Dialogue décapité
+16
paulux
Tobermory
Purple-fan
Cancereugène
FRançoise GRDR
Perroccina
Lyra
Paladin
Tak
Phanthom
Murphy Myers
Blahom
Mélodie Or
Catherine Robert
Trantor
Hellaz
20 participants
L'Écritoire des Ombres :: CONCOURS DE L'ÉCRITOIRE DES OMBRES :: Archives des concours :: Concours N°15 : Automne
Page 1 sur 3
Page 1 sur 3 • 1, 2, 3
Re: Dialogue décapité
Ah oui! Voilà un fort beau texte, ma foi! Il m'a pris par la main et m'a emmené sans doute là où tu voulais. Un beau sujet, une belle progression dans l'histoire, jusqu'à la scène finale, apocalyptique.
Et puis la chute (c'est le cas de le dire) dans le dernier paragraphe m'a un peu égaré, je ne suis pas arrivé à la relier au dialogue du début.
Et puis la chute (c'est le cas de le dire) dans le dernier paragraphe m'a un peu égaré, je ne suis pas arrivé à la relier au dialogue du début.
Re: Dialogue décapité
Un texte bien intéressant je dois dire. Tout d'abord, je salue l'idée que j'ai beaucoup aimé (est-elle vraiment originale ? je n'en sais rien, mais elle l'est suffisamment pour moi). Le récit réserve ses surprises et garde l'intérêt.
En bémol, quelques maladresses parfois, une faute ou l'autre, et les temps de conjugaison que j'ai trouvé pas toujours bien employé. Quelqu'un qui raconte, un dialogue donc (même si c'est plus proche du monologue, elle s'adresse à quelqu'un), je tique toujours sur l'emploi du passé simple et du passé antérieur. Ça a tendance à me sortir à chaque fois un brin de ma lecture.
La fin (c'est à dire le dernier bloc), oui c'en est une, mais elle me semble un poil plus maladroite que tout le reste sans vraiment pouvoir t'expliquer pourquoi.
Mais franchement, tu nous offres un texte qui ne demande pas grand chose comme retouches.
En bémol, quelques maladresses parfois, une faute ou l'autre, et les temps de conjugaison que j'ai trouvé pas toujours bien employé. Quelqu'un qui raconte, un dialogue donc (même si c'est plus proche du monologue, elle s'adresse à quelqu'un), je tique toujours sur l'emploi du passé simple et du passé antérieur. Ça a tendance à me sortir à chaque fois un brin de ma lecture.
La fin (c'est à dire le dernier bloc), oui c'en est une, mais elle me semble un poil plus maladroite que tout le reste sans vraiment pouvoir t'expliquer pourquoi.
Mais franchement, tu nous offres un texte qui ne demande pas grand chose comme retouches.
Inventrice du "rocueil", le mixte entre le roman et le recueil.
"J'ai lu. Je sais même pas quoi dire tellement je suis atterrée.
Et le pire c'est que j'ai aimé te lire." Raven sur "Yin et yang"
"Merci de m'avoir donné envie de vomir !" Nao76 sur "Yin et yang"
"Ton texte m'avait fait penser à un film allemand atroce que j'avais vu plus jeune : Nekromantik !" Polo sur "Trafic de cadavres"
Re: Dialogue décapité
Hello,
Je me sens bien embêtée... Parce que j'ai aimé ton travail de style. L'écriture (à part quelques fautes..) est bien maniée. En revanche, j'ai eu plus de mal avec la forme employée, je me serais parfois perdue dans la narration... Et la fin, je n'ai toujours pas vraiment compris, ce qui est dommage car tu tenais une idée sympa. Je ressors donc mitigée..
Je me sens bien embêtée... Parce que j'ai aimé ton travail de style. L'écriture (à part quelques fautes..) est bien maniée. En revanche, j'ai eu plus de mal avec la forme employée, je me serais parfois perdue dans la narration... Et la fin, je n'ai toujours pas vraiment compris, ce qui est dommage car tu tenais une idée sympa. Je ressors donc mitigée..
Dans mon laboratoire à rêves...
Mélodie Or- -Fée des chants stellaires- -Disciple du Gardien des rêves-
- Messages : 1242
Date d'inscription : 07/12/2018
Age : 37
Localisation : Dordogne
Re: Dialogue décapité
J'ai été très sensible à la forme : un texte très bien écrit et prenant.
