Alcool et démons...

Merci de vos lectures, je prends note de tous vos conseils.
Je ne comptais pas apporter (sur ce texte) de véritable fin, toutefois j'aurais sans doute du l'emmener différemment.

Contente de lire un de tes textes Jeff.

J'aime assez le genre punk/déstructuré aussi, mais je trouve que certaine phrase sont trop longues, comme la toute première (du coup, pas assez déstructurée, hachée, coupée).

Ensuite, j'interprète le texte comme ceci:
Il se coule tellement dans l'alcool qu'il se détache de la vie, ne remarque pas ce qu'il l'entoure:
-Il dit avoir des enfants, mais sur tout le texte, il n'y fait allusion qu'une fois, comme ci il les avait oubliés à cause de l'alcool.
-Il ne remarque même pas que ses amis veulent se débarrasser de lui. Certaines personnes ont soulignés qu'on ne savait pas pourquoi il allait être enterré, mais je trouve pas que ce soit un problème. Le plus important, c'est qu'il ne l'avait pas vu venir. Comme le personnage, on ne  s'y attend pas, et on ne voit pas pourquoi non plus. J'aime plutôt ce procédé.

Bon, je ne te ferais pas de critiques sur les fautes et le temps. Parce que ca a déjà été fait, et que sinon, en plus, c'est l'hôpital qui se moque de la charité.

Un texte et une histoire vraiment pas mauvais, entre dérives, parallèles à tirer avec les groupes satanistes, et en même temps la déchéance de ce système de stars de la musique. Ça remplit bien son rôle !

Je note l'effet produit par la narration, le phrasé court, brut, musclé, qui, avec quelques rimes, pourrait être chanté, les images fortes et dures, mais au-delà, je ne suis pas client, désolé. Pas mal de fautes qui me sortent de la lecture (putain !) et une difficulté toute personnelle à comprendre de quoi ça parle.

Merci pour vos lectures tous.
Oui j'aime bien mettre un fond d'ironie dans mes écris, un fond de dénonciation, un fond de critique de la société, bien vu Paulux, je ne me vois pas écrire un jour un texte sans un fond récurrent de ce type là...
Chanté, pourquoi pas Didier, je suis entré dans l'écriture en essayant de composer une chanson, donc on va dire que l'on sent les origines...
Je ne me vois pas préciser beaucoup de choses, c'est un texte que je voulais brut et mystérieux, je le laisserais dans son jus, même si quelques correctifs d'orthographe et de relecture s'imposent effectivement...

Un personnage et un récit déglingués, jusque dans l'expression. Mais sans histoire au bout, ça reste un étalage nombriliste et décousu. Peut-être de la "vraie" littérature, vu les canons modernes... mais pas de celle qui m'emballe.
Désolé.

Un texte assez destructuré sur le fond comme sur la forme, donc difficile à critiquer. Ce qui ne va pas — erreurs de ponctuation, flou narratif — a déjà été relevé, je n'y reviendrais pas. Reste une ambiance marquante, bien dans le ton des mouvances littéraires "underground". D'ordinaire ce n'est pas trop ma tasse de thé ; là, allez savoir pourquoi, j'ai bien aimé.