Blakoutte
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L'Écritoire des Ombres :: CONCOURS DE L'ÉCRITOIRE DES OMBRES :: Archives des concours :: Concours N°13 : BLACK-OUT
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Re: Blakoutte
" J'avais aimé ton "douze statues" même si tout le monde s'accordait à dire qu'il était plus lovecraftien qu'auguste derleth."
Merci d'avoir lu ce texte qui est loin d'être mon meilleur. Dans le genre lovecraftien, je te conseille plutôt la lecture des nouvelles de Lester...
"Là tu mets en scène un groupe de gosses, qui sont construits sur des archétypes mais efficaces, et ils sont vivants et intéressants à suivre. Même si leur vocabulaire est parfois un peu appuyé, tu les distingues en quelques échanges facilement. Ils sont sympathiques en plus."
Voilà, c'est ça. C'était là mon principal objectif : créer un groupe de personnages, certes archétypaux, mais vivants et sympathiques. Enfin, moi je les trouve attachants...
Merci d'avoir lu ce texte qui est loin d'être mon meilleur. Dans le genre lovecraftien, je te conseille plutôt la lecture des nouvelles de Lester...
"Là tu mets en scène un groupe de gosses, qui sont construits sur des archétypes mais efficaces, et ils sont vivants et intéressants à suivre. Même si leur vocabulaire est parfois un peu appuyé, tu les distingues en quelques échanges facilement. Ils sont sympathiques en plus."
Voilà, c'est ça. C'était là mon principal objectif : créer un groupe de personnages, certes archétypaux, mais vivants et sympathiques. Enfin, moi je les trouve attachants...
Suis une ombre, toujours elle te fuira;
Essaie de la fuir, et elle te poursuivra.
Ben Jonson
Blahom- —Adorateur du (mauvais) genre— Chuchoteur dans les ténèbres
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Re: Blakoutte
Ben j'ai pas trop compris tous les enchaînements d'événements. Et encore moins la fin...
Mais qu'est-ce que j'ai kiffé en lisant ! Franchement j'ai été embarqué sans pouvoir arrêter de lire, attrapé par un style hors du commun.
Mais c'est vrai que quelques indices de plus ici et là seraient les bienvenus !
Merci à toi pour ce bon moment
Mais qu'est-ce que j'ai kiffé en lisant ! Franchement j'ai été embarqué sans pouvoir arrêter de lire, attrapé par un style hors du commun.
Mais c'est vrai que quelques indices de plus ici et là seraient les bienvenus !
Merci à toi pour ce bon moment
CONFUCIUS : lorsque l’on se cogne la tête contre un pot et que cela sonne creux, ça n’est pas forcément le pot qui est vide.
mormir- — Arpenteur des mondes — Disciple de l'arbre noir
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Re: Blakoutte
C'est moi qui te remercie, Mormir.
"attrapé par un style hors du commun." C'est très gentil, surtout venant de quelqu'un qui a un remarquable talent d'écriture.
En ce qui concerne les indices, j'ai laissé quelques pistes dans un "spoiler", plus haut...
"attrapé par un style hors du commun." C'est très gentil, surtout venant de quelqu'un qui a un remarquable talent d'écriture.
En ce qui concerne les indices, j'ai laissé quelques pistes dans un "spoiler", plus haut...
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Ben Jonson
Blahom- —Adorateur du (mauvais) genre— Chuchoteur dans les ténèbres
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Re: Blakoutte
Moi, j'ai marché. Tête baissée !
La narration est parfaitement maîtrisée, les personnages bien dessinés, l'atmosphère bien rendue. Je suis entré dans le récit dès les premières lignes, sans le lâcher jusqu'à la fin.
Certes il reste des zones d'ombres dans le fond. Je connais d'autres auteurs qui en laissent à tours de bras en faisant croire que c'est volontaire, que c'est une figure de style. On se sent un peu "pris pour un imbécile" dans ces textes-là. Pourtant, je n'ai pas cette sensation à la fin de celui-ci. Pour moi, il y a l'évocation d'une autre réalité au sein de ce que l'on croit le réel, et l'utilisation du cinéma pour évoquer cette imbrication me paraît parfaitement justifié. Ok, mon point de vue s'appuie un peu sur les écrits de Cortazàr, c'est une belle référence à mes yeux.