L'ambiance m'a rappelé les films Reanimator de Stuart Gordon (d'après Lovecraft) et Frayeurs (Paura nella città dei morti viventi ) de Lucio Fulci.
Quelques coquilles mais c'est secondaire, vu la force dégagée par ce texte qui m'a emporté très loin (sans doute en Enfer ).
L'ambiance m'a rappelé les films Reanimator de Stuart Gordon (d'après Lovecraft) et Frayeurs (Paura nella città dei morti viventi ) de Lucio Fulci.
Quelques coquilles mais c'est secondaire, vu la force dégagée par ce texte qui m'a emporté très loin (sans doute en Enfer ).
Suis une ombre, toujours elle te fuira;
Essaie de la fuir, et elle te poursuivra.
Ben Jonson
Blahom- —Adorateur du (mauvais) genre— Chuchoteur dans les ténèbres
- Messages : 2383
Date d'inscription : 02/10/2013
Age : 56
Localisation : Sud-Est
Re: Dialogue décapité
- Spoiler:
- Excellente idée, vraiment originale dans son mélange des genres, entre ses esprits empruntés au Fantastique et sa méthode purement SF.
J'ai aussi trouvé quelques images puissantes, comme cette femme apprêtée qui hache son mari en scaphandre ; une telle scène pourrait vite devenir mythique dans un film.
La fin, telle que je l'ai comprise, m'a beaucoup plu aussi. On se retrouve en pleine apocalypse "zombie" (ou presque) alors que le temps est figé par la machine détraquée. Tous les morts harcèlent l'héroïne (vrais fantômes ou folie ? ça reste un peu ambiguë, et tant mieux). Héroïne qui, devenue tarée pour de bon, décide de se jeter par la fenêtre, en espérant s'exploser la tête pour se libérer de ces voix et rejoindre son mari. J'ai tout bon ?
Après, je rejoins les bémols déjà évoqués : le passé simple à l'oral ne m'a jamais convaincu et ce texte n'échappe pas à la règle. Je trouve ça d'autant dommage que les personnages sont bien campés, mais ce choix stylistiques les renvoie direct au statut de personnages de fiction pour moi. Monologue trop soutenu donc à mon goût. Je pense qu'une narration externe aurait été plus efficace (mais aurait sans doute demandé plus de signes, avec le risque de dépasser la limitation).
Le rapport à l'automne me parait aussi sujet à débat. Paladin disait que parler d'Halloween correspondait parfaitement au thème, mais pour moi il y a quand même une grosse différence entre traiter une saison et traiter une fête qui se déroule durant ladite saison.
Enfin, ce point n'est pas tant important du point de vue purement littéraire. A mes yeux, il suffirait de changer le point de vue (abandonner le monologue au passé simple donc) pour que l'histoire soit prête à publication aussitôt.
En bref, bravo pour ce texte vraiment inventif qui a de quoi me rendre jaloux au niveau de l'originalité !
20 minutes avant la tombe - Confession d'un mort - Les rêveurs de Somnore - La nuit derrière la porte - La dame aux yeux vides
"Je questionnai l'un de ces hommes, et je lui demandai où ils allaient ainsi. Il me répondit qu'il n'en savait rien, ni lui, ni les autres; mais qu'évidemment ils allaient quelque part, puisqu'ils étaient poussés par un invincible besoin de marcher." Baudelaire, Chacun sa chimère
Re: Dialogue décapité
Merci les gens pour vos critiques!
Celles-ci vont me permettre d'améliorer grandement ce texte!
Celles-ci vont me permettre d'améliorer grandement ce texte!
- Spoiler:
- En effet, la forme du dialogue n'est pas la plus adaptée. Cédric a bien résumé l'intrigue:On se retrouve en pleine apocalypse "zombie" (ou presque) alors que le temps est figé par la machine détraquée. Tous les morts harcèlent l'héroïne (vrais fantômes ou folie ? ça reste un peu ambiguë, et tant mieux). Héroïne qui, devenue tarée pour de bon, décide de se jeter par la fenêtre, en espérant s'exploser la tête pour se libérer de ces voix et rejoindre son mari. J'ai tout bon ?
