SIMPLE D'ESPRIT

Merci Blahom pour tes indications concernant tout ce que je pourrais corriger…
Il faut dire qu'avant d'envoyer ce texte sur le forum, j'ai eu la COVID (le 8 avril) alors que j'aurais aimé le retravailler, mais je n'arrivais pas à me concentrer, passant même des journées entières à dormir ! Bon, j'ai consacré un peu de temps lorsque j'allais mieux, vers le 15, mais pas assez ! Du coup, j'ai voulu le poster quand même, surtout que ma mère n'allant pas très bien réclamait que je reste auprès d'elle (nuit et jour). Elle va mieux depuis peu. J'avoue que je suis confuse d'avoir laissé d'aussi idiotes incohérences
La construction par contre serait la même et tu ne l'as pas trouvée pertinente. Je note tout ça.

Françoise : j'espère que les choses vont s'arranger pour toi. C'est déjà positif que tu aies été en mesure de nous proposer un texte en de telles circonstances.

Bonjour Françoise et bravo pour ton courage d’avoir participé dans ces conditions difficiles. Ce texte présente un certain nombre d’imperfections que des commentaires précédents ont relevés, dont une écriture qui semble parfois hâtive. Il reste malgré tout très intéressant.

Spoiler:

Merci beaucoup Tobermory de me livrer ton ressenti sur ce texte perfectible. La partie dont tu parles a surgi facilement de mon cerveau, sans savoir si elle ferait son effet. Je l'avais bien visualisée cette scène et je l'aime bien aussi. Le reste me paraît fade en comparaison. Il va falloir que je relise attentivement et en fonction des commentaires de chacun pour me faire une meilleure idée d'ensemble.
En tous cas, je suis contente que tu aies trouvé ta lecture intéressante.

Salut, Françoise !

Pour faire original, j'irais un peu dans le même sens que mes camarades : il y a de bonnes idées, le déroulé chronologique est plutôt bien vu et la scène du jeu "papa/maman" vu par l'esprit de Victor est très bien construite, amenant les révélations sur ce qui lui est arrivé en même temps qu'elle pose une jolie touche glauque à l'ensemble. Mais j'ai aussi été dérouté par les ultimes rebondissements, où l'action devient un brin confuse (je n'avais d'ailleurs pas du tout compris que l'ex-mari de la femme faisait partie des cadavres, peut-être pour que cela soit plus clair, pourrais-tu glisser quelques allusions sur ce personnage ici ou là, afin que l'on comprenne mieux où tu veux en venir).
Cela dit, il y a tout de même de très bonnes choses dans ce récit et un contraste de tons entre le début, plutôt léger, et la fin plus macabre, qui fonctionne très bien.
Quelques petites retouches à faire, mais dans le fond tout de même un texte intéressant, avec une jolie note d'intention.

Ah oui et au début de la page 6, "Louison" se transforme en "Noé", à revoir donc.

Sinon tu es bien dans le thème et tu l'abordes de façon intéressante, en passant par le handicap mental et tout ce que cela peut impliquer sur la cellule familiale (jusqu'à la folie meurtrière, où là tu extrapoles un peu, certes, mais je garde aussi à l'esprit que parfois la réalité des faits peut se montrer parfois plus choquante que la fiction).

Merci pour ton commentaire Tak, très constructif. Il sera urgent de corriger les imperfections laissées dans ce texte !
Ce que tu mets en avant (comme bonnes choses) est encourageant. J'ai ainsi l'espoir de pouvoir améliorer le rendu final (la V5).

J'ai beaucoup aimé le contexte, le gamin souffre-douleur qui se fait un copain chelou. Classique, mais efficace.
Il y a pas mal d'idées, même si certaines me semblent assez en décalage avec l'histoire racontée.

Exemple:

Au moment du dénouement, les idées se bousculent. j'ai pas mal tiqué sur le jeu que propose le rouquin :

Spoiler:

Le final laisse un goût amer, car après tout...

