Suicides (texte retiré)

Le voilà. Ouvrez vos mirettes, plongez dans mes élucubrations, et pleurez de douleur.

Retiré pour publication dans Étranges détectives chez Rivière Blanche.

Combien de signes sinon ?

Merci de ta lecture Gernier. Pas de soucis si tu n'as pas adhéré.

Combien de signes ? Hmmm... vais-je accepter de révéler cette info top secrète ?... Je vais y réfléchir.



















Bon, ok, je m'incline en tant qu'admin admirable. 33 860.

Le point de départ s'avère intéressant. On y retrouve la bonne vieille alliance d'Éros et Thanatos. Je pense qu'en prenant davantage ton temps, tu aurais pu donner dans un délire à la Cronenberg (cf. Frissons).

Spoiler:

Merci de ta lecture Blahom.
J'ai écrit ce récit au début 2015, mais j'ai toujours senti qu'il manquait de développement. Et bien évidemment, je ne suis pas capable de le développer, même avec deux ans de recul. Je me suis contentée avant de vous le soumettre de retravailler énormément de phrases maladroites, mais c'est tout.

Spoiler:

Merci Malossep. Oui, moi aussi j'aurais aimé réussir à mieux lier les différentes scènes entre elles.

J'ai eu du mal à entrer dans l'histoire au début de part le style haché et beaucoup d'interrogations sur le pourquoi de ces scènes sexes et de ces "suicides". Ensuite le style est plus fluide et ça va mieux à lire, mais la fin ne m'a pas éclairée plus que ça. Je me demande toujours où tu voulais en venir...
Avis mitigé pour ma part. Il faudra sûrement que tu le reprennes en éclairant plus ce que tu cherches à nous raconter. Si ce ne sont que des scènes irréelles qui se succèdent comme ici, bah, c'est un peu juste pour que ce soit une histoire. Je suis un peu frustrée de ma lecture.

Merci de ton commentaire Françoise. Pas de soucis, si tu es un peu frustrée dans ta lecture, je le comprends, je suis un peu frustrée aussi.

C'est comme d'habitude bien écrit, c'est du Catherine Robert, y'a du sexe et de l'horreur, et ça finit mal... Mais je dois dire que j'ai éprouvé une certaine déception à la fin, on a pas vraiment d'explication sinon celle

Spoiler:

Après les scènes précédentes, j'aurais espéré quelque chose de plus fort, une autre conclusion. Le fameux rapport entre Éros et Thanatos, l'idée d'une pulsion ou le désir sexuel est aussi un désir de mort offre d'autres possibilités, quasi-mystiques, que tu aurais pu exploiter.

Mais ton histoire se lit bien. Elle m'évoque deux choses : le roman Nécroporno, de Brice Tarvel, où la pollution de l'eau transforme les gens en zombies assoiffés de sexe, et un film porno de l'age d'or du X où les pornos étaient encore créatifs, avec de vraies histoires: Mes nuits avec... Alice, Pénélope, Arnold, Maude et Richard  (1976), bâti un peu sur le principe de La grande bouffe, où un groupe femmes décide de se suicider par le sexe. Et une d'entre elle en finit en se masturbant avec un bâton de dynamite allumé...

Merci de ta lecture. Bin, je ne peux qu'être d'accord. Question écriture, ça va, c'est dans ma zone de confort, donc les scènes ne sont pas mauvaises, mais le tout manque aussi bien de liant entre les différentes scènes que d'une fin plus percutante.
J'aurais aimé reprendre ce texte, mais je crois qu'il restera tel quel.

Mes nuits avec... Pénélope  5000 euros la nuit ?

Blahom a écrit:Mes nuits avec... Pénélope  5000 euros la nuit ?

Oui, j'ai failli faire une plaisanterie dessus, mais j'ai préféré m'abstenir !

Catherine Robert a écrit:Merci de ta lecture. Bin, je ne peux qu'être d'accord. Question écriture, ça va, c'est dans ma zone de confort, donc les scènes ne sont pas mauvaises, mais le tout manque aussi bien de liant entre les différentes scènes que d'une fin plus percutante.
J'aurais aimé reprendre ce texte, mais je crois qu'il restera tel quel.

Je trouve que ce serait dommage de laisser ce texte tel quel. Il suffirait de pas grand chose : intensifier un peu le coté sexe et horreur (Ça, je te fais confiance ! ). Pour lier les scènes,  tu l'as en partie fais en mettant en rapport Nathan et Camille, il faudrait englober aussi les autres victimes, trouver un rapport entre elles qui ramène à une cause unique, et donc à une fin plus percutante, comme tu dis.

Et ce serait bien de changer le titre, de façon à ce qu'on n'attribue pas tout de suite les morts à des suicides.

J'y réfléchirai peut-être un jour. Je crois que je me suis lancée dans quelque chose qui n'est pas encore à ma portée, une intrigue proche d'une enquête. C'est une forme narrative que je ne suis pas capable de gérer.