À ceci près qu'il n'y a à mon sens aucune ambiguïté. Je me suis efforcé d'écrire une histoire compréhensible, pour changer. Et pour rendre les choses intéressantes, j'y ai greffé un narrateur faillible et qui trompe le lecteur - il faut bien que l'auteur s'amuse. Nolwen nous raconte quelque chose mais on ne peut pas lui faire confiance. C'est une des raisons pour laquelle la forme du dialogue est une erreur: celle-ci permet en général d'entretenir un échange entre deux personnes réputées fiables et intègres, ce qui n'est pas le cas ici. Par ailleurs l'intervention du tiers est anecdotique.
Re: Dialogue décapité
Salut Hellaz. Je commence par les quelques coquilles que j'ai relevées :
> Page 1 :
- parce si le premier
- de micron-onde
> Page 2 : Et puis pour couronner le tout... (tu pourrais supprimer le "puis", je pense")
> Page 3 :
- le kreiz breiz (k pas en italique)
- Sa robe de soirée était maculée de sang.Elle avait (espace manquant avant "elle".
Toujours pour la forme, j'ai trouvé qu'il y avait des manques récurrents de virgules. Et je dois reconnaître que les guillemets m'ont complètement dérouté. J'avais un peu de mal à suivre. Je ne sais pas si c'est parce que j'ai eu "de la chance" dans mes lectures, mais ça faisait un bail que j'étais pas tombé sur un texte avant autant de guillemets. Sans vouloir tirer la couverture, peut-être qu'une mise en forme plus directe aurait amélioré l'immersion.
Hormis ça, c'était quand même plutôt bien écrit globalement. Appréciable. Peut-être quelques longueurs au début ?
Je pense que j'aurais pu apprécier beaucoup plus l'histoire et entrer dedans si la forme ne m'avait autant perturbé. C'en est rageant car j'ai l'impression de passer à côté d'un truc bien. La chute était pas mal du tout cela dit. Pour le thème de l'automne, c'était pas un peu "just" ?
> Page 1 :
- parce si le premier
- de micron-onde
> Page 2 : Et puis pour couronner le tout... (tu pourrais supprimer le "puis", je pense")
> Page 3 :
- le kreiz breiz (k pas en italique)
- Sa robe de soirée était maculée de sang.Elle avait (espace manquant avant "elle".
Toujours pour la forme, j'ai trouvé qu'il y avait des manques récurrents de virgules. Et je dois reconnaître que les guillemets m'ont complètement dérouté. J'avais un peu de mal à suivre. Je ne sais pas si c'est parce que j'ai eu "de la chance" dans mes lectures, mais ça faisait un bail que j'étais pas tombé sur un texte avant autant de guillemets. Sans vouloir tirer la couverture, peut-être qu'une mise en forme plus directe aurait amélioré l'immersion.
Hormis ça, c'était quand même plutôt bien écrit globalement. Appréciable. Peut-être quelques longueurs au début ?
Je pense que j'aurais pu apprécier beaucoup plus l'histoire et entrer dedans si la forme ne m'avait autant perturbé. C'en est rageant car j'ai l'impression de passer à côté d'un truc bien. La chute était pas mal du tout cela dit. Pour le thème de l'automne, c'était pas un peu "just" ?
"Et la souffrance enfanta l'inspiration..."
Re: Dialogue décapité
- Spoiler:
- Pour préciser ce que je disais, je parlais d’ambiguïté parce que les dernières phrases de l'héroïne relèvent pour moi de la démence pure ; de là, je trouvais "sympa" de se dire que, peut-être, les voix étaient issues de son délire elles aussi. Mais effectivement, le texte est on ne peut plus clair sur la réalité de ses évènements.
20 minutes avant la tombe - Confession d'un mort - Les rêveurs de Somnore - La nuit derrière la porte - La dame aux yeux vides
"Je questionnai l'un de ces hommes, et je lui demandai où ils allaient ainsi. Il me répondit qu'il n'en savait rien, ni lui, ni les autres; mais qu'évidemment ils allaient quelque part, puisqu'ils étaient poussés par un invincible besoin de marcher." Baudelaire, Chacun sa chimère
Re: Dialogue décapité
Phanthom a écrit:Salut Hellaz. Je commence par les quelques coquilles que j'ai relevées :
> Page 1 :
- parce si le premier
- de micron-onde
> Page 2 : Et puis pour couronner le tout... (tu pourrais supprimer le "puis", je pense")
> Page 3 :
- le kreiz breiz (k pas en italique)
- Sa robe de soirée était maculée de sang.Elle avait (espace manquant avant "elle".