Spoiler:

Juste un truc : Louison change de prénom à un moment dans le texte. En page 6, il devient Noé. Cela m'a pas mal perturbé, car j'ai interrompu ma lecture, me disant que j'avais zappé un personnage. D'autant que l'enchaînement des phrases aurait très bien pu introduire un autre personnage. Mais non, au final, je pense qu'il s'agit bien du même Louison !

Salut Françoise ! : )

Ce récit a très bien fonctionné pour nous et on s'est laissé embarquer, sans vraiment être dérangé par les défauts qui ont été mentionnés (bon, sauf pour le fait que les deux frères ne se connaissaient pas alors qu'ils vivaient sous le même toit les cinq premières années, mais comme tu l'as dit, ça passe vu que l’aîné était enfermé à la cave et l'autre bridé dans ses activités).
Le joug de la mère est bien rendu et le contraste avec celle qui s'époumone à courir dans la neige est du plus bel effet, comme si elle se rappelait soudain qu'elle les aime plus que tout (en tout cas c'est comme ça que je l'ai ressenti).
La mort de Roxane, particulièrement, pince le cœur, pauvre petit bout... : (


Un très bon texte à mon sens, et qu'on a aimé lire : )

Merci Cancer : je prends note de toutes tes remarques et en effet, j'ai l'impression d'avoir survolé les difficultés ! J'avais donné ce prénom Noé à mon personnage au début, puis j'ai changé et zappé de changer à cette page 6
Merci Mémo : c'est inespéré que mon texte soit parvenu à fonctionner avec vous.

Merci Mémo : c'est inespéré que mon texte soit parvenu à fonctionner avec vous.

Ah bon, pourquoi ? lol

Maya : Pourtant une cave, l'autisme, un copain diablotin, ça à tout pour lui plaire ! xD

Je trouve que cette entrée a une grande qualité — la construction de ses personnages — et une grande faiblesse — la dramaturgie.

J’ai beaucoup aimé le côté « satire sociale » qu’on y retrouve, avec ce personnage de bourgeoise catholique, les références à l’ascenseur social… Cela évoque bien une certaine mentalité des classes supérieures de province. En revanche, je rejoins les commentaires qui ont déjà été faits sur l’intrigue et son dénouement.

Cela dit, je pense que cette configuration de défauts et de qualités est préférable à la configuration inverse : la dramaturgie, cela peut encore s’apprendre vite ; il existe des manuels, des essais de scénaristes qui détaillent les do's and don'ts… En revanche, il faut des années d’observation et une certaine sensibilité sociale pour peindre de beaux personnages. C’est quelque chose qui s’apprend moins facilement. Or, tu ne sembles éprouver aucune difficulté à ce niveau-là.

Merci beaucoup pour ton commentaire Similien qui m'éclaire sur ce qui est réussi ou pas ^^
Tu m'apprends qu'il ne me manque que ce qui est plus facile à acquérir...
Je vais de ce pas me former à la dramaturgie. Aurais-tu des titres de manuels à ce sujet ?

Ceux dont j'entends sans cesse parler, c'est L'Anatomie du scénario de John Truby, La Dramaturgie d'Yves Lavandier et Save the cat! de Blake Snyder (pas sûr que celui-là soit traduit en français). Mais je t'avoue que, moi-même, je ne les ai pas encore lus (alors que je devrais : on l'a encore vu tout récemment, les intrigues, ce n'est pas mon point fort).
Il y a aussi beaucoup de conseils en ligne, qui sont évidemment à prendre avec des pincettes…

L'Anatomie du scénario de John Truby, je l'ai acheté (sur les conseils avisés de Trantor), je l'avais commencé, mais c'est un gros pavé très dense, sans doute très enrichissant et il faudra que je le reprenne, parce que c'est super intéressant mais il y trop de choses, j'ai assez vite décroché.

Merci pour ces titres Similien (je vais essayer de me les procurer) Ça devrait m'aider.