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LIBERATE ME EX INFERIS

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Message par Paracelse Dim 28 Oct 2012 - 18:12

J'avais commencé ça, il y a trois piges, mais ai pas la suite. Attention, y a des clins d'oeil à certaines personne (et ce n'est pas fortuit).

LIBERATE ME EX INFERIS. *

Une nouvelle de Paracelse


1.

Thomas Dellange attendait avec impatience ce rendez-vous particulier, depuis maintenant une semaine. Son excitation arrivait à son paroxysme. L’agitation l’avait empêché de fermer un œil de la nuit. Les traits marqués de son visage trahissaient le manque de sommeil. La confusion de ses souvenirs rendait difficile le trajet qu’il devait emprunter.
Il s’engouffra dans une allée sordide, à mille lieues d’un homme de sa condition, toute droite issue d’un film d’épouvante. Des détritus et moisissures de toutes sortes propageaient une odeur répugnante, que les rats affectionnaient avec gourmandise. Ce décor glauque était approprié à l’objet de sa venue.
À mi-chemin, il s’arrêta net devant une porte blindée, imposante, sur laquelle figurait une tête de mort et deux os croisés, semblables aux drapeaux de la piraterie d’antan, à ceci près qu’une couronne royale coiffait le crâne. Sous cet emblème mystérieux, une inscription latine énigmatique « Abyssus abyssum invocat » ** accapara son regard.
Il prit une profonde inspiration et frappa avec vigueur à la porte. Un pas lourd se fit entendre de l’autre côté. Le vantail, au-dessus du symbole morbide, qu’il n’avait pas remarqué, coulissa avec violence. Thomas tressaillit, tel un cambrioleur surpris dans ses méfaits.
— Mouais, dit son interlocuteur invisible d’une voix grave teintée d’un accent germanique.
Thomas se remémora le mot de passe ambigu qu’on lui avait fourni et qui évoquait une citation de Friedrich Nietzsche.
— L’étroite voie de notre ciel propre…, dit Thomas.
— Passe toujours…
— Par la volupté de notre propre enfer.
Le bruit strident du déverrouillage de l’ouverture, se répercutant dans toute l’allée, constitua pour Thomas, une agression auditive plus insupportable que celles infligées par les courants musicaux modernes pour un érudit de la musique classique comme lui.
Tout en s’introduisant dans l’antre de la bête, il lança sur un ton plaintif :
— Mon ami, vous devriez penser à huiler cette satanée…
Il se figea d’un coup. Un frisson d’effroi parcourut son échine dorsale. Devant lui se tenait, un molosse de plus de deux mètres au faciès patibulaire provoquant d’instinct l’antipathie. Un personnage dont l’envie de rester plus de deux secondes à ses côtés, devait exister que chez les psychopathes les plus pervers.
De ce colosse de Rhodes émanait un charisme animal, brut de décoffrage. Une émanation maléfique qui semblait influencer l’esprit de Thomas. Des yeux perçants, magnétiques, dont l’expression ténébreuse interdisait la moindre possibilité de soutenir le regard, le fixaient avec intensité. Un Goliath contemporain, démoniaque, portant un complet-veston noir digne d’un agent secret de la fantasmagorie hollywoodienne.
— Veuillez me suivre, Monsieur, dit le titan.
Thomas prit cette invitation pour un ordre divin, étant donné l’ascendant psychologique qu’exerçait le mastodonte sur lui.
Thomas s’engagea sur les pas de son guide, tout en contemplant ce long couloir exigu, qui dégageait une odeur nauséabonde d’humidité et de murs délabrés. Une ambiance d’oubliettes moyenâgeuse, soutenue par une lumière blafarde, qui ne laissait rien présager de bénéfique.

Mais, de toute façon, rien de tel ne se passera aujourd'hui, pensa Thomas.

