond noir. Y'a moyen que tu mettes juste le fichier pdf en download ?

Voici une nouvelle version de cette histoire. J'ai surtout retravaillé le dénouement.

Je te donne un avis dès que possible.  

Bonsoir Cancereugène,

Beaucoup aimé ; Un  bon chapitre de guerre!

Donc dur de rentrer dans une histoire où l'action démarre de suite. Pourtant formidablement bien écris, on y voit le champ de bataille dans son ensemble bien rythmé ou le linéaire ne me dérange pas, surtout sur uniquement 6 pages.

La notion que l'humain existe lorsque qu'il prend conscience de la mort, et oui, pourquoi pas inoculer à une machine, un sentiment comme la peur entraînant, du coup la survie, est ce que j'ai préféré. (Même si il ne s'agit pas vraiment de Peur.).

Mon bémol, c'est vraiment par devoir que j'en trouve un:) :  Lorsque SG458 "discute avec son créateur", et bien j'ai trouvé ça un peu naïf, clair oui mais je verrais bien un monologue du créateur un peu plus obscur ou mystérieux pour le lecteur.

Voili, Voilou.

@bientôt