Le warhamer des Dieux

Bonjour à tous,

J'espère ne pas abuser, mais j'aimerais un petit avis sur le dernier texte que j'ai écrit. C'est un peu un texte plaisir, défouloir même pourrait-on dire, que je destine au Lanfeust Mag. Je le voulais léger et humoristique. Malheureusement, la personne à qui je l'ai fait lire m'a dit qu'il ne fonctionnait pas bien, sans pouvoir m'expliquer pourquoi. J'aimerais donc que vous m'aidiez, si vous en avez le temps et l'envie, à voir ce qui cloche, ce qui ne marche pas, pour pouvoir le corriger !
Merci Beaucoup par avance.
Voici le lien (maintenant que le (la) très gentil(le?) Perronicca m'a appris comment faire (eh oui, il faut être patient avec moi) :

http://pdf.lu/595C/

On ne peut pas le télécharger. Il y a un mot de passe ?

Ah excusez moi ! C'est la première fois que j'utilise l'application pdf.fr, du coup, je ne savais pas s'il fallait prendre la version "public" ou "privé", et je ne savais pas trop ce que l'un comme l'autre allaient donner...Du coup, je l'ai remis en public, et je vous donne le nouveau lien :

http://pdf.lu/GR2O

Excusez-moi encore !

Je pense que le problème de ce texte, c'est que le lecteur reste spectateur. Les passages sur les conquêtes/défaites de Napoléon sont trop descriptives. On ne fait pas bien le lien entre les dieux et l'histoire de Napoléon (enfin si, on a compris que Napoléon est comme le personnage d'un jeu vidéo (ou d'un jeu de rôle), qu'il est dirigé par le dieu)... Bon, en fait moi non plus je sais pas comment expliquer mon ressenti à ce propos. On ne comprend pas toujours qui parle dans les dialogues entre dieux (surtout au début). C'est trop long, aussi.

Mais sinon j'aime bien l'idée, les réparties de la femme du dieu sont marrantes et l'écriture est sympa.

(Pardon pour ce commentaire expéditif, je dois y aller, mais je tenais à commenter tout de suite.)

Vraiment pas mal ! Ces dieux qui souffrent des mêmes addictions que les humains…
Attention aux fautes liées à la ponctuation :

• Les points d’interrogation et d’exclamation, les points-virgules, sont précédés et suivis d’un espace.
  
• Les virgules et les points sont suivis d’un espace, mais attachés au mot qui les précède.
  

Je pense que c’est par inattention que ces règles sont irrégulièrement respectées dans ton texte.

Le bruit de l'univers se tue pour accueillir la nouvelle. La déesse, occupée à mettre de l'ordre dans la ceinture d'Astéroïdes, se tue aussi.

Oups !

Et depuis Michael Ange

Oups !

Non, c'était sur Terre que son armée était la plus performante, et personne ne l'enverrait pas couler au fond de l'océan.

Oups !

Je vais te gagner une victoire militaire totale que çà va leur clouer le bec à ces enfoirés, et même que le monde entier parlera français !

Oups !

Avant d'annoncer sa réédition.

Oups !

Le général promit alors de le ramener ligoter dans une cage en fer.

Oups !

-Une fois les deux armés scindés,

Oups !

Merci Raphaël ! Oui, je fais pas mal de fautes d'inattention...
Mais c'est vrai que je suis de l'avis de Naolle : il y a quelque chose qui cloche dans ce texte, qui fait que c'est dur d'y accrocher... Merci beaucoup de m'aider à repérer ce qui ne va pas, en tout cas, c'est vraiment gentil! C'est sans doute, en effet, parce que le texte est trop lisse, ne fait pas assez vibrer le lecteur... Et peut-être aussi, un problème de forme, avec cette césure entre l'histoire des dieux et l'Histoire de Napoléon... On a peut-être du mal à faire le rapprochement entre les deux... Les personnages ne sont peut-être pas assez attachants... Et puis, les occupations des dieux sont peut-être trop "clichés" (déjeuner de matière noire, promenade sur Pluton, etc. ) Je ne sais pas, en tout cas, ça me titille !

Je connais pas tellement les clichés en la matière, mais j'ai bien aimé la promenade sur Pluton et la salade de matière noire. J'ai trouvé ça chouette.

L'idée est bonne et l'épopée napoléonienne se prête parfaitement à une interprétation façon "jeu de rôle". Le divin paternel qui joue, la mère qui râle et le gamin qui accumule les conneries dans son coin, excellent.
Ce qui coince à mon sens, c'est que l'interaction jeu-histoire est trop abstraite. D'un côté, des disputes, des commentaires colorés, des déclarations d'intention, et de l'autre, un condensé historique des plus classiques. A aucun moment, on ne sent Napoléon influencé ou contrarié dans ses projets ou ses actes par une volonté extérieure.
Ulrich et Romulus sont des chèvres mais je crois qu'il aurait été intéressant de développer Woods, le montrer en train de pousser ses pions dans le jeu de "Marianne" : "Où tu crois aller en Egypte ? Tiens, je vais te les soulever, moi, les musulmans. Et t'envoyer Nelson en prime !" "Et ta paix avec les Espagnols, t'as vu comment je l'ai niquée !" "Et mon blocus, il te plaît mon blocus ?" "Et tes pourparlers avec la Russie ? Dans le fion la neutralité du tsar !"
Cela t'aurait permis de réduire les gros paragraphes historiques (3 pour la seule campagne d'Egypte) et peut-être même d'esquisser une autre vision de Napoléon : un stratège surdoué, rêvant de paix et de liberté mais retombant sans cesse dans la guerre et l'oppression à cause de deux joueurs impénitents. Je le vois bien, à l'île d'Elbe, n'aspirer qu'à se reposer. "Tu crois avoir gagné, Woods ? Allez, Napo, on s'évade ! Comment ça, pas envie ? Oh, qui c'est le patron ? Je t'envoie une escouade te chercher, tu vas voir s'ils vont pas te ramener à Paris, feignant de Corse !" Tu saisis ?
Et ce serait la femme du dieu qui, excédée, aurait fini par empoisonner l'empereur déchu à Ste-Hélène que ça ne m'étonnerait pas !
Je ne sais pas, ce sont des idées comme ça. Pas sûr qu'elles te soient utiles mais, pour l'instant, je n'ai pas mieux sous la main.
Toujours charmé de te lire.

Mdr Jack-the-Rimeur ! J'étais morte de rire en te lisant ! Oui, je crois que je vais suivre tes conseils et reprendre cette nouvelle !
Merci
Eimelle