Depuis quelques années, une tentation irrésistible le tenaillait, mais il n’avait jamais osé s’y abandonner. Cet appel incessant, enfoui au plus profond de ses abîmes inconscients, le tourmentait et exerçait une pression constante sur sa raison. Au fil des années, sa mentalité et ses fantasmes s’étaient dégradés au point de tuer à petit feu son sens moral et ses sentiments envers l’humanité à laquelle il n’accordait plus de compassion ni aucun intérêt.
Même, sa libido s’était éteinte. Fait confirmé, le jour où sa femme, vêtue de cuir et de latex, se présenta à lui, sans l’émoustiller le moins du monde. Ses seuls plaisirs résidaient dans la réflexion intellectuelle, l’égocentrisme exacerbé et le besoin de satisfaire ses frustrations, en torturant le mental, dans le cadre de son travail, de ceux qu’il appelait ses « inférieurs hiérarchiques ».
Mais le moment était venu pour lui de franchir une étape psychologique dans son appétit pernicieux.
Ils arrivèrent dans une salle dégarnie de toutes décorations avec pour seuls mobiliers, un sofa, une table basse avec des apéritifs et un bar. Au beau milieu, une table spécialisée qui ne laissait aucun doute possible sur sa fonction. Son hôte se tenait à côté, y tapotant des doigts.
— Hum… je vois que vous avez fait connaissance avec Hermann.
— Comte Zarkoff, je suis ravi de vous revoir, dit Thomas.
— Oh… Mais tout le plaisir est pour moi. Vous savez, vous m’êtes précieux ce soir !
Thomas esquissa un sourire narquois.
— Je n’en doute pas.
Zarkoff toisa, d’un regard posé, Thomas et déclara d’un ton autoritaire :
— Bon, trêve de convivialité, vous possédez le reste de la somme ?
— Heu… bien sûr.
Thomas sortit une enveloppe épaisse et la donna à Zarkoff.
— Le compte y est ?
— Quinze mille euros ! Comme convenu.
Le comte soupesa le pli cacheté et le balança, sans égard, vers Hermann, qui le rattrapa d’un geste vif et s’enfuit, à la hussarde, dans le couloir par lequel ils étaient arrivés. Cet empressement déclencha en Thomas un léger réflexe de recul qui n’avait pas échappé à Zarkoff.
— N’ayez pas peur de lui. Hermann demeure un homme très discipliné et ne contrarie que sur ma demande.
— Ah ! Heureux de l’apprendre, mais j’avoue qu’il caractérise un personnage imposant, ne laissant guère insensible.
— Et vous n’imaginez pas à quel point ! Mais vous le découvrirez tout à l’heure, dit le comte, d’un air malicieux.
— Parce qu’il va participer ?
— Mais c’est même le clou du spectacle !
— Comment ça ?
Le comte éluda la question et s’adressa à Hermann, dont Thomas n’avait pas remarqué le retour si soudain.

Mais comment, diable, a-t-il fait pour revenir aussi vite ? pensa Thomas.

— Les préparatifs sont finis, Hermann ?
— Dans le plus grand soin, Monsieur !
Le comte Zarkoff sourit de toutes ses dents blanches et laissa entrevoir un regard imprégné de folie.
— Puisque tout est prêt, on va pouvoir commencer dès maintenant.
— Mais où se trouve le produit ? dit Thomas.
Zarkoff s’approcha en douceur vers Thomas, la tête inclinée vers le sol et les mains serrées dans le dos, puis releva le front en écarquillant les yeux grands ouverts.
— Mais juste devant moi !
À ces mots, Hermann, posté derrière Thomas, passa son avant-bras autour de son cou et l’empoigna sans déployer le moindre effort, ce qui fut aisé, étant donné la différence de force entre les deux hommes. Thomas essaya de résister à l’instar d’un petit chaton face à un dogue argentin. Hermann soupira de consternation et sortit un mouchoir imbibé de chloroforme qu’il appliqua sur le visage paniqué de sa prise. Thomas sombra dans les limbes de l’inconscience.

* – Libérez-moi de l’enfer.
** – L’abîme appelle l’abîme.

2.

Une semaine auparavant, 12 Avenue George V, Paris 8° Arr., 23h30.