Je n'en ai pas fait le premier de mon classement, un petit malin remporte la palme de justesse, mais je viens de le dire, ce n'était pas loin !
La narration est parfaitement maîtrisée, les personnages bien dessinés, l'atmosphère bien rendue. Je suis entré dans le récit dès les premières lignes, sans le lâcher jusqu'à la fin.
Certes il reste des zones d'ombres dans le fond. Je connais d'autres auteurs qui en laissent à tours de bras en faisant croire que c'est volontaire, que c'est une figure de style. On se sent un peu "pris pour un imbécile" dans ces textes-là. Pourtant, je n'ai pas cette sensation à la fin de celui-ci. Pour moi, il y a l'évocation d'une autre réalité au sein de ce que l'on croit le réel, et l'utilisation du cinéma pour évoquer cette imbrication me paraît parfaitement justifié. Ok, mon point de vue s'appuie un peu sur les écrits de Cortazàr, c'est une belle référence à mes yeux.
Je n'en ai pas fait le premier de mon classement, un petit malin remporte la palme de justesse, mais je viens de le dire, ce n'était pas loin !
Re: Blakoutte
Tout d'abord, je suis heureux que tu ne te sois pas senti pris pour un imbécile, ce qui m'aurait franchement mis mal, très mal à l'aise.
"Pour moi, il y a l'évocation d'une autre réalité au sein de ce que l'on croit le réel..."
Il y a du vrai là-dedans.
Et je prends la référence à Cortázar comme un immense compliment même si je sais que je n'en suis pas digne.
Merci beaucoup, Cancereugène.
"Pour moi, il y a l'évocation d'une autre réalité au sein de ce que l'on croit le réel..."
Il y a du vrai là-dedans.
Et je prends la référence à Cortázar comme un immense compliment même si je sais que je n'en suis pas digne.
Merci beaucoup, Cancereugène.
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Blahom- —Adorateur du (mauvais) genre— Chuchoteur dans les ténèbres
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Re: Blakoutte
J'ai beaucoup aimé ton texte, ton écriture est prenante et on a vraiment envie de connaître la suite. Tes enfants sont superbement croqués (mais tu as un bon feeling pour les personnages enfants, ce n'est pas la première fois que tu en mets en scène). Ton style s'est affiné avec les années, avec moins de lourdeurs, ce qui ne le rend que plus plaisant. L'ambiance un peu eighties est très sympa.
Le coup du cinéma est magnifiquement trouvé.
Tout le long, on reste dans l'interrogation : qu'est-ce qui se passe ? Et c'est là, le bémol, pour moi bien sûr, de ton texte. Au bout, on n'en sait rien. Je veux dire que si ce n'est pas désagréable de rester avec des questions à la fin d'un récit (perso, j'aime beaucoup en général), ici, j'ai eu l'impression de n'avoir que des questions et pas d'indices. Tu as expliqué en spoiler le rôle de la mort du proprio du cinéma et j'ai trouvé l'explication super, mais sans ton spoiler, je ne l'avais pas. Juste quelques mots de plus m'aurait aiguillé là-dessus et tout le texte serait devenu parfait, avec une logique qui n'aurait rien enlevé à son ambiance mystérieuse et même merveilleuse (merveilleux amplifié par la toute fin, elle aussi mystérieuse d'ailleurs, et pourquoi pas).
Bref, un texte vraiment très bien, auquel quelques mots de plus ne feraient pas de tort.
Le coup du cinéma est magnifiquement trouvé.