Ah merci pour ton effort! Ça vaut de l'or! Quant aux guillemets, je m'efforce d'utiliser les règles typographiques de l'imprimerie nationale. On ne peut pas accrocher à tous les textes, il y a des questions de sensibilité aussi.
@Murphy: c'est exactement cela!
- Spoiler:
- Il y a truanderie du lecteur, tu les as vus les zombies, toi?
Re: Dialogue décapité
Sur l'image du 1er post, oui !
Sinon, pour les guillemets, elles remplacent le tiret cadratin quand on revient à la ligne mais que c'est toujours la même personne qui parle. Ça permet d'aérer le texte et d'ordonner les idées successives dans des paragraphes distincts sans perdre le lecteur entre le monologue d'un personnage et un retour à la narration pure. Personnellement, ça ne me choque pas mais c'est vrai, à la réflexion, que les monologues "parlés" sont plutôt rares en littérature (et quand il y en a, c'est le temps de 2-3 paragraphes le plus souvent).
Sinon, pour les guillemets, elles remplacent le tiret cadratin quand on revient à la ligne mais que c'est toujours la même personne qui parle. Ça permet d'aérer le texte et d'ordonner les idées successives dans des paragraphes distincts sans perdre le lecteur entre le monologue d'un personnage et un retour à la narration pure. Personnellement, ça ne me choque pas mais c'est vrai, à la réflexion, que les monologues "parlés" sont plutôt rares en littérature (et quand il y en a, c'est le temps de 2-3 paragraphes le plus souvent).
20 minutes avant la tombe - Confession d'un mort - Les rêveurs de Somnore - La nuit derrière la porte - La dame aux yeux vides
"Je questionnai l'un de ces hommes, et je lui demandai où ils allaient ainsi. Il me répondit qu'il n'en savait rien, ni lui, ni les autres; mais qu'évidemment ils allaient quelque part, puisqu'ils étaient poussés par un invincible besoin de marcher." Baudelaire, Chacun sa chimère
Re: Dialogue décapité
Ah ben le voilà, le fameux texte sur Samhain !
Je dis "fameux", car je trouvais inconcevable que pour un concours traitant de l'automne (qui plus est dans une optique SFFF), le sujet ne soit pas abordé. C'est maintenant chose faite ! (pour être honnête, j'étais au tout début parti sur cette piste, mais ne réussissant pas à développer d'idées autour, je me suis dirigé vers un autre registre).
Concernant le fond, j'ai été agréablement surpris que tu ne partes pas en digressions bizarroïdes comme le font souvent tes textes -- pas que la chose m'incommode en soi, mais sur quelques-unes de tes participations, j'ai dû m'accrocher pour saisir la finalité du propos. Ici, tu embarques le lecteur dans un récit linéaire, facile à suivre, mais qui ouvre pourtant de jolies perspectives, notamment dans sa dernière partie. J'ai dû tout de même relire certains passages en ayant eu peur d'avoir raté quelque chose, car certains propos instillent le doute (comme tu l'as dit toi-même, ton narrateur n'est pas forcément fiable, ce qui est à la fois stimulant et inconfortable à la fois pour le lecteur).
Comme Phantom, j'ai moi aussi été dérouté par la typologie, mais une fois assimilé le mode narratif, ça se lit sans problème.
Pour le respect du thème, tu traites celui-ci par la tangente, mais ton interprétation est intéressante, se basant sur la mythologie du Samhain, donc, mais sans en faire des caisses. Au final, bien que partagé sur ce point et plusieurs autres éléments, je reste sur une très bonne impression.
Un texte qui sort du lot et dont je salue encore une fois (avec toi on commence à avoir l'habitude) l'originalité. Good job, Hellaz !
Je dis "fameux", car je trouvais inconcevable que pour un concours traitant de l'automne (qui plus est dans une optique SFFF), le sujet ne soit pas abordé. C'est maintenant chose faite ! (pour être honnête, j'étais au tout début parti sur cette piste, mais ne réussissant pas à développer d'idées autour, je me suis dirigé vers un autre registre).
Concernant le fond, j'ai été agréablement surpris que tu ne partes pas en digressions bizarroïdes comme le font souvent tes textes -- pas que la chose m'incommode en soi, mais sur quelques-unes de tes participations, j'ai dû m'accrocher pour saisir la finalité du propos. Ici, tu embarques le lecteur dans un récit linéaire, facile à suivre, mais qui ouvre pourtant de jolies perspectives, notamment dans sa dernière partie. J'ai dû tout de même relire certains passages en ayant eu peur d'avoir raté quelque chose, car certains propos instillent le doute (comme tu l'as dit toi-même, ton narrateur n'est pas forcément fiable, ce qui est à la fois stimulant et inconfortable à la fois pour le lecteur).