La soirée était exquise pour les invités qui raffolaient de ce genre de festivités, le tout dans un appartement luxueux dont le mètre carré valait aussi cher que le prix d’un studio de province. Une réception discrète qui n’était offerte qu’aux élus de la haute société, la bourgeoisie jouissant d’un train de vie fastueux. Le spectacle, peu ordinaire pour un dépourvu, se contemplait à travers un jeu d’échange de pouvoirs appelé plus communément le sado-masochisme, dont une dizaine de couples s’adonnaient dans des râles de plaisirs et de douleurs. Un jeu de soumission et de domination dont le but était d’obtenir, par l’exacerbation de la souffrance et l’humiliation, un plaisir sexuel plus intense.
C’était la première fois que Thomas assistait à ce genre de petites sauteries entre parvenus, que son collègue et néanmoins ami, Henri de Paladine, avait convié aux réjouissances d’un certain comte Zarkoff afin de lui changer les idées. Thomas se sentait une affinité particulière avec son subalterne et s’était laissé aller à des confidences sur ses névroses obsessionnelles. Ainsi Henri lui révéla sa double vie nocturne, loin de l’image d’homme respectable qui laissait entrevoir à ses semblables. Les grands esprits se rencontraient toujours ainsi que les mauvais.
Le spectacle amusait Thomas, mais sans l’exalté. Il était plutôt venu rencontrer le maître des lieux, sur les conseils d’Henri, dans le but de passer une commande particulière dont le comte s’était fait la spécialité. En bénéficier, exiger la plus grande discrétion et d’être introduit sur les recommandations d’un intime du comte, ce qu’était Henri de Paladine.
— Ah Henri ! On attendait plus que toi ! S’esclaffa un personnage.
Henri se retourna et aperçut l’individu qui l’avait interpellé puis se dirigea aussitôt vers lui d’un pas empressé. Thomas le suivit.
— Monsieur le comte ! dit Henri, tout en s’agenouillant avec ironie.
— Ah ah ah, arrête un peu tes pitreries. On est plus au temps de la cour de Versailles !
Le comte Zarkoff était un personnage atypique, aux allures de dandy. Grande taille de carrure athlétique, un visage expressif, détendu et symétrique de forme oblongue duquel ressortait un regard vif et pénétrant, la chevelure gominait et qui se terminait par une queue de cheval. Un charme insaisissable, hypnotique à la manière d’un fascinateur. Sa voix exprimait la condescendance et le positionnement de sa classe sociale.
Thomas croisa le regard du comte et ce dernier fut intrigué par cet invité qu’il ne connaissait ni d’Eve ni d’Adam.
— Thomas, je te présente l’organisateur de cette belle soirée, le comte Zarkoff, dit Henri.
— Ravi de vous rencontrer monsieur le comte, dit Thomas en tendant sa main.
Le comte la serra lentement, d’un geste délicat. Le raffinement de ceux qui témoignaient d’une haute estime d’elle-même. Les règles de bienséance étaient de rigueur dans ce milieu.
— Cette soirée vous plait-elle, Thomas ? dit le comte.
— Je n'ai pas l'habitude de ce genre de communion particulière, mais le spectacle est intéressant. En tout cas, je ne demande qu'à mieux connaître.
— Vous verrez, on s'y fait vite et ensuite on en redemande ! N'est-ce pas, Henri ?
— On en devient un fin gourmet, dit Henri.
— Vous ne craignez pas des descentes de police ? dit Thomas.
— Pas le moins du monde, dit le comte, ça ne risque pas.
— Pourtant, personne n’est à l’abri, répliqua Thomas.
Le comte se retourna vers un invité, arqué à quatre pattes et fouetté sans merci par une dominatrice avide de correction rigoureuse.
— Monsieur le commissaire, doit-on s’attendre à la visite de vos collègues, ce soir ? dit le comte dans l’ironie la plus manifeste.
— Il manquerait plus que ça ! Vous savez bien que j’ai fait le nécessaire, comme d’habitude.
— Vous voyez, vous n’avez rien à craindre pour votre réputation, dit le comte à l’adresse de Thomas.
— Je vois, mais c’était plus une interrogation que le besoin d’être rassuré, dit Thomas.
Henri reprit la parole et s’adressa à Zarkoff.
— Voilà, en fait, Thomas aimerai bénéficier de tes prestations particulières. Je me porte garant pour lui.
Le comte acquiesça d’un mouvement de tête avec une moue significative.
— Suivez-moi.
Le comte les entraîna dans un couloir dont les murs étaient tapissés d’arabesques dorées. Une atmosphère enivrante se dégageait de ces motifs pour venir embraser les regards des assoiffés d’arts orientaux. Le trio entra dans une pièce à la décoration d’art islamique. Des voiles fins étaient ajustés pour former un semblant de tentes touareg. Des tapis de laines ainsi que des poufs en cuirs d’aspect traditionnel parsemaient à profusion le sol.
- Je vous en prie, prenez place, dit le comte en leur désignant les coussins capitonnés.
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Message par Paladin Lun 29 Oct 2012 - 12:48

Je me souviens de cette histoire dont tu m'avais fait lire le début, mais il ya plus de trois ans! Ca se voit qu'elle est ancienne, on y trouve des maladresses de style que tu n'as plus aujourd'hui comme des sous-groupes de phrases mal placées:


Il s’engouffra dans une allée sordide, à mille lieues d’un homme de sa condition, toute droite issue d’un film d’épouvante.

Il aurait été plus adapté d'écrire:

"Il s’engouffra dans une allée sordide, toute droite issue d’un film d’épouvante, à mille lieues d’un homme de sa condition."