Tout le long, on reste dans l'interrogation : qu'est-ce qui se passe ? Et c'est là, le bémol, pour moi bien sûr, de ton texte. Au bout, on n'en sait rien. Je veux dire que si ce n'est pas désagréable de rester avec des questions à la fin d'un récit (perso, j'aime beaucoup en général), ici, j'ai eu l'impression de n'avoir que des questions et pas d'indices. Tu as expliqué en spoiler le rôle de la mort du proprio du cinéma et j'ai trouvé l'explication super, mais sans ton spoiler, je ne l'avais pas. Juste quelques mots de plus m'aurait aiguillé là-dessus et tout le texte serait devenu parfait, avec une logique qui n'aurait rien enlevé à son ambiance mystérieuse et même merveilleuse (merveilleux amplifié par la toute fin, elle aussi mystérieuse d'ailleurs, et pourquoi pas).
Bref, un texte vraiment très bien, auquel quelques mots de plus ne feraient pas de tort.
Inventrice du "rocueil", le mixte entre le roman et le recueil.
"J'ai lu. Je sais même pas quoi dire tellement je suis atterrée.
Et le pire c'est que j'ai aimé te lire." Raven sur "Yin et yang"
"Merci de m'avoir donné envie de vomir !" Nao76 sur "Yin et yang"
"Ton texte m'avait fait penser à un film allemand atroce que j'avais vu plus jeune : Nekromantik !" Polo sur "Trafic de cadavres"
Re: Blakoutte
Je n'aurai pas le temps de tout lire et encore moins de tout commenter avant la date limite, mais je tenais à dire que ton titre m'avait tellement intriguée que j'ai commencé mes lectures par ton texte. Et, en n'ayant lu que 3 textes pour l'instant, je peux t'avouer que dès les premières lignes je me suis dit que celui-ci avait de grandes chances de gagner. Sans même savoir de quoi il traitait. Simplement parce que dès la première page, on sent le style irréprochable, l'ambiance posée, les personnages esquissés, le tout avec une maîtrise et une assurance de pro.
Les gamins, surtout, la façon de les mettre en situation les uns vis-à-vis des autres, de les caractériser, j'avais l'impression de lire du Stephen King : ce côté délicieusement rétro, le fait de planter le décor une fois de plus à Albanas (Albanas, Maine ), ce qui nous les rend encore plus familiers, et tout ce qui gravite autour d'eux (car tu ne commets pas l'erreur de t'en tenir à ton groupe, ils sont au contraire bien intégrés, font partie d'un décor plus vaste), bref tout est parfaitement millimétré, huilé et sent le travail de pro.
Rien que ça mérite une place sur le podium (j'ai conscience de parler sans avoir lu les autres textes, mais il y a des évidences qui se passent de toute autre considération). En plus de ça, ton histoire tient la route, elle a un côté magique/merveilleux qui ne nécessite pas forcément une grande explication. Le black-out prend sens, telle une parenthèse où le temps et la réalité sont en suspens, avant de revenir à la normale, ne laissant que le souvenir d'avoir vécu un moment particulier, dont on devine qu'il soudera le groupe, jusqu'à l'âge adulte, peu importe leur devenir individuel.
Alors, oui, la fin aurait mérité d'un poil plus d'éclaircissements, mais le style et l'ambiance sont si prenants que ça reste secondaire.
Un reproche ? Les dialogues des gamins qui sont parfois trop soutenus pour leur âge et m'ont fait tiquer 2-3 fois.
Un superbe boulot, un régal !
Les gamins, surtout, la façon de les mettre en situation les uns vis-à-vis des autres, de les caractériser, j'avais l'impression de lire du Stephen King : ce côté délicieusement rétro, le fait de planter le décor une fois de plus à Albanas (Albanas, Maine ), ce qui nous les rend encore plus familiers, et tout ce qui gravite autour d'eux (car tu ne commets pas l'erreur de t'en tenir à ton groupe, ils sont au contraire bien intégrés, font partie d'un décor plus vaste), bref tout est parfaitement millimétré, huilé et sent le travail de pro.
Rien que ça mérite une place sur le podium (j'ai conscience de parler sans avoir lu les autres textes, mais il y a des évidences qui se passent de toute autre considération). En plus de ça, ton histoire tient la route, elle a un côté magique/merveilleux qui ne nécessite pas forcément une grande explication. Le black-out prend sens, telle une parenthèse où le temps et la réalité sont en suspens, avant de revenir à la normale, ne laissant que le souvenir d'avoir vécu un moment particulier, dont on devine qu'il soudera le groupe, jusqu'à l'âge adulte, peu importe leur devenir individuel.
