Edmond s'est foiré, un peu.

Allez, j'inaugure celui-ci. Juste un truc très court pour lancer l'atelier.
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Effectivement c'est crade et gore. Mais efficace.
Il manque peut-être juste une ou deux précisions, histoire de mieux visualiser la chose, mais ça cadre bien avec le format atelier, alors je dirais : exercice réussi !

J'ai aussi une petite idée de quelque chose... faut juste que je trouve le temps de m'y mettre (j'ai des horaires à la con, cette semaine).

Merci. Juste un petit truc écrit en quelques minutes, direct dans la fenêtre message, relu une fois, et posté. Pour m'amuser.

En même temps, pour un atelier, on n'est pas forcément obligé de tout scénariser. Pour ma part, je le fais, car j'ai du mal à écrire une scène en dehors d'un contexte particulier. Pour le reste, le pourquoi du comment, c'est pas obligatoire.
Tu n'en dis pas trop sur le contexte, et la situation qui en est à l'origine, après on imagine ce qu'on veut.
Ce qui compte, c'est le gore. Ici, il est post-événementiel, un peu comme la description d'une scène de crime. D'ailleurs, on voit que cet atelier gore rejoint souvent celui de la description (comme quoi)
Je trouve pour ma part cette partie trop lapidaire. Pour un atelier spécialisé, c'est sans doute un peu court, et surtout, j'ai du mal à en penser quelque chose de "constructif" (si tant est que je sois capable d'avoir un avis constructif) Cela dit, c'est une "mise en bouche", tu as prévenu, donc...
Peut-être une chose : le style employé, assez familier et brut de décoffrage met bien en évidence la mentalité du personnage, en quelques ligne. On sent bien son détachement, et l'ironie de ses pensées. Pour moi le type est schizo.
Maintenant, ce contexte de cadavre étalé sur les murs, le canap' etc est assez amusant (oui !) et je ne peux que souscrire à la conclusion de Tak. Pour un texte griffonné en quelques minutes direct dans ta f... c'est pas mal du tout.

Merci Cancereugène. J'avais déjà réussi à oublier que j'avais écrit ça. Pour dire comme ça avait été vite griffonné et sans y penser.
C'est sûr que c'est un peu court, sans contexte et juste histoire de. Mais comme je n'écris plus et que je n'ai pas l'intention de recommencer avant un moment, ça fait du bien de jeter quelques mots sur l'écran, même si c'est pas réellement assez.
On va dire que c'est une mini-scène.

On sait que tu es à l'aise dans le gore et ça se sent, c'est fluide, ça se lit bien. Pour moi, ça manque un peu "d'enjeu" : par là, je veux dire que j'ai pas forcément bien saisi ce que c'était son projet, et c'est dommage, parce que ça a titillé ma curiosité.

Merci de ta lecture Amaranth. Pour le projet, la dernière phrase était censée en donner une idée en la rapprochant de "plus question de les utiliser pour la suite".
C'était peut-être insuffisant.

Ah oui ! Non c'est moi qui devait être à côté de la plaque, c'est pourtant assez clair.
Je voyais les éléments, mais j'arrivais pas à les lier, j'ai dû trop prendre le soleil aujourd'hui !

Edit : mais c'est sûrement aussi parce que les intestins, c'est pas forcément ce qui m'évoque le plus le culinaire.

C'était le but d'associer intestins et bouffe, justement parce que ça évoque pas le plaisir de manger, surtout dans ces conditions.

Venant de toi, qui apprécie un certain lâcher prise, je suis surpris de cette "légèreté" dans le texte. Ah ah ah. N'aurait-il pas été expédié ? ^^

J'avais oublié de te remercier de ta lecture.
Bah, ce texte a été écrit en quelques minutes (10-15 à tout casser), juste pour lancer l'atelier. C'est une petite bafouille sans importance, mais qui m'a amusée sur le moment.