Pareil plus loin:

Le vantail, au-dessus du symbole morbide, qu’il n’avait pas remarqué, coulissa avec violence

Je pense que c'est le vantail qu'il n'avait pas vu, donc j'écrirais plutôt:

"Le vantail, qu’il n’avait pas remarqué au-dessus du symbole morbide, coulissa avec violence."

Le "molosse" de plus de deux mètres, ce n'est pas un chien du comte Zaroff mais un grand balèse, donc ce serait plutôt un "colosse"

Il y a aussi des phrases à ralonge genre:

Le bruit strident du déverrouillage de l’ouverture, se répercutant dans toute l’allée, constitua pour Thomas, une agression auditive plus insupportable que celles infligées par les courants musicaux modernes pour un érudit de la musique classique comme lui.

Trop long, faudrait diviser ce genre de phrase.

Sur le fond, l'histoire n'est pas finie, non? Tu attire en effet l'attention du lecteur bienb qu'il me semble avoir compris où tu veux en venir:

Spoiler:
Si c'est ça c'est un peu trop prévisible...En tout cas y'a du potentiel. A mon avis c'est une histoire déjà ancienne qui peut donner quelque chose de pas mal si le Paracelse d'aujourd'hui la reprend entierement.



Y'a des clins d'oeil à certaines personnes ? Thomas, Zarkoff, Henri de Paladine...Non, je vois pas de qui il s'agit... Shocked



Dernière édition par Paladin le Lun 29 Oct 2012 - 15:24, édité 1 fois


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Message par Paracelse Lun 29 Oct 2012 - 15:21

Tu as raison, j'ai un lot de phrases mal construites, comme mal rangées. Je suis un médecin légiste qui essaierait de recoller les morceaux d'un cadavre dépecé, mais qui aurait placé la verge sur le cou et la tête entre les jambes.
Pour molosse ou colosse, vu le machin, on pourrait à priori employer les deux termes, mais j'avais déjà utilisé " colosse ".

Pour le spoil, ce n'est pas tout à fait ça, mais dans ce gout-là. Indice : ça comme par S et ça fini par F (et y a même nuf entre).

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Message par FRançoise GRDR Lun 29 Oct 2012 - 18:27

J'ai lu et j'ai remarqué les maladresses signalées par Pala/Henri ? et quelques fautes ...( Le spectacle amusait Thomas, mais sans l’exalt(é)er, la chevelure gomin(ait)ée, Thomas aimerait ). Cette expression fait tache, je trouve : " qu’il ne connaissait ni d’Eve ni d’Adam ". Je ne mettrai pas de "s" à laine ni à cuir ... ( tapis de laines,poufs en cuirs ).
Sinon, l'idée est intéressante et une suite me plairait bien ! Wink


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Message par Paladin Lun 29 Oct 2012 - 18:37

Paracelse a écrit:

Pour le spoil, ce n'est pas tout à fait ça, mais dans ce gout-là. Indice : ça comme par S et ça fini par F (et y a même nuf entre).


En tout cas, ça donne des idées!

Juste un truc, encore : même si le commissaire ne faisait pas partie de la fête, les invités de l'Avenue George V n'auraient pas à craindre une descente de police: la loi n'interdit pas les séances SM consenties dans un cadre privé!


Dernière édition par Paladin le Lun 29 Oct 2012 - 22:27, édité 1 fois


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Message par Didier Fédou Lun 29 Oct 2012 - 19:17

Parole d'un connaisseur ? Twisted Evil
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Message par Paracelse Lun 29 Oct 2012 - 21:06

Paladin a écrit:
Paracelse a écrit:

Pour le spoil, ce n'est pas tout à fait ça, mais dans ce gout-là. Indice : ça comme par S et ça fini par F (et y a même nuf entre).


En tout cas, ça donne des idées!

Juste un truc, encore : même si le commissaire ne faisait pas partie de la fête, les invités de l'Avenue George V n'auraient pas à craindre une descente de police: la loi n'interdit pas les séances SM consenties dans un cadre privé!

T'as raison. J'aurais dû prévoir de la schnouf en supplément !
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Message par Paladin Lun 29 Oct 2012 - 22:31

Didier Fédou a écrit:Parole d'un connaisseur ? Twisted Evil

Tu veux une invitation pour une prochaine soirée, Didier? LIBERATE ME EX INFERIS 128925036427


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Message par mormir Sam 19 Juil 2014 - 22:54

Ben du coup j'ai lu ce texte. Je n'ai pas tellement accroché, ni à l'histoire, ni à la forme qui est nettement améliorable.

Mais peut-être qu'il manque seulement la compréhension du type de services particuliers dont a besoin le héros, donc ... de la suite Smile


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