Alors, oui, la fin aurait mérité d'un poil plus d'éclaircissements, mais le style et l'ambiance sont si prenants que ça reste secondaire.
Un reproche ? Les dialogues des gamins qui sont parfois trop soutenus pour leur âge et m'ont fait tiquer 2-3 fois.
Un superbe boulot, un régal !
Quiconque lit la présente ligne s’engage à chanter Petit Papa Noël à l'envers chaque soir à minuit jusqu'au 25 décembre.
Raven- — — Bouteuse de trains — — Disciple de la présente ligne
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Re: Blakoutte
Catherine : Je suis content que tu aies apprécié ce texte. Concernant la fin, tu as bien résumé la question : "Tout le long, on reste dans l'interrogation : qu'est-ce qui se passe ?" L'objectif, casse-gueule il est vrai, était, cette fois, de ne pas répondre à toutes les questions. Cela a déstabilisé certains lecteurs.
"Ton style s'est affiné avec les années, avec moins de lourdeurs, ce qui ne le rend que plus plaisant."
Disons que j'ai, d'une part, renoncé à faire du sous-Lovecraft et, d'autre part, tenu compte des conseils des commentateurs.
"tu as un bon feeling pour les personnages enfants"
Je déteste les enfants et apprécie beaucoup cette citation de Henry James, que l'on retrouve à la fin du film de Lucio Fulci La Maison près du cimetière : "Nul ne saura jamais si les enfants sont des monstres ou les monstres des enfants."
Raven :
"je tenais à dire que ton titre m'avait tellement intriguée que j'ai commencé mes lectures par ton texte."
C'est un grand honneur que tu me fais. Et puis cela signifie sans doute que, pour une fois, j'ai dégoté un titre sympa (en général, j'ai beaucoup de mal à trouver des titres potables).
"Les dialogues des gamins (...) sont parfois trop soutenus pour leur âge et m'ont fait tiquer 2-3 fois."
Quelqu'un avait déjà souligné cela et je n'avais pas eu le temps de répondre.
Il me semble que le seul gamin à utiliser un vocabulaire soutenu est l'intellectuel du groupe. On peut supposer qu'il a déjà beaucoup lu.
Quand j'étais adolescent, je me souviens de quelques copains de collège qui s'exprimaient très bien. Et puis, dans les années 80, les gamins avaient davantage de vocabulaire et lisaient davantage. D'ailleurs, la littérature jeunesse, si elle était moins variée que de nos jours, était assez ambitieuse, stylistiquement parlant. Je me souviens que la Bibliothèque verte proposait des romans, certes abrégés, de Jules Verne et Alexandre Dumas. Il y a quelques années, la réédition du Club des cinq a provoqué un tollé dans la mesure où l'éditeur a proposé une traduction simplifiée caractérisée par l'abandon du passé simple (souvent remplacé par le passé composé).
Mais je m'égare...
En fait, je suis ravi que tu fasses partie des quelques lecteurs qui ont aimé ce texte.
Merci à vous, Mesdames.
"Ton style s'est affiné avec les années, avec moins de lourdeurs, ce qui ne le rend que plus plaisant."
Disons que j'ai, d'une part, renoncé à faire du sous-Lovecraft et, d'autre part, tenu compte des conseils des commentateurs.
"tu as un bon feeling pour les personnages enfants"
Je déteste les enfants et apprécie beaucoup cette citation de Henry James, que l'on retrouve à la fin du film de Lucio Fulci La Maison près du cimetière : "Nul ne saura jamais si les enfants sont des monstres ou les monstres des enfants."
Raven :
"je tenais à dire que ton titre m'avait tellement intriguée que j'ai commencé mes lectures par ton texte."
C'est un grand honneur que tu me fais. Et puis cela signifie sans doute que, pour une fois, j'ai dégoté un titre sympa (en général, j'ai beaucoup de mal à trouver des titres potables).