Comme Phantom, j'ai moi aussi été dérouté par la typologie, mais une fois assimilé le mode narratif, ça se lit sans problème.
Pour le respect du thème, tu traites celui-ci par la tangente, mais ton interprétation est intéressante, se basant sur la mythologie du Samhain, donc, mais sans en faire des caisses. Au final, bien que partagé sur ce point et plusieurs autres éléments, je reste sur une très bonne impression.
Un texte qui sort du lot et dont je salue encore une fois (avec toi on commence à avoir l'habitude) l'originalité. Good job, Hellaz !
"En vivant comme en mourant, nous alimentons le feu."
Clive Barker, Sacrements.
Tak- Mélomane des Ondes Noires
Disciple des Livres de Sang - Messages : 6299
Date d'inscription : 01/12/2012
Age : 41
Localisation : Briançon, Hautes-Alpes
Re: Dialogue décapité
Un texte un peu plus facile à comprendre que ceux que tu fais d'habitude, encore que... J
- Spoiler:
- e suis un peu honteux, moi qui ait passé ma carrière à m'occuper de gens qui entendaient des voix, de ne pas avoir compris que celles qu'entend Nolwen sont dans sa tête, et que le retour des morts était son délire !
Dernière édition par Paladin le Jeu 5 Déc 2019 - 23:12, édité 1 fois
Mais alors, dit Alice, si le monde n'a absolument aucun sens qui nous empêche d'en inventer un?
Lewis Carroll
Re: Dialogue décapité
Merci Tak et Paladin
Tu n'as rien à te reprocher, Paladin, j'ai écrit le texte pour tromper le lecteur et à la fin lui dire: "mais enfin, c'est pourtant clair!" Je voulais qu'à la relecture, on y découvre une nouvelle facette. Quant à ta mention de l'ero-guro, c'est très drôle car la première nouvelle que j'ai rédigée en réponse à ce concours était fantastique avec une imagerie très japonaise et érotique grotesque. Comme elle fait 30.000 signes, je la réserve pour l'AT Malpertuis
Tak: Un autre de mes objectifs était de faire quelque chose de lisible pour changer et moins "expérimental". Je voulais répondre convenablement à un concours, pour changer!
Merci pour vos retours!
Tu n'as rien à te reprocher, Paladin, j'ai écrit le texte pour tromper le lecteur et à la fin lui dire: "mais enfin, c'est pourtant clair!" Je voulais qu'à la relecture, on y découvre une nouvelle facette. Quant à ta mention de l'ero-guro, c'est très drôle car la première nouvelle que j'ai rédigée en réponse à ce concours était fantastique avec une imagerie très japonaise et érotique grotesque. Comme elle fait 30.000 signes, je la réserve pour l'AT Malpertuis
Tak: Un autre de mes objectifs était de faire quelque chose de lisible pour changer et moins "expérimental". Je voulais répondre convenablement à un concours, pour changer!
Merci pour vos retours!
Re: Dialogue décapité
Et je confirme que c'était un bon choix, car tout en gardant ton originalité propre, tu as réussi à sortir plus facilement lisible et assimilable (tout le contraire de moi, sur ce coup-là, ahah !).
Au passage, on te vois ici surtout à l'occasion des concours, mais si tu as des textes en stock sur ton ordi dont tu ne sais pas quoi faire, tu peux toujours les poster dans "vos récits", personnellement je te lirais avec grand plaisir !
Au passage, on te vois ici surtout à l'occasion des concours, mais si tu as des textes en stock sur ton ordi dont tu ne sais pas quoi faire, tu peux toujours les poster dans "vos récits", personnellement je te lirais avec grand plaisir !
"En vivant comme en mourant, nous alimentons le feu."
Clive Barker, Sacrements.
Tak- Mélomane des Ondes Noires
Disciple des Livres de Sang - Messages : 6299
Date d'inscription : 01/12/2012
Age : 41
Localisation : Briançon, Hautes-Alpes
Page 1 sur 3 • 1, 2, 3
L'Écritoire des Ombres :: CONCOURS DE L'ÉCRITOIRE DES OMBRES :: Archives des concours :: Concours N°15 : Automne
Page 1 sur 3
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum