Et si la Mort devenait le personnage central d'un roman Fantasy ?! (texte retiré)

Merci pour l'info!

Bonsoir à tous, et merci de m'avoir suivi dans cette aventure !

Après plus d'une année, le texte paraît samedi prochain 26/11 aux Editions L'Ivre-Book, uniquement en numérique. On verra s'il remporte un petit succès et que j'obtiens une parution papier aussi (pas prévue pour l'heure).

Ci-dessous la première version de la couverture, le chevalier affrontant la Mort, cette dernière dans une incarnation plutôt traditionnelle :



Pour éviter le traditionnel justement, et coller au roman, en particulier avec cette phrase : "Entre ses doigts confluaient les fils d'âmes de tous les vivants, que de ses griffes elle pouvait trancher d'un mouvement". Bref, voici la couverture définitive, très beau travail d'une artiste nommée Vael Cat :



Voilà, et je vous copie le texte préparé pour le roman :

« Elle est la Mort, aveugle et impartiale, crainte autant par les Dieux que par les Hommes. Lorsqu’elle accède à la souveraineté du plus grand royaume terrestre, sa mainmise est sans pitié. Les masques tombent, des plans s’échafaudent dans l’ombre, et les tyrans ne seront pas forcément ceux qu’on aurait crus ».

« Ciarane, jeune femme de haute naissance, promise à épouser le Soleil incarné, a perdu tout ce qui fait d’elle un être vivant. S’abandonnant à la Mort, elle laisse la déesse prendre pieds sur la Terre et déchaîner son courroux.
Un seul chevalier peut s’opposer à elle, celui auprès de qui elle a tout partagé, et connu le bonheur. Cet homme, tiraillé entre honneur, devoir et amour, va accomplir le plus incroyable des périples en s’immisçant dans l’immense conflit qui ravage la terre et les étendues célestes : repousser la Mort… ou lui arracher ses pouvoirs ».

Puisant dans la mentalité incas - contée sous la forme d’une Fantasy européenne - ce récit ne manquera de nous interpeler sur le sens de notre vie. La place du sacrifice, pas forcément de soi mais de ceux auxquels on tient, y trouve une place importante, tout comme les interrogations sur l’existence, ou sur le poids de la destinée. En filigrane, l’inéluctabilité de ce qu’on perd – perdra un jour - touchera chaque lecteur.

Une grande épopée Fantasy, centrée sur le personnage emblématique de nos cauchemars, celle que l’on ose à peine nommée, et que nos sociétés préfèrent ignorer de crainte qu’elle tourne son attention dans notre direction.

1) félicitations ! Tu vois enfin ton attente payer. Et quel salaire ! La couverture est superbe, c'est super de voir l'évolution graphique pour coller au texte.
2) c'est marrant parce que je repensais justement à ton texte il y a à peine quelques jours
3) il reste quelques coquilles sur le texte de présentation (je suppose que ce n'est pas la version définitive, mais dans le doute je préfère signaler)
4) je te souhaite une future publi papier, ce qui voudra dire que ça a bien marché (j'ai vu quelques éditions papier de l'Ivre Book en salon, donc c'est une éventualité qui a de fortes chances de se produire)

Félicitations ! J'adore la couverture, elle est trop classe.

Bien content que ton histoire ait été acceptée. Je n'en connais que le résumé (j'avais malheureusement totalement loupé ce topic à l'époque où le texte y était d'actualité), mais ça me parait assez bien fait et allier histoires classiques et idées assez originales.

Je te souhaite aussi d'atteindre la version papier. En attendant, le numérique est déjà une très bonne entrée en matière je trouve.

Merci Raven et Murphy... Oui, je suis gâté. Raven, si ça te dérange pas de me signaler les "coquilles". Je vais retravailler le texte de toute façon, mais un regard extérieur est toujours très bon à prendre

Hello Paulux. Félicitations pour cette publication. Les coquilles ci-dessous :

« Elle est la Mort, aveugle et impartiale, crainte autant par les Dieux que par les Hommes. Lorsqu’elle accède à la souveraineté du plus grand royaume terrestre, sa mainmise est sans pitié (mal dit : une mainmise est neutre par définition. C'est celui ou celle qui a la mainmise qui est sans pitié). Les masques tombent, des plans s’échafaudent dans l’ombre, et les tyrans ne seront pas forcément ceux qu’on aurait crus (cru) ».

« Ciarane, jeune femme de haute naissance, promise à épouser (mal dit. Cette jeune femme est la promise du soleil ou elle est destinée à l'épouser : choisir entre les deux) le Soleil incarné, a perdu tout ce qui fait d’elle un être vivant. S’abandonnant à la Mort, elle laisse la déesse prendre pieds (mal dit : cette expression n'existe pas) sur la Terre et déchaîner son courroux (elle laisse la déesse déchaîner son courroux sur la terre).
Un seul chevalier peut s’opposer à elle, celui auprès de qui (mal dit : "avec lequel") elle a tout partagé, et connu le bonheur. Cet homme, tiraillé entre honneur, devoir et amour, va accomplir le plus incroyable des périples en s’immisçant dans l’immense conflit qui ravage la terre et les étendues célestes : repousser la Mort… ou lui arracher ses pouvoirs ».

Puisant dans la mentalité incas (inca) - contée (mal dit. On ne "conte" pas une mentalité) sous la forme d’une Fantasy européenne (mal dit. Proposition pour toute la phrase : "Puisant à la fois dans la mythologie inca et dans la Fantasy européenne," ce récit ne manquera de nous interpeler sur le sens de notre vie. La place du sacrifice, pas forcément de soi mais de ceux auxquels on tient, y trouve une place importante, tout comme les interrogations sur l’existence, ou sur le poids de la destinée. En filigrane, l’inéluctabilité de ce qu’on perd – perdra un jour - touchera chaque lecteur.

Une grande épopée Fantasy, centrée sur le personnage (préférer "la figure", puisque tu utilises le féminin par la suite) emblématique de nos cauchemars, celle que l’on ose à peine nommée (nommer), et que nos sociétés préfèrent ignorer de crainte qu’elle tourne son attention dans notre direction.

Ce qu'il y a de bien avec Léo, c'est que si tu as une tache sur le mur, il te refait toute la peinture

Merci Léonox, effectivement, j'aime bien tes propositions. J'ai toute la semaine pour préparer le lancement... toujours stressant ces "étapes clefs".

Bises à tous

Ah ! Dernière ligne droite, le myocarde s'emballe...

J'ai déjà eu l'occasion de te féliciter, mais je renouvelle l'opération. On n'en reçoit jamais assez, des félicitations.

Juste une question : est-ce la même mouture que le premier jet laissé en lecture sur le forum, qui faisait 52 pages ? Est-ce que tu l'as développé pour en proposer une version plus longue ?

Oui... j'ai rajouté l'ouverture que j'avais proposé (après coup, je ne sais pas si tu te rappeles). Le roman a été bien retravaillé. Enfin, j'ai inclus 4 chapitres additionnels, traitant de 4 des Dieux qu'on découvre vers la fin du récit.

Cela fait au final 50.000 mots et 260.000 caractères, un peu plus de cent pages.

Ok... encore bravo !
Et à elle aussi...

Félicitations Paulux
Tu as tenu bon !!!

Ça c'est sûr que les éditeurs ne sont pas pressés ! Merci FRançoise...