"Les dialogues des gamins (...) sont parfois trop soutenus pour leur âge et m'ont fait tiquer 2-3 fois."
Quelqu'un avait déjà souligné cela et je n'avais pas eu le temps de répondre.
Il me semble que le seul gamin à utiliser un vocabulaire soutenu est l'intellectuel du groupe. On peut supposer qu'il a déjà beaucoup lu.
Quand j'étais adolescent, je me souviens de quelques copains de collège qui s'exprimaient très bien. Et puis, dans les années 80, les gamins avaient davantage de vocabulaire et lisaient davantage. D'ailleurs, la littérature jeunesse, si elle était moins variée que de nos jours, était assez ambitieuse, stylistiquement parlant. Je me souviens que la Bibliothèque verte proposait des romans, certes abrégés, de Jules Verne et Alexandre Dumas. Il y a quelques années, la réédition du Club des cinq a provoqué un tollé dans la mesure où l'éditeur a proposé une traduction simplifiée caractérisée par l'abandon du passé simple (souvent remplacé par le passé composé).
Mais je m'égare...
En fait, je suis ravi que tu fasses partie des quelques lecteurs qui ont aimé ce texte.
Merci à vous, Mesdames.
Suis une ombre, toujours elle te fuira;
Essaie de la fuir, et elle te poursuivra.
Ben Jonson
Blahom- —Adorateur du (mauvais) genre— Chuchoteur dans les ténèbres
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Re: Blakoutte
Salut Blahom,
J’ai lu et apprécié ta nouvelle excellente, elle est vraiment top cette histoire de drôles ! Purée qu'est-ce que je me suis marré, franchement tu chamboules mon classement, Mais, arf, je ne sais pas où donner de la tête à présent !
Je vais lire Paulux, et enfin de donner mes votes ce soir ce qui est sûr c'est que ton texte est très, très bon ! Sauf peut-être la fin, qui reste trop mystérieuse et c'est je pense, un vrai détail comparé à la forme !
Bravo et merci pour cette belle et fantastique histoire, je me serais cru dans Super 8 de Spielberg !
J’ai lu et apprécié ta nouvelle excellente, elle est vraiment top cette histoire de drôles ! Purée qu'est-ce que je me suis marré, franchement tu chamboules mon classement, Mais, arf, je ne sais pas où donner de la tête à présent !
Je vais lire Paulux, et enfin de donner mes votes ce soir ce qui est sûr c'est que ton texte est très, très bon ! Sauf peut-être la fin, qui reste trop mystérieuse et c'est je pense, un vrai détail comparé à la forme !
Bravo et merci pour cette belle et fantastique histoire, je me serais cru dans Super 8 de Spielberg !
Dernière édition par Petit-Carmin le Lun 28 Jan 2019 - 13:54, édité 2 fois
Adieu... et bon voyage Petit-Carmin.
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Re: Blakoutte
Je crois que Super 8 c'est JJ Abrams, mais je peux me tromper !
SILENCE- — — — Moine copiste — — — Disciple des Lois du Silence
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Re: Blakoutte
Réalisé par Abrams, coproduit par Spielberg, donc un point partout !
20 minutes avant la tombe - Confession d'un mort - Les rêveurs de Somnore - La nuit derrière la porte - La dame aux yeux vides
"Je questionnai l'un de ces hommes, et je lui demandai où ils allaient ainsi. Il me répondit qu'il n'en savait rien, ni lui, ni les autres; mais qu'évidemment ils allaient quelque part, puisqu'ils étaient poussés par un invincible besoin de marcher." Baudelaire, Chacun sa chimère
Re: Blakoutte
Ha merci Je me disais bien que il y avait anguille sous roche ! LOL
Adieu... et bon voyage Petit-Carmin.
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Re: Blakoutte
Ça veut simplement dire que Spielberg a mis de l'argent dans le film. Ceci dit, il a eu le nez creux. J'adore ce film !
SILENCE- — — — Moine copiste — — — Disciple des Lois du Silence
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